Titre : | L’obĂ©sitĂ© et le cancer du sein en post mĂ©nopause. | Type de document : | thèse | Auteurs : | Hind HALOUI., Auteur | AnnĂ©e de publication : | 2015 | Langues : | Français (fre) | Mots-clĂ©s : | obĂ©sitĂ© cancer du sein mĂ©nopause hormones activitĂ© physique | RĂ©sumĂ© : | À ce jour, des données probantes montrent clairement que la surcharge pondérale et la sédentarité sont associées à des risques accrus d’être atteints de plusieurs types de cancers dont le cancer du sein. Ce sont deux facteurs de risque indépendants, mais dont les effets s’additionnent.
Il existe plusieurs mécanismes reliant l’obésité au risque de cancer du sein. Il a été démontré à maintes reprises que les femmes ménopausées obèses ou ayant un surplus de poids présentaient un déséquilibre des taux endogènes de plusieurs hormones, facteurs de croissance et cytokines : insuline, insulin-likegrowth factor-1 (IGF-1), leptine, adiponectine et hormones sexuelles. Ces facteurs sont impliqués dans des fonctions biologiques et peuvent davantage exercer leur effet d’activation de la prolifération cellulaire.
Chez ces femmes une augmentation de la pratiquede l’activité physique permet de diminuer les concentrations sanguines d’œstradiol, d’œstrone et d’androgènes et entraine une hausse du taux de SHBG. L’activité physique réduirait donc le risque de cancer du sein après la ménopause de deux façons. La première, indirectement, en diminuant la masse grasse et augmentant la masse musculaire, et la deuxième, de façon directe, en réformant la sensibilité à l’insuline, en modifiant le rapport des adipokines et en améliorant l’immunité cellulaire.
De ce fait, une activité physique régulière associée à une alimentation saine constituent une mesure préventive à adopter afin de diminuer l’incidence du cancer du sein.
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | P0782015 | Président : | KHARBACH.A | Directeur : | TELLAL.S | Juge : | EL HAMZAOUI.S | Juge : | ICHOU.M | Juge : | BALOUCH.L |
L’obĂ©sitĂ© et le cancer du sein en post mĂ©nopause. [thèse] / Hind HALOUI., Auteur . - 2015. Langues : Français ( fre) Mots-clĂ©s : | obĂ©sitĂ© cancer du sein mĂ©nopause hormones activitĂ© physique | RĂ©sumĂ© : | À ce jour, des données probantes montrent clairement que la surcharge pondérale et la sédentarité sont associées à des risques accrus d’être atteints de plusieurs types de cancers dont le cancer du sein. Ce sont deux facteurs de risque indépendants, mais dont les effets s’additionnent.
Il existe plusieurs mécanismes reliant l’obésité au risque de cancer du sein. Il a été démontré à maintes reprises que les femmes ménopausées obèses ou ayant un surplus de poids présentaient un déséquilibre des taux endogènes de plusieurs hormones, facteurs de croissance et cytokines : insuline, insulin-likegrowth factor-1 (IGF-1), leptine, adiponectine et hormones sexuelles. Ces facteurs sont impliqués dans des fonctions biologiques et peuvent davantage exercer leur effet d’activation de la prolifération cellulaire.
Chez ces femmes une augmentation de la pratiquede l’activité physique permet de diminuer les concentrations sanguines d’œstradiol, d’œstrone et d’androgènes et entraine une hausse du taux de SHBG. L’activité physique réduirait donc le risque de cancer du sein après la ménopause de deux façons. La première, indirectement, en diminuant la masse grasse et augmentant la masse musculaire, et la deuxième, de façon directe, en réformant la sensibilité à l’insuline, en modifiant le rapport des adipokines et en améliorant l’immunité cellulaire.
De ce fait, une activité physique régulière associée à une alimentation saine constituent une mesure préventive à adopter afin de diminuer l’incidence du cancer du sein.
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | P0782015 | Président : | KHARBACH.A | Directeur : | TELLAL.S | Juge : | EL HAMZAOUI.S | Juge : | ICHOU.M | Juge : | BALOUCH.L |
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