Titre : | La môle hydatiforme : étude pratique à propos de 50 cas. | Type de document : | thèse | Auteurs : | DALHI Naoual, Auteur | Année de publication : | 2019 | Langues : | Français (fre) | Résumé : | La môle hydatiforme est l’entité bénigne des maladies trophoblastiques gestionnelles (MTG).
C’une anomalie de l’œuf caractérisée par l’hyperplasie du trophoblaste responsable d’une sécrétion accrue des gonadotrophines chorioniques (HCG) avec transformation kystique des villosités choriales.
Nous rapportons une série rétrospective de 50 cas de grossesses molaires (GM) colligées auservice de gynécologie obstétrique : service de cancérologie et de grossesses à haut risque (M2, M4) du Maternité Souissi Rabat durant une période de 3 ans allant de janvier 2016 au décembre 2018.
La fréquence globale des môles hydatiformesdans notre étude était de 0,27 % accouchements.
L’âge de nos patientes est compris entre 17 et 52 ans avec une moyenne d’âge de 33,94 ans.
Les métrorragies constituent le signe d’appel le plus fréquent 88% des cas.
L’examen physique montre un utérus très augmenté de taille par rapport à l’âge gestationnel dans 80% des cas.
L’échographie est le moyen le plus fiable pour le diagnostic positif avec un taux de 94% des cas.
Le taux de β-hCG a également tout son intérêt dans le diagnostic mais surtout dans le suivi post thérapeutique.
L’évacuation utérine par aspiration était le traitement de choix des môles hydatiformes. Elle est réalisée chez 100% des patientes.
L’étude histologique a mis en évidence 70% de cas de MHC et 30% de cas de MHP.
L’évolution était marquée au cours de la surveillance par la survenue de tumeur trophoblastique gestationnelle(TTG) dans 12 % des cas.
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La môle hydatiforme : étude pratique à propos de 50 cas. [thèse] / DALHI Naoual, Auteur . - 2019. Langues : Français ( fre) Résumé : | La môle hydatiforme est l’entité bénigne des maladies trophoblastiques gestionnelles (MTG).
C’une anomalie de l’œuf caractérisée par l’hyperplasie du trophoblaste responsable d’une sécrétion accrue des gonadotrophines chorioniques (HCG) avec transformation kystique des villosités choriales.
Nous rapportons une série rétrospective de 50 cas de grossesses molaires (GM) colligées auservice de gynécologie obstétrique : service de cancérologie et de grossesses à haut risque (M2, M4) du Maternité Souissi Rabat durant une période de 3 ans allant de janvier 2016 au décembre 2018.
La fréquence globale des môles hydatiformesdans notre étude était de 0,27 % accouchements.
L’âge de nos patientes est compris entre 17 et 52 ans avec une moyenne d’âge de 33,94 ans.
Les métrorragies constituent le signe d’appel le plus fréquent 88% des cas.
L’examen physique montre un utérus très augmenté de taille par rapport à l’âge gestationnel dans 80% des cas.
L’échographie est le moyen le plus fiable pour le diagnostic positif avec un taux de 94% des cas.
Le taux de β-hCG a également tout son intérêt dans le diagnostic mais surtout dans le suivi post thérapeutique.
L’évacuation utérine par aspiration était le traitement de choix des môles hydatiformes. Elle est réalisée chez 100% des patientes.
L’étude histologique a mis en évidence 70% de cas de MHC et 30% de cas de MHP.
L’évolution était marquée au cours de la surveillance par la survenue de tumeur trophoblastique gestationnelle(TTG) dans 12 % des cas.
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