Titre : | ENCEPHALOMYELITE AIGUE DISSEMINE A PROPOS DE 12 CAS | Type de document : | thèse | Auteurs : | ALARIS EL YDRISSI IHAB, Auteur | AnnĂ©e de publication : | 2013 | Langues : | Français (fre) | Mots-clĂ©s : | ENCEPHALOMYELITE IRM VIRAL | RĂ©sumĂ© : | L’encéphalo-myélite aigue disséminée (EMAD) est une maladie démyélinisante du système nerveux central de cause présumée inflammatoire, auto-immunesouventprécédée d’une infection virale ou d’une vaccination.
Le tableau clinique comporte habituellement des troubles de la vigilance sous forme aigue ou subaiguëavec atteintes multifocales du SNC
La présentation clinique doit être poly-symptomatique et doit inclure une encéphalopathie outre une atteinte motrice, sensitive ou cérébelleuse.
Le diagnostic différentiel avec la sclérose en plaque est souvent difficilecependant les données de l’IRM et la ponction lombaire permettent souvent d’étayer ce diagnostique.
L’objectif de ce travail est d’étudier la présentation clinique et para-clinique ainsi que le profil évolutif de l’EMAD à travers une étude rétrospective chez 12 patients colligésau service de neurologie à l’hôpital d’instruction militaire Mohamed V de Rabat
L’âge moyen des patients était de 31,67 ± 12,8 ans, avec des extrêmes allant de 12 à 57 ans. Le sexe ratio H/F était de 1.4. Les deux principaux motifs de consultation étaient les céphalées en casque avec vomissements en jet(33.3%) et l’impotence fonctionnelle (33.3%).
La ponction lombaire était informative en révélant l’absence d’un profil oligo-clonal dans la majorité des cas.
L’IRM cérébro-médullaire a été réalisée pour l’ensemble des patients et a montré dans la majorité des cas des hypo-signaux T1 et des hyper-signaux T2 et Flair.Ceslésions sont généralement symétriques, mal définies, du mêmeâge et épargnent relativement la substance blanche péri-ventriculaire.
Sur le plan évolutif, après mise en route d’une corticothérapie intraveineuse à forte dose (Méthylprednisolone 1g/j /IV) relayé par la voie orale (prednisolone1mg/kg/j). La majorité des patients ontrécupéré tant sur le plan clinique que radiologique hormis un patient qui a gardé un foyer médullaire.
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M2662013 | Président : | BOURAZZA.A | Juge : | MRANI.S | Juge : | BELMEKKI.A | Juge : | DARBI.A |
ENCEPHALOMYELITE AIGUE DISSEMINE A PROPOS DE 12 CAS [thèse] / ALARIS EL YDRISSI IHAB, Auteur . - 2013. Langues : Français ( fre) Mots-clĂ©s : | ENCEPHALOMYELITE IRM VIRAL | RĂ©sumĂ© : | L’encéphalo-myélite aigue disséminée (EMAD) est une maladie démyélinisante du système nerveux central de cause présumée inflammatoire, auto-immunesouventprécédée d’une infection virale ou d’une vaccination.
Le tableau clinique comporte habituellement des troubles de la vigilance sous forme aigue ou subaiguëavec atteintes multifocales du SNC
La présentation clinique doit être poly-symptomatique et doit inclure une encéphalopathie outre une atteinte motrice, sensitive ou cérébelleuse.
Le diagnostic différentiel avec la sclérose en plaque est souvent difficilecependant les données de l’IRM et la ponction lombaire permettent souvent d’étayer ce diagnostique.
L’objectif de ce travail est d’étudier la présentation clinique et para-clinique ainsi que le profil évolutif de l’EMAD à travers une étude rétrospective chez 12 patients colligésau service de neurologie à l’hôpital d’instruction militaire Mohamed V de Rabat
L’âge moyen des patients était de 31,67 ± 12,8 ans, avec des extrêmes allant de 12 à 57 ans. Le sexe ratio H/F était de 1.4. Les deux principaux motifs de consultation étaient les céphalées en casque avec vomissements en jet(33.3%) et l’impotence fonctionnelle (33.3%).
La ponction lombaire était informative en révélant l’absence d’un profil oligo-clonal dans la majorité des cas.
L’IRM cérébro-médullaire a été réalisée pour l’ensemble des patients et a montré dans la majorité des cas des hypo-signaux T1 et des hyper-signaux T2 et Flair.Ceslésions sont généralement symétriques, mal définies, du mêmeâge et épargnent relativement la substance blanche péri-ventriculaire.
Sur le plan évolutif, après mise en route d’une corticothérapie intraveineuse à forte dose (Méthylprednisolone 1g/j /IV) relayé par la voie orale (prednisolone1mg/kg/j). La majorité des patients ontrécupéré tant sur le plan clinique que radiologique hormis un patient qui a gardé un foyer médullaire.
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M2662013 | Président : | BOURAZZA.A | Juge : | MRANI.S | Juge : | BELMEKKI.A | Juge : | DARBI.A |
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