Titre : | LES TROUBLES DE LA SUDATION CHEZ L’ENFANT | Type de document : | thèse | Auteurs : | ELYAZZAOUI MAJDA, Auteur | AnnĂ©e de publication : | 2013 | Langues : | Français (fre) | Mots-clĂ©s : | ENFANT HYPERHIDROSE ANHIDROSE PHYSIOPATHOLOGIE TRAITEMENT | RĂ©sumĂ© : | La sécrétion sudorale, normale et indispensable au bon fonctionnement du corps, permet d’assurer, grâce aux glandes sudoripares eccrine, la régulation de la température interne de l’organisme par évaporation d’eau à la surface du corps. Ainsi, l’organisme peut s’adapter aux variations extérieures en maintenant la température corporelle à 37°C.
Donc, la sudation est un phénomène naturel qu’il convient de respecter mais qui peut subir des variations anormales sur le plan : de volume émis (hyperhidrose, hypohidrose, anhidrose) ; de l’odeur (bromhidrose) ; de couleur (chromhidrose). On peut également observer des rétentions sudorales et des pathologies inflammatoires.
L’hyperhidrose est la plus fréquente de ces troubles, caractérisée par une sudation excessive, localisée ou généralisée, et a longtemps été sous-évaluée. Certes, elle est une affection bénigne, mais elle a un impact sur la qualité de vie par ses répercussions sociales, professionnelles et psychologiques.
Le traitement des hyperhidroses localisées par antitranspirants locaux est le plus souvent inefficace. Il faut appel à l’ionophorèse, à la sympathectomie endoscopique et, plus récemment aux injections sous-cutanées de toxine botulique. Le traitement des hyperhidroses généralisées est avant tout étiologique.
L’anhidrose correspond à l’absence de sécrétion des glandes sudorales eccrines. Elle est rarement complète et correspond le plus fréquemment à une hypohidrose. Il ne faut pas sous-estimer les conséquences liées à des tableaux d’anhidrose, d’hypohidrose ou de rétentions sudorales, exposant à l’asthénie, au coup de chaleur et à certaines hyperthermies d’inadaptabilité au chaud parfois dramatiques. La prévention de l’hyperthermie s’effectue par l’information du patient ou de ses parents, qui doivent connaitre et éviter les situations à risque. L’objectif de notre travail est de mettre le point sur le profil : épidémiologique, étiopathogénique, les aspects cliniques, et le traitement de cette maladie chez l’enfant.
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M0572013 | Président : | BENTAHILA.A | Directeur : | JABOURIK.F | Juge : | HAMZAOUI.S |
LES TROUBLES DE LA SUDATION CHEZ L’ENFANT [thèse] / ELYAZZAOUI MAJDA, Auteur . - 2013. Langues : Français ( fre) Mots-clĂ©s : | ENFANT HYPERHIDROSE ANHIDROSE PHYSIOPATHOLOGIE TRAITEMENT | RĂ©sumĂ© : | La sécrétion sudorale, normale et indispensable au bon fonctionnement du corps, permet d’assurer, grâce aux glandes sudoripares eccrine, la régulation de la température interne de l’organisme par évaporation d’eau à la surface du corps. Ainsi, l’organisme peut s’adapter aux variations extérieures en maintenant la température corporelle à 37°C.
Donc, la sudation est un phénomène naturel qu’il convient de respecter mais qui peut subir des variations anormales sur le plan : de volume émis (hyperhidrose, hypohidrose, anhidrose) ; de l’odeur (bromhidrose) ; de couleur (chromhidrose). On peut également observer des rétentions sudorales et des pathologies inflammatoires.
L’hyperhidrose est la plus fréquente de ces troubles, caractérisée par une sudation excessive, localisée ou généralisée, et a longtemps été sous-évaluée. Certes, elle est une affection bénigne, mais elle a un impact sur la qualité de vie par ses répercussions sociales, professionnelles et psychologiques.
Le traitement des hyperhidroses localisées par antitranspirants locaux est le plus souvent inefficace. Il faut appel à l’ionophorèse, à la sympathectomie endoscopique et, plus récemment aux injections sous-cutanées de toxine botulique. Le traitement des hyperhidroses généralisées est avant tout étiologique.
L’anhidrose correspond à l’absence de sécrétion des glandes sudorales eccrines. Elle est rarement complète et correspond le plus fréquemment à une hypohidrose. Il ne faut pas sous-estimer les conséquences liées à des tableaux d’anhidrose, d’hypohidrose ou de rétentions sudorales, exposant à l’asthénie, au coup de chaleur et à certaines hyperthermies d’inadaptabilité au chaud parfois dramatiques. La prévention de l’hyperthermie s’effectue par l’information du patient ou de ses parents, qui doivent connaitre et éviter les situations à risque. L’objectif de notre travail est de mettre le point sur le profil : épidémiologique, étiopathogénique, les aspects cliniques, et le traitement de cette maladie chez l’enfant.
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M0572013 | Président : | BENTAHILA.A | Directeur : | JABOURIK.F | Juge : | HAMZAOUI.S |
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