Titre : | Les Grossesses Hétérotopiques, à propos de 5 cas. | Type de document : | thèse | Auteurs : | Meriem MOUHARIR, Auteur | Année de publication : | 2017 | Langues : | Français (fre) | Mots-clés : | Grossesse – Grossesses Hétérotopiques - cœlioscopie | Résumé : | Introduction :
La grossesse hétérotopique est définie par la coexistence d’une grossesse intra-utérine et d’une grossesse extra-utérine, quelle que soit sa localisation. Elle est rare mais non exceptionnelle. Sa fréquence est en nette augmentation à cause de l’utilisation croissante des inducteurs de l’ovulation et de l’augmentation des facteurs favorisants la GEU.
-Objectif :
L’objectif de l’étude est de discuter l’étiopathogénie de la maladie, sa fréquence, ses facteurs de risques, les principales difficultés diagnostiques ainsi que la place du traitement chirurgical et médical.
-Matériel et méthodes :
Nous présentons une étude rétrospective à propos de 5 cas de grossesses hétérotopiques, colligés au service de gynécologie obstétrique de L’HMIMV de Rabat sur une période de 10ans.
-Résultats et discussion :
Il s’agit de 5 femmes, 3 nullipares (60%) et 2 primipares (40%) dont l’âge varie entre 21 et 32ans. L’infertilité antérieure (40%), les inducteurs de l’ovulation (40%) et l’antécédent de GEU (20%) dominent les facteurs de risque de grossesse hétérotopique. Cliniquement l’expression est marquée par les douleurs, l’aménorrhée et les métrorragies. L’échographie Trans-vaginale a permis de poser le diagnostic de GH chez toutes les patientes.
Le traitement reste dans 80% des cas un traitement radical, c’est ainsi que la salpingectomie reste le traitement le plus fréquemment pratiquée.
Conclusion:
L’association de GIU et GEU n’est plus exceptionnelle, Et plus le diagnostic est précoce, meilleur est le pronostic maternel et celui de la grossesse intra-uterine. D’où la nécessité de garder toujours présent à l’esprit qu’une grossesse intra-utérine peut en cacher une autre extra-utérine, surtout chez une patiente qui a eu recours à une méthode de procréation médicalement assistée pour obtenir sa grossesse.
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M4432017 | Président : | ZENTAR.A | Directeur : | KOUACH.J | Juge : | LAMLAMI.N | Juge : | DRISSI.M | Juge : | BENSGHIR.M |
Les Grossesses Hétérotopiques, à propos de 5 cas. [thèse] / Meriem MOUHARIR, Auteur . - 2017. Langues : Français ( fre) Mots-clés : | Grossesse – Grossesses Hétérotopiques - cœlioscopie | Résumé : | Introduction :
La grossesse hétérotopique est définie par la coexistence d’une grossesse intra-utérine et d’une grossesse extra-utérine, quelle que soit sa localisation. Elle est rare mais non exceptionnelle. Sa fréquence est en nette augmentation à cause de l’utilisation croissante des inducteurs de l’ovulation et de l’augmentation des facteurs favorisants la GEU.
-Objectif :
L’objectif de l’étude est de discuter l’étiopathogénie de la maladie, sa fréquence, ses facteurs de risques, les principales difficultés diagnostiques ainsi que la place du traitement chirurgical et médical.
-Matériel et méthodes :
Nous présentons une étude rétrospective à propos de 5 cas de grossesses hétérotopiques, colligés au service de gynécologie obstétrique de L’HMIMV de Rabat sur une période de 10ans.
-Résultats et discussion :
Il s’agit de 5 femmes, 3 nullipares (60%) et 2 primipares (40%) dont l’âge varie entre 21 et 32ans. L’infertilité antérieure (40%), les inducteurs de l’ovulation (40%) et l’antécédent de GEU (20%) dominent les facteurs de risque de grossesse hétérotopique. Cliniquement l’expression est marquée par les douleurs, l’aménorrhée et les métrorragies. L’échographie Trans-vaginale a permis de poser le diagnostic de GH chez toutes les patientes.
Le traitement reste dans 80% des cas un traitement radical, c’est ainsi que la salpingectomie reste le traitement le plus fréquemment pratiquée.
Conclusion:
L’association de GIU et GEU n’est plus exceptionnelle, Et plus le diagnostic est précoce, meilleur est le pronostic maternel et celui de la grossesse intra-uterine. D’où la nécessité de garder toujours présent à l’esprit qu’une grossesse intra-utérine peut en cacher une autre extra-utérine, surtout chez une patiente qui a eu recours à une méthode de procréation médicalement assistée pour obtenir sa grossesse.
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M4432017 | Président : | ZENTAR.A | Directeur : | KOUACH.J | Juge : | LAMLAMI.N | Juge : | DRISSI.M | Juge : | BENSGHIR.M |
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