Titre : | les dermo hypodermites chez l’enfant manifestation et conduite thérapeutique | Type de document : | thèse | Auteurs : | Youssef HAMICHE, Auteur | Année de publication : | 2020 | Langues : | Français (fre) | Mots-clés : | Dermo hypodermites Fasciite nécrosante Érysipèle La prise en charge thérapeutique | Résumé : | Les dermohypodermites bactériennes sont des infections dermatologiques fréquentes qui
suscitent un nombre d’interrogations clinique, thérapeutique et évolutive.
Ce travail nous a permis de distinguer deux grands tableaux cliniques de gravité très
différente selon la profondeur de l’infection : érysipèle et demohypodermite nécrosante –
fasciite nécrosante
L’érysipèle implique le derme supérieur, c’est une affection bénigne essentiellement
streptococcique, qui atteint le plus souvent le membre inferieur, elle est favorisée par des
facteurs locorégionaux (obésité, diabète, plaie cutanée ...). Le diagnostic est clinique devant
une fièvre, placard inflammatoire et douleur, associée à un syndrome inflammatoire. Le germe
responsable est le streptocoque beta hémolytique A dans la majorité des cas.
La prise en charge de l’érysipèle : hospitalisation, antibiothérapie et prise en charge des
facteurs des risques, généralement évolution est favorable
La fasciite nécrosante est une infection rare mais grave qui met en jeu le pronostic vital
d’origine poly-microbienne des parties molles. Le diagnostic est difficile au stade aigue, d’où
la nécessité d’évoquer le diagnostic devant des signes frustes (bulle, phlyctène, érythème) avec
ou sans nécrose.
L’imagerie joue rôle important dans le bilan d’extension mais ne doit pas retarder la prise
en charge thérapeutique.
Le traitement des dermohypodermites nécrosante-fasciite nécrosante doit associer la prise
en charge de l’état septique grave, la mise en route rapide d'une antibiothérapie et un traitement
chirurgical le plus tôt possible.
Malgré tous les efforts faits, la mortalité des dermohepodermite nécrosante-fasciite
nécrosante reste très lourde, autour de 30%, et les séquelles fonctionnelles et esthétiques sont
souvent considérables. | Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M3442020 | Président : | BENTAHILA.A | Directeur : | JABOUIRIK.F | Juge : | TELLAL.S |
les dermo hypodermites chez l’enfant manifestation et conduite thérapeutique [thèse] / Youssef HAMICHE, Auteur . - 2020. Langues : Français ( fre) Mots-clés : | Dermo hypodermites Fasciite nécrosante Érysipèle La prise en charge thérapeutique | Résumé : | Les dermohypodermites bactériennes sont des infections dermatologiques fréquentes qui
suscitent un nombre d’interrogations clinique, thérapeutique et évolutive.
Ce travail nous a permis de distinguer deux grands tableaux cliniques de gravité très
différente selon la profondeur de l’infection : érysipèle et demohypodermite nécrosante –
fasciite nécrosante
L’érysipèle implique le derme supérieur, c’est une affection bénigne essentiellement
streptococcique, qui atteint le plus souvent le membre inferieur, elle est favorisée par des
facteurs locorégionaux (obésité, diabète, plaie cutanée ...). Le diagnostic est clinique devant
une fièvre, placard inflammatoire et douleur, associée à un syndrome inflammatoire. Le germe
responsable est le streptocoque beta hémolytique A dans la majorité des cas.
La prise en charge de l’érysipèle : hospitalisation, antibiothérapie et prise en charge des
facteurs des risques, généralement évolution est favorable
La fasciite nécrosante est une infection rare mais grave qui met en jeu le pronostic vital
d’origine poly-microbienne des parties molles. Le diagnostic est difficile au stade aigue, d’où
la nécessité d’évoquer le diagnostic devant des signes frustes (bulle, phlyctène, érythème) avec
ou sans nécrose.
L’imagerie joue rôle important dans le bilan d’extension mais ne doit pas retarder la prise
en charge thérapeutique.
Le traitement des dermohypodermites nécrosante-fasciite nécrosante doit associer la prise
en charge de l’état septique grave, la mise en route rapide d'une antibiothérapie et un traitement
chirurgical le plus tôt possible.
Malgré tous les efforts faits, la mortalité des dermohepodermite nécrosante-fasciite
nécrosante reste très lourde, autour de 30%, et les séquelles fonctionnelles et esthétiques sont
souvent considérables. | Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M3442020 | Président : | BENTAHILA.A | Directeur : | JABOUIRIK.F | Juge : | TELLAL.S |
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