| Titre : | OBESITE : ATTITUDES, CONNAISSANCES ET PRATIQUES DES MEDECINS GENERALISTES DE LA VILLE DE TANGER | | Type de document : | thèse | | Auteurs : | MAZALI Tilila, Auteur | | AnnĂ©e de publication : | 2020 | | Langues : | Français (fre) | | Mots-clĂ©s : | ObĂ©sitĂ© MĂ©decin gĂ©nĂ©raliste Nutrition Pratiques | | RĂ©sumĂ© : | Introduction : Selon l’Organisation mondiale de la santé, l'obésité constitue un problème de santé publique. Elle est définie par un indice de masse corporelle > 30 kg/m2. Elle constitue un facteur de risque de plusieurs comorbidités. Son diagnostic repose essentiellement sur la mesure de l'IMC et du tour de taille, mais aussi la recherche de ses conséquences, pour une prise en charge précoce et adéquate.
Matériel et méthode : Nous avons réalisé une étude portant sur un collectif de 100 médecins généralistes, exerçant dans la ville de Tanger au cours de l’année 2020 ; dans le but d’étudier les attitudes, connaissances et pratiques des médecins généralistes de la ville de Tanger dans la prise en charge de l’obésité.
Résultats : Les données ont été collectées à travers un questionnaire administré aux médecins. Parmi les principaux résultats de cette étude dont le taux de participation a été de 50% : la plupart des médecins généralistes (95%) considéraient que l’obésité est une maladie et 73% pensaient que sa prise en charge était de leur ressort. Mais, seulement 29% avaient une formation en nutrition. Les pratiques des médecins généralistes apparaissaient globalement proches des recommandations mais 66 % fixent à leurs patients obèses des objectifs pondéraux trop exigeants. Les difficultés rencontrées par les médecins généralistes recoupaient des données connues et sont surtout dues au patient, par le mauvais suivis (41%) et par le manque de motivation et d’implication (68%).
Conclusion : Il faut reconnaître les limites d’une telle enquête. Les résultats sont issus de données déclaratives et ne reflètent peut-être pas avec exactitude la réalité du terrain. Pour améliorer la prise en charge, il serait souhaitable d’augmenter le temps consacré à la nutrition, au cours de la formation médicale initiale, et d’adapter la formation continue dans ce domaine.
| | Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M1882020 | | Président : | ZOUHDI.M | | Directeur : | SEKHSOKH.Y | | Juge : | ABI.R | | Juge : | GAOUZI.A |
OBESITE : ATTITUDES, CONNAISSANCES ET PRATIQUES DES MEDECINS GENERALISTES DE LA VILLE DE TANGER [thèse] / MAZALI Tilila, Auteur . - 2020. Langues : Français ( fre) | Mots-clĂ©s : | ObĂ©sitĂ© MĂ©decin gĂ©nĂ©raliste Nutrition Pratiques | | RĂ©sumĂ© : | Introduction : Selon l’Organisation mondiale de la santé, l'obésité constitue un problème de santé publique. Elle est définie par un indice de masse corporelle > 30 kg/m2. Elle constitue un facteur de risque de plusieurs comorbidités. Son diagnostic repose essentiellement sur la mesure de l'IMC et du tour de taille, mais aussi la recherche de ses conséquences, pour une prise en charge précoce et adéquate.
Matériel et méthode : Nous avons réalisé une étude portant sur un collectif de 100 médecins généralistes, exerçant dans la ville de Tanger au cours de l’année 2020 ; dans le but d’étudier les attitudes, connaissances et pratiques des médecins généralistes de la ville de Tanger dans la prise en charge de l’obésité.
Résultats : Les données ont été collectées à travers un questionnaire administré aux médecins. Parmi les principaux résultats de cette étude dont le taux de participation a été de 50% : la plupart des médecins généralistes (95%) considéraient que l’obésité est une maladie et 73% pensaient que sa prise en charge était de leur ressort. Mais, seulement 29% avaient une formation en nutrition. Les pratiques des médecins généralistes apparaissaient globalement proches des recommandations mais 66 % fixent à leurs patients obèses des objectifs pondéraux trop exigeants. Les difficultés rencontrées par les médecins généralistes recoupaient des données connues et sont surtout dues au patient, par le mauvais suivis (41%) et par le manque de motivation et d’implication (68%).
Conclusion : Il faut reconnaître les limites d’une telle enquête. Les résultats sont issus de données déclaratives et ne reflètent peut-être pas avec exactitude la réalité du terrain. Pour améliorer la prise en charge, il serait souhaitable d’augmenter le temps consacré à la nutrition, au cours de la formation médicale initiale, et d’adapter la formation continue dans ce domaine.
| | Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M1882020 | | Président : | ZOUHDI.M | | Directeur : | SEKHSOKH.Y | | Juge : | ABI.R | | Juge : | GAOUZI.A |
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