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Auteur HAMMOUCH Zaineb
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Faire une suggestion Affiner la rechercheLe diabétique face aux mycoses / HAMMOUCH Zaineb
Titre : Le diabétique face aux mycoses Type de document : thèse Auteurs : HAMMOUCH Zaineb, Auteur Année de publication : 2016 Langues : Français (fre) Mots-clés : Diabète Mycoses Diagnostic Traitement. Résumé : Les mycoses constituent un motif fréquent de consultation. Leur prévalence semble plus élevée chez les diabétiques que dans la population générale. Il est actuellement admis que le diabète sucré constitue à la fois un facteur favorisant et aggravant les infections fongiques. En considérant le nombre croissant des diabétiques dans le monde, l’étude des mycoses chez le sujet diabétique revêt un intérêt majeur.
L’objectif assigné à notre travail est d’étudier les principaux champignons touchant plus fréquemment le sujet diabétique, en précisant leurs zones de prédilection, ainsi que leurs aspects cliniques, de mettre en évidence l’intérêt de l’examen direct et de la culture dans leur diagnostic, et de citer quelques plantes médicinales qui pourraient être utilisées comme alternative des traitements antifongiques classiques.
Selon les résultats des études et des observations émises à ce sujet, les quatre groupes de champignons ont été isolés chez des sujets diabétiques :
Les dermatophytes : Trichophyton rubrum est le plus incriminé de ce groupe suivi par Trichophyton mentagrophytes.
Les levures : avec en tête de fil Candida albicans, suivi de Malassezia furfura.
Les moisissures : représentées essentiellement par, Rhizopus sp et Fusarium sp, qui peuvent compliquer un diabète ancien et mal équilibré.
Les champignons dimorphiques : représentées par Histoplasma capsulatum, et Coccidioides immitis.
Pneumocystis jirovecii : qui pourrait être révélateur de diabète sucré.
Les infections fongiques constituent des problèmes de prise en charge et une cause sérieuse de morbidité ou de mortalité du diabétiques ; Ce qui met en évidence l’intérêt du diagnostic mycologique dans leur identification devant toute suspicion clinique.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P1312016 Président : BALOUCH.L Directeur : AOUFI.S Juge : ERRAMI.M Juge : SEKHSOKH.Y Le diabétique face aux mycoses [thèse] / HAMMOUCH Zaineb, Auteur . - 2016.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Diabète Mycoses Diagnostic Traitement. Résumé : Les mycoses constituent un motif fréquent de consultation. Leur prévalence semble plus élevée chez les diabétiques que dans la population générale. Il est actuellement admis que le diabète sucré constitue à la fois un facteur favorisant et aggravant les infections fongiques. En considérant le nombre croissant des diabétiques dans le monde, l’étude des mycoses chez le sujet diabétique revêt un intérêt majeur.
L’objectif assigné à notre travail est d’étudier les principaux champignons touchant plus fréquemment le sujet diabétique, en précisant leurs zones de prédilection, ainsi que leurs aspects cliniques, de mettre en évidence l’intérêt de l’examen direct et de la culture dans leur diagnostic, et de citer quelques plantes médicinales qui pourraient être utilisées comme alternative des traitements antifongiques classiques.
Selon les résultats des études et des observations émises à ce sujet, les quatre groupes de champignons ont été isolés chez des sujets diabétiques :
Les dermatophytes : Trichophyton rubrum est le plus incriminé de ce groupe suivi par Trichophyton mentagrophytes.
Les levures : avec en tête de fil Candida albicans, suivi de Malassezia furfura.
Les moisissures : représentées essentiellement par, Rhizopus sp et Fusarium sp, qui peuvent compliquer un diabète ancien et mal équilibré.
Les champignons dimorphiques : représentées par Histoplasma capsulatum, et Coccidioides immitis.
Pneumocystis jirovecii : qui pourrait être révélateur de diabète sucré.
Les infections fongiques constituent des problèmes de prise en charge et une cause sérieuse de morbidité ou de mortalité du diabétiques ; Ce qui met en évidence l’intérêt du diagnostic mycologique dans leur identification devant toute suspicion clinique.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P1312016 Président : BALOUCH.L Directeur : AOUFI.S Juge : ERRAMI.M Juge : SEKHSOKH.Y Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P1312016 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2016 Disponible P1312016-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2016 Disponible LE PROFIL ÉPIDÉMIOLOGIQUE DES ÉPIDERMOMYCOSES DIAGNOSTIQUÉES À L’HOPITAL IBN SINA DE RABAT : À PROPOS DE 244 CAS (2016-2022) / HAMMOUCH Zaineb
Titre : LE PROFIL ÉPIDÉMIOLOGIQUE DES ÉPIDERMOMYCOSES DIAGNOSTIQUÉES À L’HOPITAL IBN SINA DE RABAT : À PROPOS DE 244 CAS (2016-2022) Type de document : thèse Auteurs : HAMMOUCH Zaineb, Auteur Langues : Français (fre) Mots-clés : Epidermomycoses intertrigos épidermophyties C. albicans T. rubrum Résumé : INTRODUCTION
Les épidermomycoses sont des mycoses superficielles qui se présentent sous trois formes
cliniques : les épidermatophyties de la peau glabre, les intertrigos et les kératodermies palmoplantaires.
