Titre : | la schizophrĂ©nie : donnĂ©es biologiques, gĂ©nĂ©tiques et dĂ©pistage prĂ©coce | Type de document : | thèse | Auteurs : | Sihame KHNIZROU, Auteur | AnnĂ©e de publication : | 2015 | Langues : | Français (fre) | Mots-clĂ©s : | SchizophrĂ©nie DonnĂ©es biologiques DonnĂ©es gĂ©nĂ©tiques DĂ©pistage prĂ©coce. | RĂ©sumĂ© : | La schizophrénie est un trouble psychiatrique de la famille des psychoses, invalidant de pronostic assez sévère et d’évolution très longue.
La recherche de marqueurs biologiques dans la schizophrénie est l’une des voies d’approche vers une meilleure compréhension de son étiologie. Les études orientées au départ vers la mesure de différentes substances dans les compartiments biologiques se sont enrichies des progrès en neuro-imagerie. L’hypothèse initiale d’un simple dysfonctionnement dopaminergique a montré ses limites et laisse la place à des modèles où s’intègrent, en interaction avec le système dopaminergique, d’autres neurotransmetteurs tels la sérotonine, le glutamate, la noradrénaline, l’acide gamma-amino-butyrique et les neuropeptides.
L’hypothèse selon laquelle un facteur héréditaire interviendrait dans le déterminisme
de la schizophrénie existe depuis le début de ce siècle. L’hypothèse actuellement retenue est celle d’un modèle polygénique et multifactoriel. La maladie ne se développerait que lorsque ces interactions gènes-environnement dépassent un certain seuil dit de susceptibilité à la maladie. Certains gènes sont considérés comme des candidats intéressants mais leur rôle dans la physiopathologie de la maladie est encore mal connu. Les études classiques de liaison et d’association ont été complétées par d’autres stratégies, comme la recherche d’endophénotypes ou l’étude de remaniements chromosomiques associés à une prévalence accrue de troubles psychiatriques, afin de tenter d’identifier des régions d’intérêt ou des gènes candidats au sein du génome.
De longue date, cliniciens et chercheurs se sont intéressés au diagnostic et au traitement des épisodes psychotiques caractérisés qui marquent le début de la maladie. De nombreux travaux ont cherché à mieux caractériser ces prodromes de façon à identifier les sujets à risque de développer des symptômes psychotiques caractérisés.
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | P0442015 | Président : | MEHSSANI.J | Directeur : | TELLAL.S | Juge : | KISRA.H | Juge : | NAZIH.M | Juge : | KADIRI.M-LEMKHENTE.Z |
la schizophrĂ©nie : donnĂ©es biologiques, gĂ©nĂ©tiques et dĂ©pistage prĂ©coce [thèse] / Sihame KHNIZROU, Auteur . - 2015. Langues : Français ( fre) Mots-clĂ©s : | SchizophrĂ©nie DonnĂ©es biologiques DonnĂ©es gĂ©nĂ©tiques DĂ©pistage prĂ©coce. | RĂ©sumĂ© : | La schizophrénie est un trouble psychiatrique de la famille des psychoses, invalidant de pronostic assez sévère et d’évolution très longue.
La recherche de marqueurs biologiques dans la schizophrénie est l’une des voies d’approche vers une meilleure compréhension de son étiologie. Les études orientées au départ vers la mesure de différentes substances dans les compartiments biologiques se sont enrichies des progrès en neuro-imagerie. L’hypothèse initiale d’un simple dysfonctionnement dopaminergique a montré ses limites et laisse la place à des modèles où s’intègrent, en interaction avec le système dopaminergique, d’autres neurotransmetteurs tels la sérotonine, le glutamate, la noradrénaline, l’acide gamma-amino-butyrique et les neuropeptides.
L’hypothèse selon laquelle un facteur héréditaire interviendrait dans le déterminisme
de la schizophrénie existe depuis le début de ce siècle. L’hypothèse actuellement retenue est celle d’un modèle polygénique et multifactoriel. La maladie ne se développerait que lorsque ces interactions gènes-environnement dépassent un certain seuil dit de susceptibilité à la maladie. Certains gènes sont considérés comme des candidats intéressants mais leur rôle dans la physiopathologie de la maladie est encore mal connu. Les études classiques de liaison et d’association ont été complétées par d’autres stratégies, comme la recherche d’endophénotypes ou l’étude de remaniements chromosomiques associés à une prévalence accrue de troubles psychiatriques, afin de tenter d’identifier des régions d’intérêt ou des gènes candidats au sein du génome.
De longue date, cliniciens et chercheurs se sont intéressés au diagnostic et au traitement des épisodes psychotiques caractérisés qui marquent le début de la maladie. De nombreux travaux ont cherché à mieux caractériser ces prodromes de façon à identifier les sujets à risque de développer des symptômes psychotiques caractérisés.
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | P0442015 | Président : | MEHSSANI.J | Directeur : | TELLAL.S | Juge : | KISRA.H | Juge : | NAZIH.M | Juge : | KADIRI.M-LEMKHENTE.Z |
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