Titre : | LES ANTIVITAMINES K : AVANCEES ACTUELLES | Type de document : | thèse | Auteurs : | HACHMANE Abdelilah, Auteur | AnnĂ©e de publication : | 2009 | Note gĂ©nĂ©rale : | la thèse en ligne est indisponible | Langues : | Français (fre) | Mots-clĂ©s : | Antivitamines K Surveillance biologique hĂ©morragie rĂ©sistance | RĂ©sumĂ© : | Les antivitamines K (AVK) sont des médicaments antithrombotiques très utilisés qui sont administrés per os et s’opposant au processus de gammacarboxylation de plusieurs protéines de la coagulation vitamino-K dépendantes (facteurs II, VII, IX, X et inhibiteurs C et S) les rendant inactifs.
L’objectif de ce travail est de rapporter les principales molécules antiviatamines K en incistant sur leur mécanisme d’action et leur surveillance biologique et souligner la place de la résistance thérapeutique à ces molécules.
Ce sont des composés organiques de faible poids moléculaire. Il en existe deux classes, les dérivés de la 4-hydroxycoumarine : acénocoumarol (Sintrom), tioclomarol (Apegmone), warfarine (Coumadine), phenprocoumone (Marcoumar) et les dérivés de l’indiane-1,3-dione : phénindione (Pindione), fluindione (Préviscan). Malgré leur apparente facilité d’utilisation, ces molécules demeurent d’un maniement difficile. Pour chaque patient, la dose nécessaire d’AVK est variable et doit être ajustée selon les résultats de l’INR (International Normalized Ratio). En cas d’incident hémorragique lié à un surdosage ou d’inefficacité liée à une dose infra-thérapeutique, une conduite à tenir permet d’ajuster la posologie et de traiter les incidents de la manière la plus efficace possible. Lorsque des doses d’AVK supérieures à celles habituellement prescrites ne sont pas associées à une hypocoagulation suffisante on parle de résistance aux AVK. Avant d’affirmer une réelle résistance génétique, phénomène très rare, il faut éliminer les interférences médicamenteuses et/ou alimentaires et le défaut de compliance du patient. Dans l’espoir de compléter l’arsenal thérapeutique par les nouveaux anticoagulants oraux, molécules en phase d’étude dont la maniement parerait plus simple, les AVK restent le traitement de choix des maladies thromboemboliques par voie orale.
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | P0722009 | Président : | YAHYA CHERRAH | Directeur : | A.AMASRAR | Juge : | HAMID BENZIANE |
LES ANTIVITAMINES K : AVANCEES ACTUELLES [thèse] / HACHMANE Abdelilah, Auteur . - 2009. la thèse en ligne est indisponible Langues : Français ( fre) Mots-clĂ©s : | Antivitamines K Surveillance biologique hĂ©morragie rĂ©sistance | RĂ©sumĂ© : | Les antivitamines K (AVK) sont des médicaments antithrombotiques très utilisés qui sont administrés per os et s’opposant au processus de gammacarboxylation de plusieurs protéines de la coagulation vitamino-K dépendantes (facteurs II, VII, IX, X et inhibiteurs C et S) les rendant inactifs.
L’objectif de ce travail est de rapporter les principales molécules antiviatamines K en incistant sur leur mécanisme d’action et leur surveillance biologique et souligner la place de la résistance thérapeutique à ces molécules.
Ce sont des composés organiques de faible poids moléculaire. Il en existe deux classes, les dérivés de la 4-hydroxycoumarine : acénocoumarol (Sintrom), tioclomarol (Apegmone), warfarine (Coumadine), phenprocoumone (Marcoumar) et les dérivés de l’indiane-1,3-dione : phénindione (Pindione), fluindione (Préviscan). Malgré leur apparente facilité d’utilisation, ces molécules demeurent d’un maniement difficile. Pour chaque patient, la dose nécessaire d’AVK est variable et doit être ajustée selon les résultats de l’INR (International Normalized Ratio). En cas d’incident hémorragique lié à un surdosage ou d’inefficacité liée à une dose infra-thérapeutique, une conduite à tenir permet d’ajuster la posologie et de traiter les incidents de la manière la plus efficace possible. Lorsque des doses d’AVK supérieures à celles habituellement prescrites ne sont pas associées à une hypocoagulation suffisante on parle de résistance aux AVK. Avant d’affirmer une réelle résistance génétique, phénomène très rare, il faut éliminer les interférences médicamenteuses et/ou alimentaires et le défaut de compliance du patient. Dans l’espoir de compléter l’arsenal thérapeutique par les nouveaux anticoagulants oraux, molécules en phase d’étude dont la maniement parerait plus simple, les AVK restent le traitement de choix des maladies thromboemboliques par voie orale.
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | P0722009 | Président : | YAHYA CHERRAH | Directeur : | A.AMASRAR | Juge : | HAMID BENZIANE |
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