L’objectif de ce travail est d’étudier le profil épidémiologique et mycologique des
épidermomycoses diagnostiquées au laboratoire de parasitologie-mycologie à l’hôpital Ibn Sina
de Rabat.
MATERIELS /METHODES
Il s’agit d’une étude rétrospective, incluant les cas d'épidermomycoses diagnostiquées sur une
période allant du 1er janvier 2016 au 30 juillet 2022.
Chaque prélèvement a bénéficié d’un examen direct et d’une culture mycologique sur les
milieux Sabouraud incubés à 27 °C. Les espèces ont été identifiées selon les caractères
macroscopiques et microscopiques des cultures.
RESULTATS
Les épidermomycoses ont été diagnostiquées chez 244 patients. Le sexe féminin était
prédominant avec un sexe ratio H/F de 0.85. L’âge moyen était de 43 ans.
Les épidermomycoses étaient réparties selon les groupes cliniques suivants :
Les intertrigos étaient les plus fréquents avec 73 cas positifs, soit 29.9% de l'ensemble des
épidermomycoses. Les levures ont été isolées chez 55 patients (75.3 %), l'espèce la plus
incriminée était C. albicans (56.3%). Les intertrigos dermatophytiques ont été retrouvés chez
18 patients (24.6%) et étaient dûs exclusivement à T.rubrum. Les épidermophyties circinées
représentaient 72 cas (29.5%), dont le principal agent responsable était T. rubrum (69.4%). Les
malassezioses viennent au troisième rang avec 51 cas (20.9%), dûs exclusivement à Malassezia
sp. Pour les kératodermies palmo-plantaires 48 cas (19.7%), les dermatophytes étaient les
principaux agents responsables dans 42 cas (87.5%). T. rubrum représentait l'espèce la plus
fréquemment isolée avec 39 cas (92 .8%).
CONCLUSION
Les épidermomycoses sont un motif de consultation très fréquent. Devant toute suspicion
clinique, le diagnostic mycologique reste le diagnostic de certitude et d'orientation
thérapeutique.Numéro (Thèse ou Mémoire) : MS2022023 Directeur : Sarra AOUFI LE PROFIL ÉPIDÉMIOLOGIQUE DES ÉPIDERMOMYCOSES DIAGNOSTIQUÉES À L’HOPITAL IBN SINA DE RABAT : À PROPOS DE 244 CAS (2016-2022) [thèse] / HAMMOUCH Zaineb, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Epidermomycoses intertrigos épidermophyties C. albicans T. rubrum Résumé : INTRODUCTION
Les épidermomycoses sont des mycoses superficielles qui se présentent sous trois formes
cliniques : les épidermatophyties de la peau glabre, les intertrigos et les kératodermies palmoplantaires.
L’objectif de ce travail est d’étudier le profil épidémiologique et mycologique des
épidermomycoses diagnostiquées au laboratoire de parasitologie-mycologie à l’hôpital Ibn Sina
de Rabat.
MATERIELS /METHODES
Il s’agit d’une étude rétrospective, incluant les cas d'épidermomycoses diagnostiquées sur une
période allant du 1er janvier 2016 au 30 juillet 2022.
Chaque prélèvement a bénéficié d’un examen direct et d’une culture mycologique sur les
milieux Sabouraud incubés à 27 °C. Les espèces ont été identifiées selon les caractères
macroscopiques et microscopiques des cultures.
RESULTATS
Les épidermomycoses ont été diagnostiquées chez 244 patients. Le sexe féminin était
prédominant avec un sexe ratio H/F de 0.85. L’âge moyen était de 43 ans.
Les épidermomycoses étaient réparties selon les groupes cliniques suivants :
Les intertrigos étaient les plus fréquents avec 73 cas positifs, soit 29.9% de l'ensemble des
épidermomycoses. Les levures ont été isolées chez 55 patients (75.3 %), l'espèce la plus
incriminée était C. albicans (56.3%). Les intertrigos dermatophytiques ont été retrouvés chez
18 patients (24.6%) et étaient dûs exclusivement à T.rubrum. Les épidermophyties circinées
représentaient 72 cas (29.5%), dont le principal agent responsable était T. rubrum (69.4%). Les
malassezioses viennent au troisième rang avec 51 cas (20.9%), dûs exclusivement à Malassezia
sp. Pour les kératodermies palmo-plantaires 48 cas (19.7%), les dermatophytes étaient les
principaux agents responsables dans 42 cas (87.5%). T. rubrum représentait l'espèce la plus
fréquemment isolée avec 39 cas (92 .8%).
CONCLUSION
Les épidermomycoses sont un motif de consultation très fréquent. Devant toute suspicion
clinique, le diagnostic mycologique reste le diagnostic de certitude et d'orientation
thérapeutique.Numéro (Thèse ou Mémoire) : MS2022023 Directeur : Sarra AOUFI Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité MS2022023 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires Mémoires de Spécialités Disponible