Titre : | LES POLYRADICULONEVRITES AIGUES : ETUDE D’UNE SERIE DE 30 CAS : ASPECTS EPIDEMIOLOGIQUES, CLINIQUES, PARACLINIQUES, THERAPEUTIQUES ET EVOLUTIFS | Type de document : | thèse | Auteurs : | Mehdi MOSSEDDAQ, Auteur | AnnĂ©e de publication : | 2019 | Langues : | Français (fre) | Mots-clĂ©s : | PolyradiculonĂ©vrite aigue liquide cĂ©phalo-rachidien immunologlobulines intraveineuses. | RĂ©sumĂ© : | Les polyradiculonévrites aigues sont des affections inflammatoires diffuses des nerfs périphériques et des racines nerveuses d’installation aigue en moins de 4 semaines. Notre étude a pour but d’évaluer le profil épidémiologique, clinique, paraclinique, thérapeutique et évolutif des polyradiculonévrites aigues au service de neurologie de l’hôpital militaire d’instruction Mohamed V de Rabat. Il s'agit d'une étude rétrospective menée sur une période de 9 ans, de janvier 2010 à décembre 2018, à propos de 30 patients hospitalisés pour polyradiculonévrite aigue au sein du service de neurologie de l’ HMIMV de Rabat. Dans notre étude, il était constaté que le SGB représente la principale étiologie des PRNA : 96,66%des cas. La moyenne d’âge était de 39.1 ans et le sexe masculin était prédominant avec un sexe ratio de 2 .La symptomatologie clinique était dominée par le déficit moteur observé dans 93,33%des cas, suivi par les troubles sensitifs observés dans 46,66% des cas. L'examen clinique revenait perturbé chez tous les malades en faveur d'un syndrome neurogène périphérique. L’étude du LCR était pratiquée chez tous nos malades mettant en évidence une dissociation albumino-cytologique dans 46,66% des cas. L’exploration éléctroneuromyographique était pratiquée chez tous nos malades permettant de confirmer le diagnostic et de préciser le processus physiopathologique démyélinisant (70% des cas) ou axonal (23,33% des cas). Un traitement spécifique à base d'immunoglobuline intraveineuse était administré chez 80% de nos malades et une corticothérapie intraveineuse chez 6,66% de nos malades. L'évolution était favorable dans la majorité des cas (70%), des séquelles motrices ont été observes dans 20% des cas, une récidive dans 3,33% des cas et le décès dans 6,66% des cas. | Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M2582019 | Président : | BALKHI.H | Directeur : | BOURAZZA.A | Juge : | AIT BENHADDOU.E.H | Juge : | ABOUZAHIR.A | Juge : | BELMEKKI.A |
LES POLYRADICULONEVRITES AIGUES : ETUDE D’UNE SERIE DE 30 CAS : ASPECTS EPIDEMIOLOGIQUES, CLINIQUES, PARACLINIQUES, THERAPEUTIQUES ET EVOLUTIFS [thèse] / Mehdi MOSSEDDAQ, Auteur . - 2019. Langues : Français ( fre) Mots-clĂ©s : | PolyradiculonĂ©vrite aigue liquide cĂ©phalo-rachidien immunologlobulines intraveineuses. | RĂ©sumĂ© : | Les polyradiculonévrites aigues sont des affections inflammatoires diffuses des nerfs périphériques et des racines nerveuses d’installation aigue en moins de 4 semaines. Notre étude a pour but d’évaluer le profil épidémiologique, clinique, paraclinique, thérapeutique et évolutif des polyradiculonévrites aigues au service de neurologie de l’hôpital militaire d’instruction Mohamed V de Rabat. Il s'agit d'une étude rétrospective menée sur une période de 9 ans, de janvier 2010 à décembre 2018, à propos de 30 patients hospitalisés pour polyradiculonévrite aigue au sein du service de neurologie de l’ HMIMV de Rabat. Dans notre étude, il était constaté que le SGB représente la principale étiologie des PRNA : 96,66%des cas. La moyenne d’âge était de 39.1 ans et le sexe masculin était prédominant avec un sexe ratio de 2 .La symptomatologie clinique était dominée par le déficit moteur observé dans 93,33%des cas, suivi par les troubles sensitifs observés dans 46,66% des cas. L'examen clinique revenait perturbé chez tous les malades en faveur d'un syndrome neurogène périphérique. L’étude du LCR était pratiquée chez tous nos malades mettant en évidence une dissociation albumino-cytologique dans 46,66% des cas. L’exploration éléctroneuromyographique était pratiquée chez tous nos malades permettant de confirmer le diagnostic et de préciser le processus physiopathologique démyélinisant (70% des cas) ou axonal (23,33% des cas). Un traitement spécifique à base d'immunoglobuline intraveineuse était administré chez 80% de nos malades et une corticothérapie intraveineuse chez 6,66% de nos malades. L'évolution était favorable dans la majorité des cas (70%), des séquelles motrices ont été observes dans 20% des cas, une récidive dans 3,33% des cas et le décès dans 6,66% des cas. | Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M2582019 | Président : | BALKHI.H | Directeur : | BOURAZZA.A | Juge : | AIT BENHADDOU.E.H | Juge : | ABOUZAHIR.A | Juge : | BELMEKKI.A |
|