| Titre : | MICROBIOTE INTESTINAL ET CERVEAU | | Type de document : | thèse | | Auteurs : | Hala DINAR, Auteur | | Année de publication : | 2020 | | Langues : | Français (fre) | | Mots-clés : | Cerveau Dysbiose Intestin Microbiote Pathologies | | Résumé : | Nous vivons dans une relation harmonieuse avec notre microbiote qui constitue un écosystème très complexe renfermant environ 1014 bactéries. L’ensemble de ces bactéries assurent des fonctions physiologiques essentielles pour maintenir l’homéostasie de notre organisme.
La perturbation de la composition microbiotique « Dysbiose » est impliquée non seulement dans l’apparition des pathologies digestives, métaboliques et inflammatoires mais encore dans le développement des maladies affectant le système nerveux central.
Notre tube digestif communique en permanence avec notre cerveau via une relation bidirectionnelle contenant plusieurs voies : nerveuse, systémique, endocrine et immunitaire. En effet, le microbiote intestinal intervient aisément dans le dialogue intestin-cerveau. Cette communication mutuelle se traduit, d’une part, par l’influence du cerveau sur notre motilité digestive et sur notre composition microbienne, et d’autre part, par la participation du microbiote dans la régulation de nos réponses neuroendocrines et émotionnelles au stress.
L’étude du syndrome de l’intestin irritable permet de comprendre les mécanismes empruntés par le microbiote pour communiquer avec le cerveau et de prouver le rôle du stress dans l’apparition des désordres de l'axe microbiote-intestin-cerveau et ainsi conclure la réalité de l’expression suivante « le ventre est notre deuxième cerveau ».
Un approfondissement dans l’exploration et la connaissance de cette connexion neurodigestive permet en plus d’une meilleure compréhension de l’origine des pathologies psychiatriques comme l’anxiété et la dépression et de certaines pathologies neurologiques comme la maladie d’Alzheimer et la maladie de Parkinson, l’élaboration des hypothèses concernant l’adoption de nouvelles alternatives thérapeutiques pour le traitement de ces pathologies comme l’alimentation saine et équilibrée, les exercices de méditation et d’hypnose, les probiotiques, les prébiotiques, les symbiotiques et la transplantation fécale.
| | Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M0802020 | | Président : | ZOUHDI.M | | Directeur : | SEKHSOKH.Y | | Juge : | GAOUZI.A | | Juge : | ABI.R |
MICROBIOTE INTESTINAL ET CERVEAU [thèse] / Hala DINAR, Auteur . - 2020. Langues : Français ( fre) | Mots-clés : | Cerveau Dysbiose Intestin Microbiote Pathologies | | Résumé : | Nous vivons dans une relation harmonieuse avec notre microbiote qui constitue un écosystème très complexe renfermant environ 1014 bactéries. L’ensemble de ces bactéries assurent des fonctions physiologiques essentielles pour maintenir l’homéostasie de notre organisme.
La perturbation de la composition microbiotique « Dysbiose » est impliquée non seulement dans l’apparition des pathologies digestives, métaboliques et inflammatoires mais encore dans le développement des maladies affectant le système nerveux central.
Notre tube digestif communique en permanence avec notre cerveau via une relation bidirectionnelle contenant plusieurs voies : nerveuse, systémique, endocrine et immunitaire. En effet, le microbiote intestinal intervient aisément dans le dialogue intestin-cerveau. Cette communication mutuelle se traduit, d’une part, par l’influence du cerveau sur notre motilité digestive et sur notre composition microbienne, et d’autre part, par la participation du microbiote dans la régulation de nos réponses neuroendocrines et émotionnelles au stress.
L’étude du syndrome de l’intestin irritable permet de comprendre les mécanismes empruntés par le microbiote pour communiquer avec le cerveau et de prouver le rôle du stress dans l’apparition des désordres de l'axe microbiote-intestin-cerveau et ainsi conclure la réalité de l’expression suivante « le ventre est notre deuxième cerveau ».
Un approfondissement dans l’exploration et la connaissance de cette connexion neurodigestive permet en plus d’une meilleure compréhension de l’origine des pathologies psychiatriques comme l’anxiété et la dépression et de certaines pathologies neurologiques comme la maladie d’Alzheimer et la maladie de Parkinson, l’élaboration des hypothèses concernant l’adoption de nouvelles alternatives thérapeutiques pour le traitement de ces pathologies comme l’alimentation saine et équilibrée, les exercices de méditation et d’hypnose, les probiotiques, les prébiotiques, les symbiotiques et la transplantation fécale.
| | Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M0802020 | | Président : | ZOUHDI.M | | Directeur : | SEKHSOKH.Y | | Juge : | GAOUZI.A | | Juge : | ABI.R |
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