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Épidémiologie et résistance aux antibiotiques des bactéries isolées d’infections urinaires à l’hôpital militaire d’instruction Mohamed V de Rabat. / Nezha RACHIDI
Titre : Épidémiologie et résistance aux antibiotiques des bactéries isolées d’infections urinaires à l’hôpital militaire d’instruction Mohamed V de Rabat. Type de document : thèse Auteurs : Nezha RACHIDI, Auteur Année de publication : 2014 Langues : Français (fre) Mots-clés : Infection urinaire Examen cytobactériologique des urines Antibiorésistance. Résumé : Les infections urinaires constituent un vrai problème de santé publique de part leur fréquence et quelquefois leur gravité. L’antibiorésistance des bactéries uropathogènes complique la conduite thérapeutique. A ce titre, nous avons entrepris une étude rétrospective, au laboratoire de microbiologie de l’HMIMV de Rabat du 1er janvier 2013 au 31 décembre 2013, dont l’objectif était de déterminer la fréquence des principales bactéries uropathogènes isolées ainsi que leur antibiorésistance afin de permettre une meilleure prise en charge thérapeutique.
Sur 12574 échantillons urinaires, 1793 répondaient aux critères d’infection urinaire (14,2%). Parmi les infections, 39,2 % provenaient des patients hospitalisés et 60,8 % des consultants en ambulatoire, avec un sex-ratio F/H de 1,3. L’étude bactériologique a permis d’isoler surtout des entérobactéries (82,4%) et en particulier Escherichia coli (57,2 %) suivi de Klebsiella spp (16,6%), avec 11,45% de BLSE. Les cocci à Gram positif et les bacilles à Gram négatif non fermentants représentaient respectivement 12,1 et 5,5 %.
La fréquence de la résistance globale des différents isolats vis-à-vis des pénicillines, des céphalosporines de première génération, des quinolones, et du cotrimoxazole est élevée. Cependant les céphalosporines de deuxième et troisième génération, les aminosides, la fosfomycine, les nitrofuranes et la colistine conservent encore un bon profil d’activité.
Cette situation générale de résistance mise en évidence par notre étude est la conséquence de la prescription massive et l’usage souvent abusif des antibiotiques à large spectre, elle doit inciter à promouvoir des alternatives pour le traitement probabiliste des infections urinaires, et suggérer la nécessité de gestion et de prescription des antibiotiques adaptés au patient et à son environnement.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0592014 Président : ZOUHDI.M Directeur : CHADLI.M Juge : TELLAL.S Juge : SEKSOKH.Y Épidémiologie et résistance aux antibiotiques des bactéries isolées d’infections urinaires à l’hôpital militaire d’instruction Mohamed V de Rabat. [thèse] / Nezha RACHIDI, Auteur . - 2014.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Infection urinaire Examen cytobactériologique des urines Antibiorésistance. Résumé : Les infections urinaires constituent un vrai problème de santé publique de part leur fréquence et quelquefois leur gravité. L’antibiorésistance des bactéries uropathogènes complique la conduite thérapeutique. A ce titre, nous avons entrepris une étude rétrospective, au laboratoire de microbiologie de l’HMIMV de Rabat du 1er janvier 2013 au 31 décembre 2013, dont l’objectif était de déterminer la fréquence des principales bactéries uropathogènes isolées ainsi que leur antibiorésistance afin de permettre une meilleure prise en charge thérapeutique.
Sur 12574 échantillons urinaires, 1793 répondaient aux critères d’infection urinaire (14,2%). Parmi les infections, 39,2 % provenaient des patients hospitalisés et 60,8 % des consultants en ambulatoire, avec un sex-ratio F/H de 1,3. L’étude bactériologique a permis d’isoler surtout des entérobactéries (82,4%) et en particulier Escherichia coli (57,2 %) suivi de Klebsiella spp (16,6%), avec 11,45% de BLSE. Les cocci à Gram positif et les bacilles à Gram négatif non fermentants représentaient respectivement 12,1 et 5,5 %.
La fréquence de la résistance globale des différents isolats vis-à-vis des pénicillines, des céphalosporines de première génération, des quinolones, et du cotrimoxazole est élevée. Cependant les céphalosporines de deuxième et troisième génération, les aminosides, la fosfomycine, les nitrofuranes et la colistine conservent encore un bon profil d’activité.
