Titre : | GAMMAPATHIES MONOCLONALES MALIGNES (MYELOME MULTIPLE ET MACROGLOBULINEMIE DE WALDENSTRÖM) : ASPECTS EPIDEMIOLOGIQUES, CLINIQUES ET BIOLOGIQUES DES CAS COLLIGES, SUR UNE PERIODE DE 19 ANS, AU LABORATOIRE DE BIOCHIMIE-TOXICOLOGIE DE L’HMIMV DE RABAT | Type de document : | thèse | Auteurs : | Asma BELLOUCH, Auteur | Année de publication : | 2021 | Langues : | Français (fre) | Mots-clés : | Immunoglobuline monoclonale Gammapathies monoclonales malignes Myélome Multiple Macroglobulinémie de Waldenström Electrophorèse
des protéines | Résumé : | Mots clés : immunoglobuline monoclonale, gammapathies monoclonales malignes, Myélome
Multiple, Macroglobulinémie de Waldenström, électrophorèse des protéines.
Introduction : Les gammapathies monoclonales constituent un groupe très hétérogène de
maladies d’étiologies différentes. Dans 30% des cas, elles sont associées à une hémopathie
lymphoïde B : Myélome Multiple (MM), Macroglobulinémie de Waldenström (MGW),
maladie lymphoproliférative, amylose. Le MM est l’étiologie de loin la fréquente dans ce
cadre nosologique.
Type et objectif de l’étude : il s’agit d’une étude rétrospective descriptive, portant sur les cas
de gammapathies monoclonales colligés, sur une période de 19 ans, au laboratoire de
Biochimie-Toxicologie de l’HMIMV. L’objectif est de décrire les caractéristiques
épidémiologiques, cliniques et biologiques des cas de MM et de MGW.
Résultats : 516 cas de gammapathies monoclonales, pour lesquels un diagnostic a été établi,
ont fait l’objet de notre étude. Les gammapathies monoclonales malignes prédominaient, avec
59% des patients contre 37% pour les MGUS. En ce qui concerne le MM; l’âge moyen était
de 60,90 ans avec un sex-ratio (H/F) de 2,68. Les douleurs osseuses étaient les signes
révélateurs les plus fréquents (42%). Le pic monoclonal était évocateur dans 83% des cas
avec une nette prédilection pour la zone gammaglobuline (71%). Une prédominance des
Myélomes à IgG a été observée (53,45%).
La MGW ne représente que 5% des cas. L’âge moyen était de 63 ans, avec un sexe ratio (H/F)
de 1,70. La symptomatologie clinique est dominée par le syndrome anémique (23%). Une
prédominance des IgMK a été objectivée (74%).
Conclusion : Les gammapathies monoclonales malignes représentent plus de 50 % des cas.
Compte tenu de leur fréquence croissante, il paraît important de définir une stratégie
diagnostique et de surveillance adaptée. | Numéro (Thèse ou Mémoire) : | P0502021 | Président : | Kamal DOGHMI | Directeur : | Zohra OUZZIF | Juge : | Khalid ENNIBI | Juge : | Abdellah DAMI | Juge : | Mounya BOUABDELLAH |
GAMMAPATHIES MONOCLONALES MALIGNES (MYELOME MULTIPLE ET MACROGLOBULINEMIE DE WALDENSTRÖM) : ASPECTS EPIDEMIOLOGIQUES, CLINIQUES ET BIOLOGIQUES DES CAS COLLIGES, SUR UNE PERIODE DE 19 ANS, AU LABORATOIRE DE BIOCHIMIE-TOXICOLOGIE DE L’HMIMV DE RABAT [thèse] / Asma BELLOUCH, Auteur . - 2021. Langues : Français ( fre) Mots-clés : | Immunoglobuline monoclonale Gammapathies monoclonales malignes Myélome Multiple Macroglobulinémie de Waldenström Electrophorèse
des protéines | Résumé : | Mots clés : immunoglobuline monoclonale, gammapathies monoclonales malignes, Myélome
Multiple, Macroglobulinémie de Waldenström, électrophorèse des protéines.
Introduction : Les gammapathies monoclonales constituent un groupe très hétérogène de
maladies d’étiologies différentes. Dans 30% des cas, elles sont associées à une hémopathie
lymphoïde B : Myélome Multiple (MM), Macroglobulinémie de Waldenström (MGW),
maladie lymphoproliférative, amylose. Le MM est l’étiologie de loin la fréquente dans ce
cadre nosologique.
Type et objectif de l’étude : il s’agit d’une étude rétrospective descriptive, portant sur les cas
de gammapathies monoclonales colligés, sur une période de 19 ans, au laboratoire de
Biochimie-Toxicologie de l’HMIMV. L’objectif est de décrire les caractéristiques
épidémiologiques, cliniques et biologiques des cas de MM et de MGW.
Résultats : 516 cas de gammapathies monoclonales, pour lesquels un diagnostic a été établi,
ont fait l’objet de notre étude. Les gammapathies monoclonales malignes prédominaient, avec
59% des patients contre 37% pour les MGUS. En ce qui concerne le MM; l’âge moyen était
de 60,90 ans avec un sex-ratio (H/F) de 2,68. Les douleurs osseuses étaient les signes
révélateurs les plus fréquents (42%). Le pic monoclonal était évocateur dans 83% des cas
avec une nette prédilection pour la zone gammaglobuline (71%). Une prédominance des
Myélomes à IgG a été observée (53,45%).
La MGW ne représente que 5% des cas. L’âge moyen était de 63 ans, avec un sexe ratio (H/F)
de 1,70. La symptomatologie clinique est dominée par le syndrome anémique (23%). Une
prédominance des IgMK a été objectivée (74%).
Conclusion : Les gammapathies monoclonales malignes représentent plus de 50 % des cas.
Compte tenu de leur fréquence croissante, il paraît important de définir une stratégie
diagnostique et de surveillance adaptée. | Numéro (Thèse ou Mémoire) : | P0502021 | Président : | Kamal DOGHMI | Directeur : | Zohra OUZZIF | Juge : | Khalid ENNIBI | Juge : | Abdellah DAMI | Juge : | Mounya BOUABDELLAH |
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