Titre : | SYNDROME DES OVAIRES POLYKYSTIQUES | Type de document : | thèse | Auteurs : | Ibtissam SOUDOU, Auteur | AnnĂ©e de publication : | 2021 | Langues : | Français (fre) | Mots-clĂ©s : | InfertilitĂ© ObĂ©sitĂ© HyperandrogĂ©nie anovulation SOPK | RĂ©sumĂ© : | Le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) est l’endocrinopathie le plus fréquent
chez les femmes en âge de procréer, touche environ 5 à 10 % de la population féminine,
entraînant un désordre métabolique et hormonal grave à long terme. Il est souvent associé à
l’anovulation, à l’hyperandrogénie et à des ovaires d’aspect polykystique. Sa
physiopathologie n’est pas encore claire, mais des origines intra ovarien, génétique et
environnementale ont été établi. L’insulinorésistance qui est souvent associé à cette anomalie
ovarienne semble être un facteur aggravant du syndrome. L’excès androgénique est à la base
de la majorité des signes clinique observer tel que l’acné hormonal, l’hirsutisme et l’alopécie
féminine. L’hyperinsulinisme et l’obésité abdominale peuvent avoir des effets
complémentaires dans la pathogenèse du SOPK avec un risque accru de l’intolérance au
glucose, de diabète type 2 et d’altération de bilan lipidique. L’infertilité anovulatoire est l’un
des facteurs qu’inquiètent les patientes affectées par le SOPK, les traitements disponibles sont
basés sur l’induction de l’ovulation par la stimulation ovarienne un mécanisme simple,
efficace est largement utilisé. Le diagnostic de SOPK repose sur les critères de Rotterdam
publié en 2003 par ESHRE/ASRM, ainsi que l’exclusion des autres étiologies associe aux
hyperandrogénies et au trouble menstruel. Les femmes ayant le SOPK doivent faire l’objet
d’un dépistage de syndrome métabolique avec un suivi régulier des comorbidités associe au
SOPK. Le traitement repose essentiellement sur le changement du mode de vie, ainsi que les
contraceptifs œstroprogestatifs oraux et/ou de la metformine.
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | P1002021 | Président : | Sanae BOUHSAIN | Directeur : | Abdellah DAMI | Juge : | Jaouad KOUACH | Juge : | Laila BENCHEKROUN |
SYNDROME DES OVAIRES POLYKYSTIQUES [thèse] / Ibtissam SOUDOU, Auteur . - 2021. Langues : Français ( fre) Mots-clĂ©s : | InfertilitĂ© ObĂ©sitĂ© HyperandrogĂ©nie anovulation SOPK | RĂ©sumĂ© : | Le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) est l’endocrinopathie le plus fréquent
chez les femmes en âge de procréer, touche environ 5 à 10 % de la population féminine,
entraînant un désordre métabolique et hormonal grave à long terme. Il est souvent associé à
l’anovulation, à l’hyperandrogénie et à des ovaires d’aspect polykystique. Sa
physiopathologie n’est pas encore claire, mais des origines intra ovarien, génétique et
environnementale ont été établi. L’insulinorésistance qui est souvent associé à cette anomalie
ovarienne semble être un facteur aggravant du syndrome. L’excès androgénique est à la base
de la majorité des signes clinique observer tel que l’acné hormonal, l’hirsutisme et l’alopécie
féminine. L’hyperinsulinisme et l’obésité abdominale peuvent avoir des effets
complémentaires dans la pathogenèse du SOPK avec un risque accru de l’intolérance au
glucose, de diabète type 2 et d’altération de bilan lipidique. L’infertilité anovulatoire est l’un
des facteurs qu’inquiètent les patientes affectées par le SOPK, les traitements disponibles sont
basés sur l’induction de l’ovulation par la stimulation ovarienne un mécanisme simple,
efficace est largement utilisé. Le diagnostic de SOPK repose sur les critères de Rotterdam
publié en 2003 par ESHRE/ASRM, ainsi que l’exclusion des autres étiologies associe aux
hyperandrogénies et au trouble menstruel. Les femmes ayant le SOPK doivent faire l’objet
d’un dépistage de syndrome métabolique avec un suivi régulier des comorbidités associe au
SOPK. Le traitement repose essentiellement sur le changement du mode de vie, ainsi que les
contraceptifs œstroprogestatifs oraux et/ou de la metformine.
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | P1002021 | Président : | Sanae BOUHSAIN | Directeur : | Abdellah DAMI | Juge : | Jaouad KOUACH | Juge : | Laila BENCHEKROUN |
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