Cette situation générale de résistance mise en évidence par notre étude est la conséquence de la prescription massive et l’usage souvent abusif des antibiotiques à large spectre, elle doit inciter à promouvoir des alternatives pour le traitement probabiliste des infections urinaires, et suggérer la nécessité de gestion et de prescription des antibiotiques adaptés au patient et à son environnement.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0592014 Président : ZOUHDI.M Directeur : CHADLI.M Juge : TELLAL.S Juge : SEKSOKH.Y Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0592014 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2014 Disponible P0592014-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2014 Disponible L’INFECTION URINAIRE : EXPERIENCE DU LABORATOIRE DE MICROBIOLOGIE DE L’HOPITAL DES SPECIALITES DE RABAT. / AIT MILOUD KHALID
Titre : L’INFECTION URINAIRE : EXPERIENCE DU LABORATOIRE DE MICROBIOLOGIE DE L’HOPITAL DES SPECIALITES DE RABAT. Type de document : thèse Auteurs : AIT MILOUD KHALID, Auteur Année de publication : 2011 Langues : Français (fre) Mots-clés : INFECTION URINAIRE ANTIBIOTHERAPIE ANTIBIORESISTANCE. Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : L’objectif de ce travail consiste à cerner les différents aspects de l’infection urinaire et d’actualiser les données épidémiologiques. Ceci permettrait aux cliniciens d’ajuster les attitudes thérapeutiques et préventives et d’éviter l’émergence de souches résistantes.
C’est une étude rétrospective réalisée au laboratoire de microbiologie de l’hôpital des spécialités de Rabat, menée sur 1308 ECBU de patients hospitalisés dans les différents services de l’hôpital ainsi que les patients externes, durant la période : 01.01.2008 au 31.12.2009.
Sur l’ensemble des ECBU testés, 23,78% étaient positifs. Les bactéries prédominantes étaient les entérobactéries avec Escherichia coli (35,4%), suivie par Klebsiella spp (19,3%), Proteus mirabilis (6,4%) et Enterobacter (5,4%). Pour les cocci à Gram positif, on trouve l’entérocoque avec (13,8%) suivi par staphylocoque spp (6,5%), alors que pour les bacilles à Gram négatif non fermentaires on trouve Pseudomonas aeruginosa avec un taux de 10,6% suivi par Acinetobacter (2,6 %).
Les principaux phénotypes de résistance acquise des entérobactéries aux β-lactamines étaient la pénicillinase de haut niveau avec 33% dont 71,4% étaient des E-coli. Le pourcentage des entérobactéries productrices de béta-lactamases à spectre étendu (BLSE) étaient de 28%. A noter qu’aucune souche des entérobactéries n’était résistante à l’imipénème.
La résistance des entérobactéries au fluoroquinolones est de l’ordre de 30,3% pour E-coli, 41,7% pour Klebsiella spp, alors que pour l’association Triméthoprime + Sulfaméthoxazole plus de la moitié des souches étaient résistantes. Par contre les aminosides gardent encore un bon profil d’activité sur les entérobactéries.
La fréquence des germes urinaires et de leur résistance, incite à adapter l’antibiothérapie aux données de l’antibiogramme et au terrain correspondant
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0392011 Président : MIMOUN ZOUHDI Directeur : MARIUM SAFAR Juge : JAMAL ELMSAOURI L’INFECTION URINAIRE : EXPERIENCE DU LABORATOIRE DE MICROBIOLOGIE DE L’HOPITAL DES SPECIALITES DE RABAT. [thèse] / AIT MILOUD KHALID, Auteur . - 2011.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : INFECTION URINAIRE ANTIBIOTHERAPIE ANTIBIORESISTANCE. Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : L’objectif de ce travail consiste à cerner les différents aspects de l’infection urinaire et d’actualiser les données épidémiologiques. Ceci permettrait aux cliniciens d’ajuster les attitudes thérapeutiques et préventives et d’éviter l’émergence de souches résistantes.
C’est une étude rétrospective réalisée au laboratoire de microbiologie de l’hôpital des spécialités de Rabat, menée sur 1308 ECBU de patients hospitalisés dans les différents services de l’hôpital ainsi que les patients externes, durant la période : 01.01.2008 au 31.12.2009.
Sur l’ensemble des ECBU testés, 23,78% étaient positifs. Les bactéries prédominantes étaient les entérobactéries avec Escherichia coli (35,4%), suivie par Klebsiella spp (19,3%), Proteus mirabilis (6,4%) et Enterobacter (5,4%). Pour les cocci à Gram positif, on trouve l’entérocoque avec (13,8%) suivi par staphylocoque spp (6,5%), alors que pour les bacilles à Gram négatif non fermentaires on trouve Pseudomonas aeruginosa avec un taux de 10,6% suivi par Acinetobacter (2,6 %).
Les principaux phénotypes de résistance acquise des entérobactéries aux β-lactamines étaient la pénicillinase de haut niveau avec 33% dont 71,4% étaient des E-coli. Le pourcentage des entérobactéries productrices de béta-lactamases à spectre étendu (BLSE) étaient de 28%. A noter qu’aucune souche des entérobactéries n’était résistante à l’imipénème.
