Titre : | LYMPHANGIOME KYSTIQUE CUTANE CHEZ L’ENFANT. | Type de document : | thèse | Auteurs : | MARBOUH AMINA, Auteur | AnnĂ©e de publication : | 2013 | Langues : | Français (fre) | Mots-clĂ©s : | EPIDEMIOLOGIE ETIOPATHOGENIE ASPECT CLINIQUE TRAITEMENT. | RĂ©sumĂ© : | Le lymphangiome kystique représente 6% des tumeurs bénignes de l’enfant, ce sont des dilatations lymphatiques qui peuvent être microkystiques, macrokystiques ou mixtes. L’embryologie et la pathogénie sont encore débattues. La solution viendra des avancées de la recherche moléculaire avec la découverte et l’étude des facteurs de lymphogénèse.
La localisation la plus fréquente est cervicofaciale (75% des cas) puis axillaire (20% des cas), et médiastinal, rétropéritonéale, pelvienne dans (5% des cas).Le diagnostic anténatal est possible grâce à l’échographie, et l’imagerie par résonance magnétique (IRM). En postnatal, le diagnostic est clinique complété par l’échographie, le scanner et l’IRM qui reste l’examen complémentaire le plus performant pour confirmer le diagnostic.
Le choix du traitement dépend de la forme clinique et de la localisation du lymphangiome kystique. Les formes microkystiques sont traitées essentiellement par la chirurgie. Cependant dans les formes superficielles et circonscrites, un traitement par laser CO2peut être indiqué. Les formes macrokystiques relèvent de la sclérothérapie percutanée et les formes mixtes peuvent nécessiter l’association des deux moyens thérapeutiques (chirurgie, sclérothérapie).
Les localisations à risque de lésions nerveuses, sont traitées préférentiellement par la sclérothérapie. Des ponctions évacuatrices sont indiquées uniquement dans les situations d’urgence. Le but du traitement est de minimiser les complications fonctionnelles et esthétiques du lymphangiome, tout en minimisant les séquelles par une évaluation du rapport bénéfice/risque du traitement. La qualité de vie doit déterminer la conduite à tenir.
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M0182013 | Président : | BENTAHILA.A | Directeur : | JABOURIK.F | Juge : | EL MANSOURI.F |
LYMPHANGIOME KYSTIQUE CUTANE CHEZ L’ENFANT. [thèse] / MARBOUH AMINA, Auteur . - 2013. Langues : Français ( fre) Mots-clĂ©s : | EPIDEMIOLOGIE ETIOPATHOGENIE ASPECT CLINIQUE TRAITEMENT. | RĂ©sumĂ© : | Le lymphangiome kystique représente 6% des tumeurs bénignes de l’enfant, ce sont des dilatations lymphatiques qui peuvent être microkystiques, macrokystiques ou mixtes. L’embryologie et la pathogénie sont encore débattues. La solution viendra des avancées de la recherche moléculaire avec la découverte et l’étude des facteurs de lymphogénèse.
La localisation la plus fréquente est cervicofaciale (75% des cas) puis axillaire (20% des cas), et médiastinal, rétropéritonéale, pelvienne dans (5% des cas).Le diagnostic anténatal est possible grâce à l’échographie, et l’imagerie par résonance magnétique (IRM). En postnatal, le diagnostic est clinique complété par l’échographie, le scanner et l’IRM qui reste l’examen complémentaire le plus performant pour confirmer le diagnostic.
Le choix du traitement dépend de la forme clinique et de la localisation du lymphangiome kystique. Les formes microkystiques sont traitées essentiellement par la chirurgie. Cependant dans les formes superficielles et circonscrites, un traitement par laser CO2peut être indiqué. Les formes macrokystiques relèvent de la sclérothérapie percutanée et les formes mixtes peuvent nécessiter l’association des deux moyens thérapeutiques (chirurgie, sclérothérapie).
Les localisations à risque de lésions nerveuses, sont traitées préférentiellement par la sclérothérapie. Des ponctions évacuatrices sont indiquées uniquement dans les situations d’urgence. Le but du traitement est de minimiser les complications fonctionnelles et esthétiques du lymphangiome, tout en minimisant les séquelles par une évaluation du rapport bénéfice/risque du traitement. La qualité de vie doit déterminer la conduite à tenir.
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M0182013 | Président : | BENTAHILA.A | Directeur : | JABOURIK.F | Juge : | EL MANSOURI.F |
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