Titre : | LA GESTION DES VOIES AERIENNES AUX URGENCES DE L’HOPITAL MILITAIRE D’INSTRUCTION MOHAMMED V - RABAT : ETUDE PROSPECTIVE PORTANT SUR 26 CAS. | Type de document : | thèse | Auteurs : | AHMED HOUSSEIN HAG, Auteur | AnnĂ©e de publication : | 2013 | Langues : | Français (fre) | Mots-clĂ©s : | GESTION VOIES AERIENNES DIFFICILE URGENCES | RĂ©sumĂ© : | Objectifs : Le but de notre travail est de décrire l’expérience de notre service en matière de prise en charge des voies aériennes supérieures et de discuter les facteurs prédictifs d’une intubation difficile dans la situation d’urgence.
Matériel et méthodes : Il s’agit d’une étude prospective effectuée dans le service des urgences médico-chirurgicales de l’Hôpital Militaire de Rabat, entre le 1er Septembre et le 31 Octobre 2013, portant sur 26 patients qui ont nécessités une prise en charge des voies aériennes. Tous les patients qui ont nécessité une intubation endotrachéale dans le service ont été inclus. La fiche d’exploitation comprenait les données sociodémographiques des patients, les données cliniques et paracliniques ainsi que les données en rapport avec l’intubation telles que le score de Cormack, la classe de Mallampati, l’induction anesthésique et les facteurs prédictifs d’intubation difficile.
Résultat : L’âge moyen de l’échantillon est de 54,4 (± 18,4ans), dont 84,6% de sexe masculin. En prenant en considération la classification de Cormack ≥3, neuf intubations (34,6%) ont été considérées comme difficiles par l’opérateur. La relation entre les grades de Mallampati et les grades de Cormack était statistiquement significative (p<0,05), ce qui plaide en faveur de la corrélation diagnostique entre les deux scores.
Conclusion : La gestion des voies aériennes aux urgences est difficile et nécessite une plus grande expertise médicale. Les définitions de la SFAR et de l’ASA de l’intubation difficile ne peuvent s’appliquer aux urgences du fait de l’absence de la disponibilité simultanée de deux seniors pour qualifier de difficile l’intubation. D’où la nécessité d’une définition de l’intubation difficile plus adaptée aux urgences.
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M2552013 | Président : | DIMOU.M | Directeur : | BELYAMANI.L | Juge : | DRISSI.M | Juge : | MOUSSAOUI.A |
LA GESTION DES VOIES AERIENNES AUX URGENCES DE L’HOPITAL MILITAIRE D’INSTRUCTION MOHAMMED V - RABAT : ETUDE PROSPECTIVE PORTANT SUR 26 CAS. [thèse] / AHMED HOUSSEIN HAG, Auteur . - 2013. Langues : Français ( fre) Mots-clĂ©s : | GESTION VOIES AERIENNES DIFFICILE URGENCES | RĂ©sumĂ© : | Objectifs : Le but de notre travail est de décrire l’expérience de notre service en matière de prise en charge des voies aériennes supérieures et de discuter les facteurs prédictifs d’une intubation difficile dans la situation d’urgence.
Matériel et méthodes : Il s’agit d’une étude prospective effectuée dans le service des urgences médico-chirurgicales de l’Hôpital Militaire de Rabat, entre le 1er Septembre et le 31 Octobre 2013, portant sur 26 patients qui ont nécessités une prise en charge des voies aériennes. Tous les patients qui ont nécessité une intubation endotrachéale dans le service ont été inclus. La fiche d’exploitation comprenait les données sociodémographiques des patients, les données cliniques et paracliniques ainsi que les données en rapport avec l’intubation telles que le score de Cormack, la classe de Mallampati, l’induction anesthésique et les facteurs prédictifs d’intubation difficile.
Résultat : L’âge moyen de l’échantillon est de 54,4 (± 18,4ans), dont 84,6% de sexe masculin. En prenant en considération la classification de Cormack ≥3, neuf intubations (34,6%) ont été considérées comme difficiles par l’opérateur. La relation entre les grades de Mallampati et les grades de Cormack était statistiquement significative (p<0,05), ce qui plaide en faveur de la corrélation diagnostique entre les deux scores.
Conclusion : La gestion des voies aériennes aux urgences est difficile et nécessite une plus grande expertise médicale. Les définitions de la SFAR et de l’ASA de l’intubation difficile ne peuvent s’appliquer aux urgences du fait de l’absence de la disponibilité simultanée de deux seniors pour qualifier de difficile l’intubation. D’où la nécessité d’une définition de l’intubation difficile plus adaptée aux urgences.
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M2552013 | Président : | DIMOU.M | Directeur : | BELYAMANI.L | Juge : | DRISSI.M | Juge : | MOUSSAOUI.A |
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