La résistance des entérobactéries au fluoroquinolones est de l’ordre de 30,3% pour E-coli, 41,7% pour Klebsiella spp, alors que pour l’association Triméthoprime + Sulfaméthoxazole plus de la moitié des souches étaient résistantes. Par contre les aminosides gardent encore un bon profil d’activité sur les entérobactéries.
La fréquence des germes urinaires et de leur résistance, incite à adapter l’antibiothérapie aux données de l’antibiogramme et au terrain correspondant
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0392011 Président : MIMOUN ZOUHDI Directeur : MARIUM SAFAR Juge : JAMAL ELMSAOURI Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0392011 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2011 Disponible PREVALENCE ET ANTIBIORESISTANCE DU STAPHYLOCOCCUS AUREUS RESISTANT A LA METICILLINE / DAOUDI NAIMA
Titre : PREVALENCE ET ANTIBIORESISTANCE DU STAPHYLOCOCCUS AUREUS RESISTANT A LA METICILLINE Type de document : thèse Auteurs : DAOUDI NAIMA, Auteur Année de publication : 2008 Langues : Français (fre) Mots-clés : Infections nosocomiales Staphylococcus aureus résistant
à la méticilline Antibiorésistance.Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Ce travail est répartie en deux parties : une partie théorique où on a développé les différentes aspects théoriques des infections à SARM surtout nosocomiales et une partie pratique où sont rassemblés les résultats de l’analyse des fréquences et de l’antibiorésistance des Staphylococcus aureus résistants à la méticilline(SARM) isolés de pus ,hémocultures ,urines ,prélèvements distaux protégés (PDP) et autres prélèvements ,effectués au laboratoire de bactériologie du CHU Ibn Sina de Rabat pendant la période 2003-2007 .
La fréquence des SARM isolés des divers prélèvements étudiés varie d’un service à un autre et d’un prélèvement à un autre.
Notre étude à montrer que la prévalence de SARM est 24.60% et qu’il ya une prédominance nette de SARM dans les hémocultures (29.79%), le pus (27.34%), le SARM est aussi fréquent dans les urines (13,06%) et les PDP (12,24%).
La majorité des SARM proviennent des services de réanimation (45.83%) et service de dermatologie (13.88%).
En ce qui concerne l’étude de l’antibiorésistance, les souches de SARM montrent une résistance importante aux bétalactamines et céphalosporines, en général une multirésistance est observée vis-à-vis des aminosides, des macrolides, des lincosamides,des cyclines et des fluoroquinolones.Aussi vis-à-vis de l’acide fusidique ,la rifampicine, la fosfomycine,alors que pour les glycopeptides ,l’étude montre l’apparition des souches de sensibilité diminuée ,ce qui nécessite une surveillance régulière de l’évolution de la résistance des SARM aux antibiotiques.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P1022008 Président : TAOUFIK JAMAL Directeur : ZOUHDI MIMOUN Juge : LAATRIRIS ABDELKADER PREVALENCE ET ANTIBIORESISTANCE DU STAPHYLOCOCCUS AUREUS RESISTANT A LA METICILLINE [thèse] / DAOUDI NAIMA, Auteur . - 2008.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Infections nosocomiales Staphylococcus aureus résistant
à la méticilline Antibiorésistance.Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Ce travail est répartie en deux parties : une partie théorique où on a développé les différentes aspects théoriques des infections à SARM surtout nosocomiales et une partie pratique où sont rassemblés les résultats de l’analyse des fréquences et de l’antibiorésistance des Staphylococcus aureus résistants à la méticilline(SARM) isolés de pus ,hémocultures ,urines ,prélèvements distaux protégés (PDP) et autres prélèvements ,effectués au laboratoire de bactériologie du CHU Ibn Sina de Rabat pendant la période 2003-2007 .
La fréquence des SARM isolés des divers prélèvements étudiés varie d’un service à un autre et d’un prélèvement à un autre.
Notre étude à montrer que la prévalence de SARM est 24.60% et qu’il ya une prédominance nette de SARM dans les hémocultures (29.79%), le pus (27.34%), le SARM est aussi fréquent dans les urines (13,06%) et les PDP (12,24%).
La majorité des SARM proviennent des services de réanimation (45.83%) et service de dermatologie (13.88%).
