Titre : | Condylome acuminé | Type de document : | thèse | Auteurs : | ELKADIRI Yassine, Auteur | Année de publication : | 2020 | Langues : | Français (fre) | Mots-clés : | Condylome Gardasil® Imiquimod Koilocyte Papillomavirus humain | Résumé : | Les condylomes acuminés sont des tumeurs bénignes cutanéo-muqueuses fréquentes qui touchent 1 % des adultes sexuellement actifs dues à des génotypes de HPV à faible pouvoir oncogène (surtout les types 6 et 11). Le diagnostic est avant tout clinique devant l’aspect caractéristique de la lésion en chou-flour de localisation ano-génitale, buccale ou laryngé. La biologie moléculaire (PCR) permet la détection et le génotypage de virus responsable notamment le papillomavirus humain de type 6 et 11. L’histopathologie montre des Lésions papillomateuses verruqueuses, l’acanthose, l’Hyperkératose et la Koïlocytose. Le traitement repose essentiellement sur des methodes destructeurs physiques (chirurgie, électrocoagulation, cryothérapie et laser CO2) ou chimiques (podophyllotoxine, 5 fluoro-uracile et acide trichloracétique) et des méthodes non destructrices immunomodulatrices (imiquimod, interféron). Les principaux contraints sont le taux de récidive important malgré l’instauration d’un traitement adéquat et la coïnfection avec des HPVs à haut pouvoir oncogène. La vaccination prophylactique (gardasil) représente la meilleure solution pour vaincre l’infection à Papillomavirus. | Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M3162020 | Président : | ZOUHDI.M | Directeur : | SEKHSOKH.Y | Juge : | GAOUZI.A | Juge : | CHADLI.M | Juge : | TELLAL.S |
Condylome acuminé [thèse] / ELKADIRI Yassine, Auteur . - 2020. Langues : Français ( fre) Mots-clés : | Condylome Gardasil® Imiquimod Koilocyte Papillomavirus humain | Résumé : | Les condylomes acuminés sont des tumeurs bénignes cutanéo-muqueuses fréquentes qui touchent 1 % des adultes sexuellement actifs dues à des génotypes de HPV à faible pouvoir oncogène (surtout les types 6 et 11). Le diagnostic est avant tout clinique devant l’aspect caractéristique de la lésion en chou-flour de localisation ano-génitale, buccale ou laryngé. La biologie moléculaire (PCR) permet la détection et le génotypage de virus responsable notamment le papillomavirus humain de type 6 et 11. L’histopathologie montre des Lésions papillomateuses verruqueuses, l’acanthose, l’Hyperkératose et la Koïlocytose. Le traitement repose essentiellement sur des methodes destructeurs physiques (chirurgie, électrocoagulation, cryothérapie et laser CO2) ou chimiques (podophyllotoxine, 5 fluoro-uracile et acide trichloracétique) et des méthodes non destructrices immunomodulatrices (imiquimod, interféron). Les principaux contraints sont le taux de récidive important malgré l’instauration d’un traitement adéquat et la coïnfection avec des HPVs à haut pouvoir oncogène. La vaccination prophylactique (gardasil) représente la meilleure solution pour vaincre l’infection à Papillomavirus. | Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M3162020 | Président : | ZOUHDI.M | Directeur : | SEKHSOKH.Y | Juge : | GAOUZI.A | Juge : | CHADLI.M | Juge : | TELLAL.S |
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