Titre : | Les infections respiratoires aigües basses communautaires. | Type de document : | thèse | Auteurs : | Fatima Ezahra CHERKAOUI, Auteur | Année de publication : | 2018 | Langues : | Français (fre) | Mots-clés : | Antibiothérapie bronchite bronchopneumopathie pneumonie | Résumé : | Les infections respiratoires aigües basses, incluant principalement bronchites aiguës, la bronchopneumopathie chronique obstructive et pneumopathies aiguës communautaires, représentent la 3ecause de mortalité dans le monde avec 2,7 millions de décès/an.
Elles peuvent être dues à divers micro-organismes tels que les bactéries, virus, champignons, voir même d’origine polymicrobienne, mais près de 50 % des IRAB restent non documentées et/ou sans étiologie microbiologique retrouvée.
Bien que de nombreux progrès aient été faits dans la prise en charge de ces infections respiratoires aigües basses, il est nécessaire de développer des méthodes de diagnostic rapide fiables qui permettront d’améliorer et surtout de standardiser le diagnostic qui reste encore bien souvent clinique.
Les IRAB sont aussi à l’origine de la majeure partie de la prescription d’antibiotiques, tant en pratique de ville qu’en milieu hospitalier, alors qu’ils ne sont pas recommandés au cours de la bronchite aiguë simple et qu’ils s’avèrent inutiles dans les infections respiratoires aigües basses d’origine virale (influenza, rhinovirus, coronavirus,. . .) qui concerne près de 30 % des pneumopathies aiguës communautaires.
Cette antibiothérapie inappropriée expose ainsi les patients non seulement à des effets secondaires, mais également à l’émergence des résistances bactériennes, qui est induite par une prescription excessive ou trop prolongée d’une antibiothérapie.
Cette multi-résistance pose de véritables problèmes lors de traitements des infections respiratoires aigües basses. De plus, outre une élévation du taux de mortalité, elle provoque des surcoûts résultants d’une augmentation de la durée d’hospitalisation et des frais thérapeutiques ainsi que la réalisation de nombreuses analyses bactériologiques.
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | P0452018 | Président : | EL HAMZAOUI.S | Directeur : | SEKHSOKH.Y | Juge : | GAOUZI.A | Juge : | TELLAL.S |
Les infections respiratoires aigües basses communautaires. [thèse] / Fatima Ezahra CHERKAOUI, Auteur . - 2018. Langues : Français ( fre) Mots-clés : | Antibiothérapie bronchite bronchopneumopathie pneumonie | Résumé : | Les infections respiratoires aigües basses, incluant principalement bronchites aiguës, la bronchopneumopathie chronique obstructive et pneumopathies aiguës communautaires, représentent la 3ecause de mortalité dans le monde avec 2,7 millions de décès/an.
Elles peuvent être dues à divers micro-organismes tels que les bactéries, virus, champignons, voir même d’origine polymicrobienne, mais près de 50 % des IRAB restent non documentées et/ou sans étiologie microbiologique retrouvée.
Bien que de nombreux progrès aient été faits dans la prise en charge de ces infections respiratoires aigües basses, il est nécessaire de développer des méthodes de diagnostic rapide fiables qui permettront d’améliorer et surtout de standardiser le diagnostic qui reste encore bien souvent clinique.
Les IRAB sont aussi à l’origine de la majeure partie de la prescription d’antibiotiques, tant en pratique de ville qu’en milieu hospitalier, alors qu’ils ne sont pas recommandés au cours de la bronchite aiguë simple et qu’ils s’avèrent inutiles dans les infections respiratoires aigües basses d’origine virale (influenza, rhinovirus, coronavirus,. . .) qui concerne près de 30 % des pneumopathies aiguës communautaires.
Cette antibiothérapie inappropriée expose ainsi les patients non seulement à des effets secondaires, mais également à l’émergence des résistances bactériennes, qui est induite par une prescription excessive ou trop prolongée d’une antibiothérapie.
Cette multi-résistance pose de véritables problèmes lors de traitements des infections respiratoires aigües basses. De plus, outre une élévation du taux de mortalité, elle provoque des surcoûts résultants d’une augmentation de la durée d’hospitalisation et des frais thérapeutiques ainsi que la réalisation de nombreuses analyses bactériologiques.
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | P0452018 | Président : | EL HAMZAOUI.S | Directeur : | SEKHSOKH.Y | Juge : | GAOUZI.A | Juge : | TELLAL.S |
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