Titre : | GROSSESSE EXTRA-UTÉRINE Ă€ PROPOS DE 117 CAS | Type de document : | thèse | Auteurs : | FERKOUS GHIZLANE, Auteur | AnnĂ©e de publication : | 2011 | ISBN/ISSN/EAN : | M1102011 | Langues : | Français (fre) | Mots-clĂ©s : | GEU ÉPIDÉMIOLOGIE FACTEURS DE RISQUE DIAGNOSTIC TRAITEMENT PRONOSTIC | RĂ©sumĂ© : | Au terme de notre étude qui a concernée 117 cas de GEU diagnostiqués et traités au service de gynécologie obstétrique M1 à la maternité Souissi de Rabat durant une période de 6 ans, nous avons conclu que :
- La fréquence de cette affection est de 1/338, l’âge moyen est de 32 ans, avec un maximum de fréquence entre 25 et 36 ans, les nullipares et les primipares sont les plus atteintes.
-Les facteurs de risques fréquemment retrouvés sont: les avortements spontanés 23%, la contraception orale 17,94%, salpingites et IST 11,11 %, IVG 7,69 % et les antécédent de GEU 6,83%, cliniquement la triade ; retard de règles (63,24%), métrorragies (70%) et douleurs pelviennes (91,5%) étaient les principaux signes révélateurs de la GEU.
-Le diagnostic précoce de la grossesse extra-utérine peut être fait grâce au dosage plasmatique de βHCG associé à l’écographie permettant ainsi une prise en charge thérapeutique avant le stade de rupture.
-Le traitement reste généralement chirurgical radical avec une fréquence élevée de la salpingectomie totale 89,74% des cas, malheureusement, la fertilité après GEU chez ces patientes n’a pas pu être évaluée (la plupart des patientes sont perdues de vue).
-Les thérapeutiques actuelles ont tendance à améliorer la fertilité après GEU, mais ne peuvent être proposées qu’aux formes diagnostiquées précocement, c'est-à-dire encore une fois l’intérêt du diagnostic précoce de cette affection.
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M1102011 | Président : | AICHA KHARBACH | Directeur : | AICHA KHARBACH | Juge : | NAJIA ZERIDI | Juge : | AMINA LAKHDAR | Juge : | RACHID BERRADA |
GROSSESSE EXTRA-UTÉRINE Ă€ PROPOS DE 117 CAS [thèse] / FERKOUS GHIZLANE, Auteur . - 2011. ISSN : M1102011 Langues : Français ( fre) Mots-clĂ©s : | GEU ÉPIDÉMIOLOGIE FACTEURS DE RISQUE DIAGNOSTIC TRAITEMENT PRONOSTIC | RĂ©sumĂ© : | Au terme de notre étude qui a concernée 117 cas de GEU diagnostiqués et traités au service de gynécologie obstétrique M1 à la maternité Souissi de Rabat durant une période de 6 ans, nous avons conclu que :
- La fréquence de cette affection est de 1/338, l’âge moyen est de 32 ans, avec un maximum de fréquence entre 25 et 36 ans, les nullipares et les primipares sont les plus atteintes.
-Les facteurs de risques fréquemment retrouvés sont: les avortements spontanés 23%, la contraception orale 17,94%, salpingites et IST 11,11 %, IVG 7,69 % et les antécédent de GEU 6,83%, cliniquement la triade ; retard de règles (63,24%), métrorragies (70%) et douleurs pelviennes (91,5%) étaient les principaux signes révélateurs de la GEU.
-Le diagnostic précoce de la grossesse extra-utérine peut être fait grâce au dosage plasmatique de βHCG associé à l’écographie permettant ainsi une prise en charge thérapeutique avant le stade de rupture.
-Le traitement reste généralement chirurgical radical avec une fréquence élevée de la salpingectomie totale 89,74% des cas, malheureusement, la fertilité après GEU chez ces patientes n’a pas pu être évaluée (la plupart des patientes sont perdues de vue).
-Les thérapeutiques actuelles ont tendance à améliorer la fertilité après GEU, mais ne peuvent être proposées qu’aux formes diagnostiquées précocement, c'est-à-dire encore une fois l’intérêt du diagnostic précoce de cette affection.
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M1102011 | Président : | AICHA KHARBACH | Directeur : | AICHA KHARBACH | Juge : | NAJIA ZERIDI | Juge : | AMINA LAKHDAR | Juge : | RACHID BERRADA |
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