Titre : | Tumeurs neuroendocrines primitives du foie | Type de document : | thèse | Auteurs : | EL MOUSSAOUI Nawar, Auteur | Année de publication : | 2018 | Langues : | Français (fre) | Mots-clés : | Tumeur neuroendocrine Foie Immunohistochimie Chirurgie | Résumé : | Les tumeurs neuroendocrines primitives du foie sont rares. Elles sont définies comme primitives lorsqu’il existe une atteinte du foie sans atteinte des autres organes digestifs ou extra-digestif.
L’objectif de ce travail est d’analyser les caractères épidémiologiques, cliniques, paracliniques, thérapeutiques et pronostic en se basant sur l’étude d’un cas et une revue de littérature.
Nous rapportons le cas d’une patiente âgée de 33 ans, sans antécédents pathologiques, admise pour douleurs abdominales chroniques dans un contexte d’altération de l’état général. Le bilan morphologique a révélé une tumeur hépatique aux dépens du segment VII, avec absence d’autres localisations tumorales.
La patiente a été opérée. L’examen anatomopathologique de la pièce opératoire complété par une étude immunohistochimiqueont conclu à la présence d’une tumeur neuroendocrine du foie.
L’état de la patiente s’est amélioré pendant les mois qui suivent, elle a eu une récidive 3 ans après et est décédée 2 mois après le début des symptômes.
Les tumeurs neuroendocrines primitives du foie ne présente pas de prédominance de sexe, ni de facteurs de risque.
Leur diagnostic est fait par biopsie écho ou scanno-guidée, ou par étude anatomopathologique de la pièce opératoire. La tomodensitométrie et l'imagerie par résonance magnétique sont utilisées pour le diagnostic, le contrôle du traitement et la compréhension de la physiopathologie.
Les modalités du traitement sont variables, associant une chirurgie, une chimiothérapie, une chimioembolisation intra-artérielle hépatique, une injection d’éthanol percutanée, une radiofréquence percutanée, et parfois on a recours à la transplantation hépatique.
La rareté de la maladie entraîne des problèmes de diagnostic. Le traitement optimal n'est pas encore clairement établi et les résultats à long terme doivent être précisés par des études de séries plus importantes.
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M2882018 | Président : | SETTAF.A | Directeur : | MDAGHRI.J | Juge : | IFRINE.L | Juge : | JAHID.A |
Tumeurs neuroendocrines primitives du foie [thèse] / EL MOUSSAOUI Nawar, Auteur . - 2018. Langues : Français ( fre) Mots-clés : | Tumeur neuroendocrine Foie Immunohistochimie Chirurgie | Résumé : | Les tumeurs neuroendocrines primitives du foie sont rares. Elles sont définies comme primitives lorsqu’il existe une atteinte du foie sans atteinte des autres organes digestifs ou extra-digestif.
L’objectif de ce travail est d’analyser les caractères épidémiologiques, cliniques, paracliniques, thérapeutiques et pronostic en se basant sur l’étude d’un cas et une revue de littérature.
Nous rapportons le cas d’une patiente âgée de 33 ans, sans antécédents pathologiques, admise pour douleurs abdominales chroniques dans un contexte d’altération de l’état général. Le bilan morphologique a révélé une tumeur hépatique aux dépens du segment VII, avec absence d’autres localisations tumorales.
La patiente a été opérée. L’examen anatomopathologique de la pièce opératoire complété par une étude immunohistochimiqueont conclu à la présence d’une tumeur neuroendocrine du foie.
L’état de la patiente s’est amélioré pendant les mois qui suivent, elle a eu une récidive 3 ans après et est décédée 2 mois après le début des symptômes.
Les tumeurs neuroendocrines primitives du foie ne présente pas de prédominance de sexe, ni de facteurs de risque.
Leur diagnostic est fait par biopsie écho ou scanno-guidée, ou par étude anatomopathologique de la pièce opératoire. La tomodensitométrie et l'imagerie par résonance magnétique sont utilisées pour le diagnostic, le contrôle du traitement et la compréhension de la physiopathologie.
Les modalités du traitement sont variables, associant une chirurgie, une chimiothérapie, une chimioembolisation intra-artérielle hépatique, une injection d’éthanol percutanée, une radiofréquence percutanée, et parfois on a recours à la transplantation hépatique.
La rareté de la maladie entraîne des problèmes de diagnostic. Le traitement optimal n'est pas encore clairement établi et les résultats à long terme doivent être précisés par des études de séries plus importantes.
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M2882018 | Président : | SETTAF.A | Directeur : | MDAGHRI.J | Juge : | IFRINE.L | Juge : | JAHID.A |
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