En ce qui concerne l’étude de l’antibiorésistance, les souches de SARM montrent une résistance importante aux bétalactamines et céphalosporines, en général une multirésistance est observée vis-à-vis des aminosides, des macrolides, des lincosamides,des cyclines et des fluoroquinolones.Aussi vis-à-vis de l’acide fusidique ,la rifampicine, la fosfomycine,alors que pour les glycopeptides ,l’étude montre l’apparition des souches de sensibilité diminuée ,ce qui nécessite une surveillance régulière de l’évolution de la résistance des SARM aux antibiotiques.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P1022008 Président : TAOUFIK JAMAL Directeur : ZOUHDI MIMOUN Juge : LAATRIRIS ABDELKADER Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P1022008 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2008 Disponible PROFIL EPIDEMIOLOGIQUE DE L’INFECTION URINAIRE INFANTILE A L’HOPITAL IBN SINA DE RABAT. / BADAOUI REDA
Titre : PROFIL EPIDEMIOLOGIQUE DE L’INFECTION URINAIRE INFANTILE A L’HOPITAL IBN SINA DE RABAT. Type de document : thèse Auteurs : BADAOUI REDA, Auteur Année de publication : 2012 Langues : Français (fre) Mots-clés : INFECTION URINAIRE ENFANT ANTIBIOTHERAPIE ANTIBIORESISTANCE. Résumé : L’objectif de cette étude consiste à mettre en évidence les principales bactéries isolées d’infection urinaires chez l’enfant, et de déterminer leur fréquence ainsi que de tester leur comportement vis-à-vis des antibiotiques testés. Afin d’ajuster la prévention et la thérapeutique.
Il s’agit d’une enquête rétrospective effectué au laboratoire de microbiologie de l’hôpital Ibn Sina de Rabat sur une période de dix mois allant de juin 2011 à mars 2012.
Durant cette période, le pourcentage de positivité des infections urinaires est de 14,23% , avec une prédominance des entérobactéries telles que klebsiella (37,80%), Escherichia coli (31,50%), enterobacter(7,08%), citrobacter(1,57%), proteus(1,57%). Les cocci à gram positif étaient staphylocoque (6,38%), streptocoque (6,30%), on trouve aussi des bacilles à gram négatif non fermentaires avec (5,51%) pour pseudomonas aeruginosa suivi par Acinetobacter(1,57%).
Le phénotype BLSE pour les entérobactéries est de 49.5% avec une prédominance pour l’espèce Klebsiella pneumonea.
La majorité des souches ont montré une sensibilité totale à l’imipénème sauf pseudomonas aeruginosa qui présente un taux de résistance alarmant (71.42%).
L’étude des antibiogrammes a relevé un taux de sensibilité important d’Escherichia coli vis-à-vis des fluoroquinolones et les aminosides. Staphylocoque présente un taux de résistance de 50% pour les aminosides et une sensibilité totale vis-à-vis l’acide fusidique et la vancomycine.
Les mesures de prévention et de surveillance de la diffusion de ces bactéries multi-résistantes doivent être prises au sérieux par les équipes soignantes en collaboration avec le laboratoire de bactériologie.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1172012 Président : GAOUZI.A Directeur : ZOUHDI.M Juge : TELLAL.S PROFIL EPIDEMIOLOGIQUE DE L’INFECTION URINAIRE INFANTILE A L’HOPITAL IBN SINA DE RABAT. [thèse] / BADAOUI REDA, Auteur . - 2012.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : INFECTION URINAIRE ENFANT ANTIBIOTHERAPIE ANTIBIORESISTANCE. Résumé : L’objectif de cette étude consiste à mettre en évidence les principales bactéries isolées d’infection urinaires chez l’enfant, et de déterminer leur fréquence ainsi que de tester leur comportement vis-à-vis des antibiotiques testés. Afin d’ajuster la prévention et la thérapeutique.
Il s’agit d’une enquête rétrospective effectué au laboratoire de microbiologie de l’hôpital Ibn Sina de Rabat sur une période de dix mois allant de juin 2011 à mars 2012.
Durant cette période, le pourcentage de positivité des infections urinaires est de 14,23% , avec une prédominance des entérobactéries telles que klebsiella (37,80%), Escherichia coli (31,50%), enterobacter(7,08%), citrobacter(1,57%), proteus(1,57%). Les cocci à gram positif étaient staphylocoque (6,38%), streptocoque (6,30%), on trouve aussi des bacilles à gram négatif non fermentaires avec (5,51%) pour pseudomonas aeruginosa suivi par Acinetobacter(1,57%).
Le phénotype BLSE pour les entérobactéries est de 49.5% avec une prédominance pour l’espèce Klebsiella pneumonea.
La majorité des souches ont montré une sensibilité totale à l’imipénème sauf pseudomonas aeruginosa qui présente un taux de résistance alarmant (71.42%).
L’étude des antibiogrammes a relevé un taux de sensibilité important d’Escherichia coli vis-à-vis des fluoroquinolones et les aminosides. Staphylocoque présente un taux de résistance de 50% pour les aminosides et une sensibilité totale vis-à-vis l’acide fusidique et la vancomycine.
Les mesures de prévention et de surveillance de la diffusion de ces bactéries multi-résistantes doivent être prises au sérieux par les équipes soignantes en collaboration avec le laboratoire de bactériologie.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1172012 Président : GAOUZI.A Directeur : ZOUHDI.M Juge : TELLAL.S Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1172012 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2012 Disponible