Titre : | LEUCEMIE MYELOÏDE CHRONIQUE: SUIVI MOLECULAIRE ET RECHERCHE DES MUTATIONS DE RESISTANCE AUX INHIBITEURS DE TYROSINE KINASE | Type de document : | thèse | Auteurs : | BOUARFA Wiam, Auteur | Année de publication : | 2021 | Langues : | Français (fre) | Mots-clés : | BCR‐ABL1 leucémie myéloïde chronique suivi de la réponse moléculaire qPCR Inhibiteurs de tyrosine kinase | Résumé : | La leucémie myéloïde chronique (LMC) est un syndrome myéloprolifératif chronique. Il est traduit par la prolifération clonale de cellules anormales de la lignée granuleuse, issues d’un précurseur pluripotent. Elle est associée à un réarrangement chromosomique récurrent appelé chromosome Philadelphie (Ph) qui est un chromosome chimérique issu d’une translocation réciproque équilibrée entre les chromosomes 9 et 22. Elle aboutit à un gène de fusion puis à une protéine anormale (BCR-ABL1) responsable de la transformation leucémique. La LMC évolue en trois phases : phase chronique, phase d’accélération et phase blastique. Les gènes responsables sont le gène ABL1 (Abelson) et le gène BCR (Breackpoint Cluster Region). Cependant, il existe des mutations causantes des résistances aux traitements de première intention : les Inhibiteurs de tyrosine kinase (ITK). Ces mutations affectent en outre les voies de signalisation responsables, l’affinité de la molécule (médicament) et la réponse au traitement. Dans cette étude, notre objectif était de réaliser le suivi de la réponse au traitement ainsi que de rechercher et d'identifier les mutations du BCR-ABL1 qui peuvent se produire dans les exons 13, 14 pour BCR et l’exon a2 pour ABL1. Pour atteindre notre objectif, nous avons analysé l'ADN complémentaire de 93 patients diagnostiqués avec la LMC via la PCR en temps réel, et pour les patients présentant une résistance, nous avons réalisé la PCR nichée et puis la méthode de séquençage Sanger. Nous avons réussi à identifier 3 mutations pathogènes, F378V, F378C et K375M. Nos résultats ont été corrélés avec les données cliniques de nos patients et aussi avec les résultats des autres études. | Numéro (Thèse ou Mémoire) : | MM0132021 | Président : | OUADGHIRI Mouna | Directeur : | BOUGUENOUCH Laila ; ELBOUCHIKHI Ihssane | Juge : | KARTTI Souad |
LEUCEMIE MYELOÏDE CHRONIQUE: SUIVI MOLECULAIRE ET RECHERCHE DES MUTATIONS DE RESISTANCE AUX INHIBITEURS DE TYROSINE KINASE [thèse] / BOUARFA Wiam, Auteur . - 2021. Langues : Français ( fre) Mots-clés : | BCR‐ABL1 leucémie myéloïde chronique suivi de la réponse moléculaire qPCR Inhibiteurs de tyrosine kinase | Résumé : | La leucémie myéloïde chronique (LMC) est un syndrome myéloprolifératif chronique. Il est traduit par la prolifération clonale de cellules anormales de la lignée granuleuse, issues d’un précurseur pluripotent. Elle est associée à un réarrangement chromosomique récurrent appelé chromosome Philadelphie (Ph) qui est un chromosome chimérique issu d’une translocation réciproque équilibrée entre les chromosomes 9 et 22. Elle aboutit à un gène de fusion puis à une protéine anormale (BCR-ABL1) responsable de la transformation leucémique. La LMC évolue en trois phases : phase chronique, phase d’accélération et phase blastique. Les gènes responsables sont le gène ABL1 (Abelson) et le gène BCR (Breackpoint Cluster Region). Cependant, il existe des mutations causantes des résistances aux traitements de première intention : les Inhibiteurs de tyrosine kinase (ITK). Ces mutations affectent en outre les voies de signalisation responsables, l’affinité de la molécule (médicament) et la réponse au traitement. Dans cette étude, notre objectif était de réaliser le suivi de la réponse au traitement ainsi que de rechercher et d'identifier les mutations du BCR-ABL1 qui peuvent se produire dans les exons 13, 14 pour BCR et l’exon a2 pour ABL1. Pour atteindre notre objectif, nous avons analysé l'ADN complémentaire de 93 patients diagnostiqués avec la LMC via la PCR en temps réel, et pour les patients présentant une résistance, nous avons réalisé la PCR nichée et puis la méthode de séquençage Sanger. Nous avons réussi à identifier 3 mutations pathogènes, F378V, F378C et K375M. Nos résultats ont été corrélés avec les données cliniques de nos patients et aussi avec les résultats des autres études. | Numéro (Thèse ou Mémoire) : | MM0132021 | Président : | OUADGHIRI Mouna | Directeur : | BOUGUENOUCH Laila ; ELBOUCHIKHI Ihssane | Juge : | KARTTI Souad |
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