Accueil
A partir de cette page vous pouvez :
Retourner au premier écran avec les dernières notices... |
Détail de l'auteur
Auteur SGUIT fadoua
Documents disponibles écrits par cet auteur
Faire une suggestion Affiner la recherche
Titre : DYSFONCTION CHRONIQUE DU GREFFON : FACTEURS DE RISQUE ET PRISE EN CHARGE Type de document : thèse Auteurs : SGUIT fadoua, Auteur Année de publication : 2020 Langues : Français (fre) Résumé : INTRODUCTION :
La transplantation rénale (TR) est le meilleur traitement de suppléance de l’insuffisance rénale chronique terminale. Cependant plusieurs complications peuvent être observées provoquant une altération de la fonction du greffon. L’objectif de notre travail est d’évaluer la fonction rénale de nos patients, et de définir les facteurs de risque de la dysfonction chronique du greffon.
MATERIEL ET METHODES :
Nous avons mené une étude rétrospective au sein du service de Néphrologie-Dialyse et Transplantation rénale du CHU Ibn Sina de RABAT, étalée entre Avril 1998 et Octobre 2017, incluant tous les patients transplantés rénaux, dans notre formation et toujours suivis en consultation.
Plusieurs variables ont été étudiés, démographiques, immunologique, clinico-biologiques thérapeutiques et évolutifs. Deux groupes ont été définis selon l’estimation de la clairance de la créatinine par la formule MDRD : groupe 1 : MDRD < 60ml/mn /1.73m2, groupe 2 : MDRD > 60ml/mn/1.73m2.
RESULTATS :
Nous avons recensé 118 patients. L’âge moyen au moment de la transplantation rénale était de 34,1± 11,6 ans avec un sexe ratio à 1,7 H/F. 56,5% de nos patients avaient un événement immunisant et 10% des anticorps anti-HLA positifs sans présence de DSA. Dans 90,7% de cas la greffe était à partir d’un donneur vivant apparenté avec un âge moyen de 44± 15 ans. 18,8 % de nos patients ont développé un rejet aigu, 37,2% une HTA, 63,5% des complications infectieuses.
40
Le nombre de patient ayant une clairance < 60 ml/min/1.73m2 est de 33% (n=37) à 3mois et 57 % (n=31) à 5ans. Les facteurs de risque retrouvés sont l’âge avancé du donneur (p=0,008), La reprise retardée de la fonction du greffon (p=0,019), et les complications infectieuses (p=0,002).
CONCLUSION :
Le diagnostic précoce de la dysfonction chronique du greffon repose sur le dépistage précoce et la prise en charge de tous les facteurs de risque.Numéro (Thèse ou Mémoire) : MS2572020 Directeur : BOUATTAR TARIK DYSFONCTION CHRONIQUE DU GREFFON : FACTEURS DE RISQUE ET PRISE EN CHARGE [thèse] / SGUIT fadoua, Auteur . - 2020.
Langues : Français (fre)
Résumé : INTRODUCTION :
La transplantation rénale (TR) est le meilleur traitement de suppléance de l’insuffisance rénale chronique terminale. Cependant plusieurs complications peuvent être observées provoquant une altération de la fonction du greffon. L’objectif de notre travail est d’évaluer la fonction rénale de nos patients, et de définir les facteurs de risque de la dysfonction chronique du greffon.
MATERIEL ET METHODES :
Nous avons mené une étude rétrospective au sein du service de Néphrologie-Dialyse et Transplantation rénale du CHU Ibn Sina de RABAT, étalée entre Avril 1998 et Octobre 2017, incluant tous les patients transplantés rénaux, dans notre formation et toujours suivis en consultation.
Plusieurs variables ont été étudiés, démographiques, immunologique, clinico-biologiques thérapeutiques et évolutifs. Deux groupes ont été définis selon l’estimation de la clairance de la créatinine par la formule MDRD : groupe 1 : MDRD < 60ml/mn /1.73m2, groupe 2 : MDRD > 60ml/mn/1.73m2.
RESULTATS :
Nous avons recensé 118 patients. L’âge moyen au moment de la transplantation rénale était de 34,1± 11,6 ans avec un sexe ratio à 1,7 H/F. 56,5% de nos patients avaient un événement immunisant et 10% des anticorps anti-HLA positifs sans présence de DSA. Dans 90,7% de cas la greffe était à partir d’un donneur vivant apparenté avec un âge moyen de 44± 15 ans. 18,8 % de nos patients ont développé un rejet aigu, 37,2% une HTA, 63,5% des complications infectieuses.
