Titre : | LA PLACE DES DERMOCORTICOĂŹDES DANS LE TRAITEMENT DU VITILIGO CHEZ L’ENFANT | Type de document : | thèse | Auteurs : | HOUDA MELHAOUI, Auteur | Langues : | Français (fre) | Mots-clĂ©s : | ENFANT VITILIGO CLINIQUE ETIOPATHOGENIE TRAITEMENT | Index. dĂ©cimale : | WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE | RĂ©sumĂ© : | Le vitiligo est une dermatose acquise due à une perte de la pigmentation cutanée suite à une destruction mélanocytaire caractérisée par l’apparition de plaques blanches et dépigmentées augmentant en surface et en nombre avec le temps.
C’est un motif fréquent de consultation. Il atteint environ 1 à 2% de la population générale. La prévalence exacte dans la population pédiatrique est inconnue mais 23 à 26% des cas sont des enfants de moins de douze ans.
Le vitiligo chez l’enfant, contrairement à celui de l’adulte, se caractérise par une prédominance féminine (51 à 69% des cas), une plus grande fréquence des antécédents familiaux de vitiligo ou d’association avec une maladie auto-immune.
Cliniquement, les atteintes péri-orificielles caractérisent le vitiligo juvénile particulièrement les formes segmentaires.
Les dermocorticoïdes restent le choix thérapeutique. Des progrès ont été réalisés ces dernières années et de nouvelles options ouvrent aujourd’hui des perspectives encourageantes qui consistent en une irradiation par les ultraviolets B de spectre étroit, le laser Excimer à 308nm, les immunomodulateurs et d’autres nouvelles approches.
Le traitement chirurgical est généralement recommandé pour le vitiligo stable et focal, lorsque le traitement médical est inefficace.
Dans notre travail, nous avons procédé à l’étude prospective de 8 cas de vitiligo (6 filles et 2 garçons) suivis en consultation de dermatologie pédiatrique au service de pédiatrie P4 à l’hôpital d’enfant de Rabat, âgés de 3 à 13 ans avec une notion de maladie auto-immune familiale.
Ces malades ont reçu un traitement médical local à base des dermocorticoïdes classe (2) et des émollients.
L’évolution est bonne marquée par la régénération mélanocytaire au bout de 3 mois de traitement.
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M2052010 | Président : | ABDELALI BENTAHILLA | Directeur : | FATEMA JABOUIRIK | Juge : | MBAREK ABDELHAK |
LA PLACE DES DERMOCORTICOĂŹDES DANS LE TRAITEMENT DU VITILIGO CHEZ L’ENFANT [thèse] / HOUDA MELHAOUI, Auteur . - [s.d.]. Langues : Français ( fre) Mots-clĂ©s : | ENFANT VITILIGO CLINIQUE ETIOPATHOGENIE TRAITEMENT | Index. dĂ©cimale : | WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE | RĂ©sumĂ© : | Le vitiligo est une dermatose acquise due à une perte de la pigmentation cutanée suite à une destruction mélanocytaire caractérisée par l’apparition de plaques blanches et dépigmentées augmentant en surface et en nombre avec le temps.
C’est un motif fréquent de consultation. Il atteint environ 1 à 2% de la population générale. La prévalence exacte dans la population pédiatrique est inconnue mais 23 à 26% des cas sont des enfants de moins de douze ans.
Le vitiligo chez l’enfant, contrairement à celui de l’adulte, se caractérise par une prédominance féminine (51 à 69% des cas), une plus grande fréquence des antécédents familiaux de vitiligo ou d’association avec une maladie auto-immune.
Cliniquement, les atteintes péri-orificielles caractérisent le vitiligo juvénile particulièrement les formes segmentaires.
Les dermocorticoïdes restent le choix thérapeutique. Des progrès ont été réalisés ces dernières années et de nouvelles options ouvrent aujourd’hui des perspectives encourageantes qui consistent en une irradiation par les ultraviolets B de spectre étroit, le laser Excimer à 308nm, les immunomodulateurs et d’autres nouvelles approches.
Le traitement chirurgical est généralement recommandé pour le vitiligo stable et focal, lorsque le traitement médical est inefficace.
Dans notre travail, nous avons procédé à l’étude prospective de 8 cas de vitiligo (6 filles et 2 garçons) suivis en consultation de dermatologie pédiatrique au service de pédiatrie P4 à l’hôpital d’enfant de Rabat, âgés de 3 à 13 ans avec une notion de maladie auto-immune familiale.
Ces malades ont reçu un traitement médical local à base des dermocorticoïdes classe (2) et des émollients.
L’évolution est bonne marquée par la régénération mélanocytaire au bout de 3 mois de traitement.
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M2052010 | Président : | ABDELALI BENTAHILLA | Directeur : | FATEMA JABOUIRIK | Juge : | MBAREK ABDELHAK |
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