Titre : | Approche de la thĂ©rapie cellulaire : Cas de la maladie de Parkinson ; Revue de littĂ©rature | Type de document : | thèse | Auteurs : | Gnon Sounon Isabelle Isibath OROU SEGO, Auteur | AnnĂ©e de publication : | 2016 | Langues : | Français (fre) | Mots-clĂ©s : | Cellules souches thĂ©rapie cellulaire Maladie de Parkinson | RĂ©sumĂ© : | La maladie de Parkinson est une maladie neurodégénérative qui fut découverte en 1817 par Sir James Parkinson. Elle se manifeste principalement par une atteinte sous-corticale, localisée au niveau de la substance noire (locus niger), qui regroupe les neurones dopaminergiques. C’est une pathologie assez fréquente pour laquelle on dispose actuellement de plusieurs traitements mais pas efficaces à 100% motivant les chercheurs à se diriger vers d’autres thérapies comme la thérapie cellulaire.
La thérapie cellulaire est une approche qui utilise un produit biologique à effet thérapeutique issu de préparation de cellules vivantes humaines ou animales pouvant être des cellules différenciées et fonctionnelles provenant d’un organe, les cellules précurseurs issues de cellules souches qui ont acquis un certain degré de spécialisation et les cellules souches. Les plus intéressantes actuellement pour la maladie de Parkinson sont les cellules souches dotées de propriété d’auto-renouvellement et de différenciation les classant en cellules souches totipotentes, pluripotentes, multipotentes et unipotentes. Elles peuvent être d’origine embryonnaire, fœtale ou adulte.
Les cellules souches candidates pour la thérapie de la maladie de Parkinson sont principalement : les cellules souches embryonnaires, les cellules souches neurales issues de fœtus, les cellules souches neurales adultes, les cellules souches mésenchymateuses à cause de leur plasticité et les cellules souches pluripotentes induites. Elles sont théoriquement aptes à former des neurones dopaminergiques pouvant être implantés chez le parkinsonien.
Les études qui sont déjà passées à des essais chez l’homme concernent essentiellement les neurones fœtaux mais les résultats ne sont pas assez concluants pour lancer un réel traitement. Jusqu’à présent les chercheurs essayent de déterminer la meilleure cellule candidate qui pourrait répondre efficacement comme traitement à la maladie de Parkinson.
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | P0312016 | Président : | ZOUHDI.M | Directeur : | CHOKAIRI.O | Juge : | BARKIYOU.M | Juge : | REGRAGUI.W |
Approche de la thĂ©rapie cellulaire : Cas de la maladie de Parkinson ; Revue de littĂ©rature [thèse] / Gnon Sounon Isabelle Isibath OROU SEGO, Auteur . - 2016. Langues : Français ( fre) Mots-clĂ©s : | Cellules souches thĂ©rapie cellulaire Maladie de Parkinson | RĂ©sumĂ© : | La maladie de Parkinson est une maladie neurodégénérative qui fut découverte en 1817 par Sir James Parkinson. Elle se manifeste principalement par une atteinte sous-corticale, localisée au niveau de la substance noire (locus niger), qui regroupe les neurones dopaminergiques. C’est une pathologie assez fréquente pour laquelle on dispose actuellement de plusieurs traitements mais pas efficaces à 100% motivant les chercheurs à se diriger vers d’autres thérapies comme la thérapie cellulaire.
La thérapie cellulaire est une approche qui utilise un produit biologique à effet thérapeutique issu de préparation de cellules vivantes humaines ou animales pouvant être des cellules différenciées et fonctionnelles provenant d’un organe, les cellules précurseurs issues de cellules souches qui ont acquis un certain degré de spécialisation et les cellules souches. Les plus intéressantes actuellement pour la maladie de Parkinson sont les cellules souches dotées de propriété d’auto-renouvellement et de différenciation les classant en cellules souches totipotentes, pluripotentes, multipotentes et unipotentes. Elles peuvent être d’origine embryonnaire, fœtale ou adulte.
Les cellules souches candidates pour la thérapie de la maladie de Parkinson sont principalement : les cellules souches embryonnaires, les cellules souches neurales issues de fœtus, les cellules souches neurales adultes, les cellules souches mésenchymateuses à cause de leur plasticité et les cellules souches pluripotentes induites. Elles sont théoriquement aptes à former des neurones dopaminergiques pouvant être implantés chez le parkinsonien.
Les études qui sont déjà passées à des essais chez l’homme concernent essentiellement les neurones fœtaux mais les résultats ne sont pas assez concluants pour lancer un réel traitement. Jusqu’à présent les chercheurs essayent de déterminer la meilleure cellule candidate qui pourrait répondre efficacement comme traitement à la maladie de Parkinson.
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | P0312016 | Président : | ZOUHDI.M | Directeur : | CHOKAIRI.O | Juge : | BARKIYOU.M | Juge : | REGRAGUI.W |
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