Titre : | INSUFFISANCE HYPOTHALAMO-HYPOPHYSAIRE | Type de document : | thèse | Auteurs : | GHANIMI YOUSRA, Auteur | AnnĂ©e de publication : | 2012 | Langues : | Français (fre) | Mots-clĂ©s : | INSUFFISANCE HYPOTHALAMO HYPOPHYSAIRE HYPOPHYSE PANHYPOPITUITARISME INSUFFISANCE PARTIELLE | RĂ©sumĂ© : | Notre étude étendue sur 6 ans, a permis de constater que l’insuffisance hypothalamo hypophysaire a une prévalence de 0,3% dans le service d’endocrinologie – diabétologie – nutrition de l’hôpital Ibn Sina.
Il existe une nette prédominance du sexe féminin avec 83,3% des cas, par contre on ne note pas de prédominance au niveau des tranches d’âge. Quoique d’après la littérature, les circonstances de découverte sont variables, revêtant un tableau clinique polymorphe on a relevé dans notre étude une prédominance des symptômes d’insuffisance gonadique (41,7% d’aménorrhée secondaire et 16,7% d’hypogonadisme secondaire).
Les dosages hormonaux et certains tests dynamiques sont incontournables pour le diagnostic de certitude, alors que l’imagerie contribue à l’établissement du diagnostic étiologique.
L’arachnoidocéle intra-sellaire est l’étiologie la plus dominante avec 41,7% des cas ; suivie de la maladie de Sheehan en seconde place avec 25% des cas.
Les problèmes posés par cette pathologie sont essentiellement d’ordre matériel : les bilans biologiques et morphologiques sont très couteux, le diagnostic est le plus souvent tardif . le traitement médical de substitution est une thérapie à vie et onéreuse . Quand il est instauré il nécessite des contrôles biologiques réguliers ce qui est difficile à réaliser et à supporter par la quasi totalité des patients.
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M2212012 | Président : | CHRAIBI.A | Directeur : | AOUNI.M | Juge : | BELMEJDOUB.G |
INSUFFISANCE HYPOTHALAMO-HYPOPHYSAIRE [thèse] / GHANIMI YOUSRA, Auteur . - 2012. Langues : Français ( fre) Mots-clĂ©s : | INSUFFISANCE HYPOTHALAMO HYPOPHYSAIRE HYPOPHYSE PANHYPOPITUITARISME INSUFFISANCE PARTIELLE | RĂ©sumĂ© : | Notre étude étendue sur 6 ans, a permis de constater que l’insuffisance hypothalamo hypophysaire a une prévalence de 0,3% dans le service d’endocrinologie – diabétologie – nutrition de l’hôpital Ibn Sina.
Il existe une nette prédominance du sexe féminin avec 83,3% des cas, par contre on ne note pas de prédominance au niveau des tranches d’âge. Quoique d’après la littérature, les circonstances de découverte sont variables, revêtant un tableau clinique polymorphe on a relevé dans notre étude une prédominance des symptômes d’insuffisance gonadique (41,7% d’aménorrhée secondaire et 16,7% d’hypogonadisme secondaire).
Les dosages hormonaux et certains tests dynamiques sont incontournables pour le diagnostic de certitude, alors que l’imagerie contribue à l’établissement du diagnostic étiologique.
L’arachnoidocéle intra-sellaire est l’étiologie la plus dominante avec 41,7% des cas ; suivie de la maladie de Sheehan en seconde place avec 25% des cas.
Les problèmes posés par cette pathologie sont essentiellement d’ordre matériel : les bilans biologiques et morphologiques sont très couteux, le diagnostic est le plus souvent tardif . le traitement médical de substitution est une thérapie à vie et onéreuse . Quand il est instauré il nécessite des contrôles biologiques réguliers ce qui est difficile à réaliser et à supporter par la quasi totalité des patients.
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M2212012 | Président : | CHRAIBI.A | Directeur : | AOUNI.M | Juge : | BELMEJDOUB.G |
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