40
Le nombre de patient ayant une clairance < 60 ml/min/1.73m2 est de 33% (n=37) à 3mois et 57 % (n=31) à 5ans. Les facteurs de risque retrouvés sont l’âge avancé du donneur (p=0,008), La reprise retardée de la fonction du greffon (p=0,019), et les complications infectieuses (p=0,002).
CONCLUSION :
Le diagnostic précoce de la dysfonction chronique du greffon repose sur le dépistage précoce et la prise en charge de tous les facteurs de risque.Numéro (Thèse ou Mémoire) : MS2572020 Directeur : BOUATTAR TARIK Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité MS2572020 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires Mémoires de Spécialités Disponible Documents numériques
MS2572020URL L’infertilité masculine : profil cytogénétique / SGUIT fadoua
Titre : L’infertilité masculine : profil cytogénétique Type de document : thèse Auteurs : SGUIT fadoua, Auteur Année de publication : 2016 Langues : Français (fre) Mots-clés : l'infertilité chez l'homme spermogramme les causes chromosomiques les Causes géniques le caryotype Résumé : L'infertilité masculine est présente dans plus de 50% des infertilités du couple, son diagnostic nécessite une approche méthodique et rigoureuse reposant sur la connaissance des mécanismes anatomophysiologiques et les causes potentielles d'infertilité masculine.
Cette thèse s'intéresse aux causes génétiques : les causes chromosomiques et les causes géniques, tout en donnant les différentes possibilités thérapeutiques et en précisant la place du conseil génétique dans le cadre de l'infertilité masculine.
Notre travail rapporte une approche de la responsabilité des anomalies chromosomiques et la place des caryotypes dans le diagnostic et la prise en charge probable de l'infertilité masculine.
Ce travail rétrospectif porte sur 85 hommes infertiles ayant bénéficié d'un caryotype au laboratoire de cytogénétique de la faculté de médecine et de pharmacie de Rabat : 28, 24% de nos patients ont présenté une anomalie chromosomique, une nette prédominance des anomalies de nombres sur les anomalies de structures (respectivement 92% et 8%), une prédominance des anomalies gonosomiques sur les anomalies autosomiques (respectivement 96% et 4%) .
Le syndrome de klinefelter reste l'anomalie la plus fréquente sous sa forme homogène (22% de notre échantillon).
Le caryotype reste l'examen clé aussi bien pour le diagnostic, pour l'orientation thérapeutique et le pronostic. Cependant cet examen seul n'est pas suffisant pour une exploration génétique complète à la recherche des microdélétions du chromosome Y et à la recherche des anomalies géniques qui nécessitent le recours aux nouvelles techniques de la biologie moléculaire (PCR) et la FISH.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0812016 Président : RAGALA OUAZZANI.A Directeur : CHOKAIRI.O Juge : OUKABLI.M Juge : IBRAHIMI.A L’infertilité masculine : profil cytogénétique [thèse] / SGUIT fadoua, Auteur . - 2016.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : l'infertilité chez l'homme spermogramme les causes chromosomiques les Causes géniques le caryotype Résumé : L'infertilité masculine est présente dans plus de 50% des infertilités du couple, son diagnostic nécessite une approche méthodique et rigoureuse reposant sur la connaissance des mécanismes anatomophysiologiques et les causes potentielles d'infertilité masculine.
Cette thèse s'intéresse aux causes génétiques : les causes chromosomiques et les causes géniques, tout en donnant les différentes possibilités thérapeutiques et en précisant la place du conseil génétique dans le cadre de l'infertilité masculine.
Notre travail rapporte une approche de la responsabilité des anomalies chromosomiques et la place des caryotypes dans le diagnostic et la prise en charge probable de l'infertilité masculine.
Ce travail rétrospectif porte sur 85 hommes infertiles ayant bénéficié d'un caryotype au laboratoire de cytogénétique de la faculté de médecine et de pharmacie de Rabat : 28, 24% de nos patients ont présenté une anomalie chromosomique, une nette prédominance des anomalies de nombres sur les anomalies de structures (respectivement 92% et 8%), une prédominance des anomalies gonosomiques sur les anomalies autosomiques (respectivement 96% et 4%) .
Le syndrome de klinefelter reste l'anomalie la plus fréquente sous sa forme homogène (22% de notre échantillon).
Le caryotype reste l'examen clé aussi bien pour le diagnostic, pour l'orientation thérapeutique et le pronostic. Cependant cet examen seul n'est pas suffisant pour une exploration génétique complète à la recherche des microdélétions du chromosome Y et à la recherche des anomalies géniques qui nécessitent le recours aux nouvelles techniques de la biologie moléculaire (PCR) et la FISH.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0812016 Président : RAGALA OUAZZANI.A Directeur : CHOKAIRI.O Juge : OUKABLI.M Juge : IBRAHIMI.A Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0812016 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible M0812016-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible