Accueil
A partir de cette page vous pouvez :
Retourner au premier Ă©cran avec les derniĂšres notices... |
RĂ©sultat de la recherche
10 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Papillomavirus humain'
Affiner la recherche Faire une suggestion
ACTUALITES SUR LA VACCINATION CONTRE LE PAPILLOMAVIRUS HUMAIN / ROUGUI Mouna
Titre : ACTUALITES SUR LA VACCINATION CONTRE LE PAPILLOMAVIRUS HUMAIN Type de document : thĂšse Auteurs : ROUGUI Mouna, Auteur Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : Papillomavirus humain Cancer du col de lâutĂ©rus Vaccin RĂ©sumĂ© : Le cancer du col de l'utérus est le 2e cancer le plus courant chez les femmes, causant environ
275 000 décès annuels, dont 90 % dans les pays en voie de développement. Au Maroc, il est
responsable de 2 500 décès par an. Les HPV sont liés à plus de 99 % des cas de ce cancer. De
ce fait la vaccination est une stratégie prometteuse pour sa prévention, avec des vaccins
comme Cervarix®, Gardasil®, et Gardasil-9®. L'OMS a lancé une initiative en 2020 pour
éliminer le CCU d'ici 2030, encourageant les stratégies de vaccination, de dépistage et de
traitement. Au Maroc, le dépistage du CCU lancé par le ministère de santé depuis 2010 vise à
détecter les lésions précancéreuses, de les traiter et d’éviter l’apparition d’un cancer cervical
qui est souvent asymptomatique conduisant à des diagnostics tardifs. En conformité avec
l'initiative de l’OMS visant à éliminer ce cancer en tant que problème de santé publique, le
Maroc a introduit le vaccin contre le HPV en octobre 2022, est devenue parmi les priorités du
PNCC-29. Cette vaccination fait partie du nouveau PNI, elle est gratuite et volontaire dans tous
les centres de santé au niveau des différentes directions régionales de santé du royaume, ciblant
initialement les filles de 11 ans, qui reçoivent deux doses à six mois d'intervalle. Malgré
l'efficacité de ces vaccins, leur taux d'adoption reste bas et stagnant. Une campagne de
communication est nécessaire, en particulier face à la méfiance croissante à l'égard des vaccins
après le COVID-19.Numéro (Thèse ou Mémoire) : P1262023 Président : OUKABLI MOHAMED Directeur : EL ANNAZ HICHAM Juge : TAGAJDID MOHAMED RIDA Juge : CHAHDI HAFSA ACTUALITES SUR LA VACCINATION CONTRE LE PAPILLOMAVIRUS HUMAIN [thĂšse] / ROUGUI Mouna, Auteur . - [s.d.].
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : Papillomavirus humain Cancer du col de lâutĂ©rus Vaccin RĂ©sumĂ© : Le cancer du col de l'utérus est le 2e cancer le plus courant chez les femmes, causant environ
275 000 décès annuels, dont 90 % dans les pays en voie de développement. Au Maroc, il est
responsable de 2 500 décès par an. Les HPV sont liés à plus de 99 % des cas de ce cancer. De
ce fait la vaccination est une stratégie prometteuse pour sa prévention, avec des vaccins
comme Cervarix®, Gardasil®, et Gardasil-9®. L'OMS a lancé une initiative en 2020 pour
éliminer le CCU d'ici 2030, encourageant les stratégies de vaccination, de dépistage et de
traitement. Au Maroc, le dépistage du CCU lancé par le ministère de santé depuis 2010 vise à
détecter les lésions précancéreuses, de les traiter et d’éviter l’apparition d’un cancer cervical
qui est souvent asymptomatique conduisant à des diagnostics tardifs. En conformité avec
l'initiative de l’OMS visant à éliminer ce cancer en tant que problème de santé publique, le
Maroc a introduit le vaccin contre le HPV en octobre 2022, est devenue parmi les priorités du
PNCC-29. Cette vaccination fait partie du nouveau PNI, elle est gratuite et volontaire dans tous
les centres de santé au niveau des différentes directions régionales de santé du royaume, ciblant
initialement les filles de 11 ans, qui reçoivent deux doses à six mois d'intervalle. Malgré
l'efficacité de ces vaccins, leur taux d'adoption reste bas et stagnant. Une campagne de
communication est nécessaire, en particulier face à la méfiance croissante à l'égard des vaccins
après le COVID-19.Numéro (Thèse ou Mémoire) : P1262023 Président : OUKABLI MOHAMED Directeur : EL ANNAZ HICHAM Juge : TAGAJDID MOHAMED RIDA Juge : CHAHDI HAFSA RĂ©servation
RĂ©server ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© P1262023 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2024 Disponible CANCER DU COL UTERIN: EXPERIENCE DE LâINSTITUT NATIONAL DâONCOLOGIE A PROPOS DE 646 CAS : CARACTERISTIQUES EPIDEMIOLOGIQUES, CLINIQUES, DIAGNOSTIQUES, THERAPEUTIQUES ET PRONOSTIQUES / SANAA EL MAJJAOUI
Titre : CANCER DU COL UTERIN: EXPERIENCE DE LâINSTITUT NATIONAL DâONCOLOGIE A PROPOS DE 646 CAS : CARACTERISTIQUES EPIDEMIOLOGIQUES, CLINIQUES, DIAGNOSTIQUES, THERAPEUTIQUES ET PRONOSTIQUES Type de document : thĂšse Auteurs : SANAA EL MAJJAOUI, Auteur AnnĂ©e de publication : 2011 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : CANCER DU COL UTERIN PAPILLOMAVIRUS HUMAIN RADIOTHERAPIE RADIOCHIMIOTHERAPIE CONCOMITANTE. RĂ©sumĂ© : Le cancer du col utérin (CCU) est le deuxième cancer féminin au Maroc. Sa pathogénèse est liée à l’infection par l’HPV. Le facteur pronostique le plus important est le stade clinique. Le traitement des stades localement avancées repose essentiellement sur l’association radio-chimiothérapie concomitante. Notre étude a pour but de présenter notre expérience au sein de l’Institut National d’Oncologie à Rabat à propos de 646 cas de CCU.
La médiane d’âge est de 50 ans. Le délai médian de diagnostic est de 5 mois. Le maître symptôme est les métrorragies. Le type histologique le plus fréquent est le carcinome épidermoïde dans 94% des cas. Les patientes ont été classées selon les critères de la FIGO 2000. Le stade IIIB était le plus fréquent qui a représenté 39.2%. Le traitement a reposé essentiellement sur une radiochimiothérapie concomlitante dans 66%. Après un recul médian de 30 mois, les estimations de la SSP et de la SG à 3 ans sont de 65.2% et 71.5% respectivement ; Quatre facteurs pronostiques ont été identifiés en analyse uni-variée : le stade clinique; la taille tumorale ; l’atteinte ganglionnaire, et l’anémie en cas de traitement par radiothérapie. En analyse multi-variée, on a identifié 2 facteurs pronostics : le stade et l’anémie.
D’après nos résultats le CCU au Maroc survient chez des patientes relativement jeunes. Le diagnostic se fait essentiellement à des stades avancés par défaut d’une politique de dépistage. Les résultats thérapeutiques à 3 ans concordent avec les donnés de la littérature. Les facteurs pronostics identifiés sont le stade, et l’anémie en cas de traitement par radiothérapie.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1242011 Président : MOHAMMED NAJIB BOUJIDA Directeur : NOUR EDDINE BENJAAFAR Juge : HASSAN ERRIHANI Juge : HASSAN SIFAT CANCER DU COL UTERIN: EXPERIENCE DE LâINSTITUT NATIONAL DâONCOLOGIE A PROPOS DE 646 CAS : CARACTERISTIQUES EPIDEMIOLOGIQUES, CLINIQUES, DIAGNOSTIQUES, THERAPEUTIQUES ET PRONOSTIQUES [thĂšse] / SANAA EL MAJJAOUI, Auteur . - 2011.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : CANCER DU COL UTERIN PAPILLOMAVIRUS HUMAIN RADIOTHERAPIE RADIOCHIMIOTHERAPIE CONCOMITANTE. RĂ©sumĂ© : Le cancer du col utérin (CCU) est le deuxième cancer féminin au Maroc. Sa pathogénèse est liée à l’infection par l’HPV. Le facteur pronostique le plus important est le stade clinique. Le traitement des stades localement avancées repose essentiellement sur l’association radio-chimiothérapie concomitante. Notre étude a pour but de présenter notre expérience au sein de l’Institut National d’Oncologie à Rabat à propos de 646 cas de CCU.
La médiane d’âge est de 50 ans. Le délai médian de diagnostic est de 5 mois. Le maître symptôme est les métrorragies. Le type histologique le plus fréquent est le carcinome épidermoïde dans 94% des cas. Les patientes ont été classées selon les critères de la FIGO 2000. Le stade IIIB était le plus fréquent qui a représenté 39.2%. Le traitement a reposé essentiellement sur une radiochimiothérapie concomlitante dans 66%. Après un recul médian de 30 mois, les estimations de la SSP et de la SG à 3 ans sont de 65.2% et 71.5% respectivement ; Quatre facteurs pronostiques ont été identifiés en analyse uni-variée : le stade clinique; la taille tumorale ; l’atteinte ganglionnaire, et l’anémie en cas de traitement par radiothérapie. En analyse multi-variée, on a identifié 2 facteurs pronostics : le stade et l’anémie.
D’après nos résultats le CCU au Maroc survient chez des patientes relativement jeunes. Le diagnostic se fait essentiellement à des stades avancés par défaut d’une politique de dépistage. Les résultats thérapeutiques à 3 ans concordent avec les donnés de la littérature. Les facteurs pronostics identifiés sont le stade, et l’anémie en cas de traitement par radiothérapie.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1242011 Président : MOHAMMED NAJIB BOUJIDA Directeur : NOUR EDDINE BENJAAFAR Juge : HASSAN ERRIHANI Juge : HASSAN SIFAT RĂ©servation
RĂ©server ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M1242011 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2011 Disponible
Titre : Condylome acuminĂ© Type de document : thĂšse Auteurs : ELKADIRI Yassine, Auteur AnnĂ©e de publication : 2020 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : Condylome GardasilÂź Imiquimod Koilocyte Papillomavirus humain RĂ©sumĂ© : Les condylomes acuminés sont des tumeurs bénignes cutanéo-muqueuses fréquentes qui touchent 1 % des adultes sexuellement actifs dues à des génotypes de HPV à faible pouvoir oncogène (surtout les types 6 et 11). Le diagnostic est avant tout clinique devant l’aspect caractéristique de la lésion en chou-flour de localisation ano-génitale, buccale ou laryngé. La biologie moléculaire (PCR) permet la détection et le génotypage de virus responsable notamment le papillomavirus humain de type 6 et 11. L’histopathologie montre des Lésions papillomateuses verruqueuses, l’acanthose, l’Hyperkératose et la Koïlocytose. Le traitement repose essentiellement sur des methodes destructeurs physiques (chirurgie, électrocoagulation, cryothérapie et laser CO2) ou chimiques (podophyllotoxine, 5 fluoro-uracile et acide trichloracétique) et des méthodes non destructrices immunomodulatrices (imiquimod, interféron). Les principaux contraints sont le taux de récidive important malgré l’instauration d’un traitement adéquat et la coïnfection avec des HPVs à haut pouvoir oncogène. La vaccination prophylactique (gardasil) représente la meilleure solution pour vaincre l’infection à Papillomavirus. Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3162020 Président : ZOUHDI.M Directeur : SEKHSOKH.Y Juge : GAOUZI.A Juge : CHADLI.M Juge : TELLAL.S Condylome acuminĂ© [thĂšse] / ELKADIRI Yassine, Auteur . - 2020.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : Condylome GardasilÂź Imiquimod Koilocyte Papillomavirus humain RĂ©sumĂ© : Les condylomes acuminés sont des tumeurs bénignes cutanéo-muqueuses fréquentes qui touchent 1 % des adultes sexuellement actifs dues à des génotypes de HPV à faible pouvoir oncogène (surtout les types 6 et 11). Le diagnostic est avant tout clinique devant l’aspect caractéristique de la lésion en chou-flour de localisation ano-génitale, buccale ou laryngé. La biologie moléculaire (PCR) permet la détection et le génotypage de virus responsable notamment le papillomavirus humain de type 6 et 11. L’histopathologie montre des Lésions papillomateuses verruqueuses, l’acanthose, l’Hyperkératose et la Koïlocytose. Le traitement repose essentiellement sur des methodes destructeurs physiques (chirurgie, électrocoagulation, cryothérapie et laser CO2) ou chimiques (podophyllotoxine, 5 fluoro-uracile et acide trichloracétique) et des méthodes non destructrices immunomodulatrices (imiquimod, interféron). Les principaux contraints sont le taux de récidive important malgré l’instauration d’un traitement adéquat et la coïnfection avec des HPVs à haut pouvoir oncogène. La vaccination prophylactique (gardasil) représente la meilleure solution pour vaincre l’infection à Papillomavirus. Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3162020 Président : ZOUHDI.M Directeur : SEKHSOKH.Y Juge : GAOUZI.A Juge : CHADLI.M Juge : TELLAL.S RĂ©servation
RĂ©server ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M3162020 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2020 Disponible M3162020-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2020 Disponible Documents numĂ©riques
M3162020URL DEPISTAGE ET GENOTYPAGE DU PAPILLOMAVIRUS HUMAIN DANS LA REGION DE RABAT- KENITRA / Soukaina TAKY-EDDINE
Titre : DEPISTAGE ET GENOTYPAGE DU PAPILLOMAVIRUS HUMAIN DANS LA REGION DE RABAT- KENITRA Type de document : thĂšse Auteurs : Soukaina TAKY-EDDINE, Auteur AnnĂ©e de publication : 2019 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : Papillomavirus humain gĂ©notypage cancer du col utĂ©rin vaccination. RĂ©sumĂ© : A l’échelle mondiale, le cancer du col de l’utérus (CCU) constitue un problème majeur de santé publique responsable de 275 000 décès chaque année. Son taux d’incidence varie d’un pays à l’autre et reste remarquablement plus élevé dans les pays en voie de développement où l’accès aux soins reste précaire, et où l’importance de la vaccination contre le HPV et du dépistage précoce du CCU demeure sous-estimée.
Dans ce travail, nous rapportons les résultats du génotypage de 52 frottis cervico-vaginaux réalisés au sein du centre de santé reproductive à Kenitra, l’étude moléculaire étant réalisée au sein du service de Microbiologie-Virologie de l’Hôpital Militaire Avicenne de Marrakech.
Le but de cette étude prospective analytique est de déterminer les génotypes circulants du papillomavirus dans la région de Rabat-Kenitra chez les femmes âgée de 25 ans à 65 ans.
La fréquence du papillomavirus est estimée à 14%, avec prédominance du HPV 53, et HPV 35 qui représentent 30% des HPV positifs. Le papillomavirus est plus fréquent chez les femmes dont l’âge est < 37 ans, ayant un bas niveau socio-économique.
Le facteur de risque le plus retrouvé dans cette série est la multiplicité des partenaires sexuels retrouvée chez 72% des participantes HPV positif. D’autres facteurs de risque étaient corrélés à un taux d’infection élevé, en l’occurrence, le tabagisme et l’infection génitale.
La majeure partie des participantes n’a jamais bénéficié d’un test de dépistage du cancer du col utérin.
Notre étude a fourni une base de données initiatrice, dont l’extension doit se faire sur le plan national pour déterminer les génotypes les plus fréquents, afin de réaliser une mise au point sur la vaccination contre le HPV au Maroc.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M4422019 Président : ZOUHAIR.S Directeur : MRANI.S Juge : BELMEKKI.A Juge : RAZINE.R DEPISTAGE ET GENOTYPAGE DU PAPILLOMAVIRUS HUMAIN DANS LA REGION DE RABAT- KENITRA [thĂšse] / Soukaina TAKY-EDDINE, Auteur . - 2019.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : Papillomavirus humain gĂ©notypage cancer du col utĂ©rin vaccination. RĂ©sumĂ© : A l’échelle mondiale, le cancer du col de l’utérus (CCU) constitue un problème majeur de santé publique responsable de 275 000 décès chaque année. Son taux d’incidence varie d’un pays à l’autre et reste remarquablement plus élevé dans les pays en voie de développement où l’accès aux soins reste précaire, et où l’importance de la vaccination contre le HPV et du dépistage précoce du CCU demeure sous-estimée.
Dans ce travail, nous rapportons les résultats du génotypage de 52 frottis cervico-vaginaux réalisés au sein du centre de santé reproductive à Kenitra, l’étude moléculaire étant réalisée au sein du service de Microbiologie-Virologie de l’Hôpital Militaire Avicenne de Marrakech.
Le but de cette étude prospective analytique est de déterminer les génotypes circulants du papillomavirus dans la région de Rabat-Kenitra chez les femmes âgée de 25 ans à 65 ans.
La fréquence du papillomavirus est estimée à 14%, avec prédominance du HPV 53, et HPV 35 qui représentent 30% des HPV positifs. Le papillomavirus est plus fréquent chez les femmes dont l’âge est < 37 ans, ayant un bas niveau socio-économique.
Le facteur de risque le plus retrouvé dans cette série est la multiplicité des partenaires sexuels retrouvée chez 72% des participantes HPV positif. D’autres facteurs de risque étaient corrélés à un taux d’infection élevé, en l’occurrence, le tabagisme et l’infection génitale.
La majeure partie des participantes n’a jamais bénéficié d’un test de dépistage du cancer du col utérin.
Notre étude a fourni une base de données initiatrice, dont l’extension doit se faire sur le plan national pour déterminer les génotypes les plus fréquents, afin de réaliser une mise au point sur la vaccination contre le HPV au Maroc.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M4422019 Président : ZOUHAIR.S Directeur : MRANI.S Juge : BELMEKKI.A Juge : RAZINE.R RĂ©servation
RĂ©server ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M4422019 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible M4422019-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible Documents numĂ©riques
M4422019URL Etude moléculaire des papillomavirus humains du col de l'uterus / Abdelkamal BIRROU
Titre : Etude molĂ©culaire des papillomavirus humains du col de l'uterus Type de document : thĂšse Auteurs : Abdelkamal BIRROU, Auteur AnnĂ©e de publication : 2015 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : Papillomavirus humain GĂ©notypage Biologie molĂ©culaire Cancer du col, EpidĂ©miologie RĂ©sumĂ© : L’infection génitale à papillomavirus (PVH) est extrêmement fréquente, en particulier chez les jeunes qui sont en âge de procréer. Du fait du risque établi du cancer du col utérin, le dépistage permet de détecter très précocement les lésions à forte probabilité d’évoluer en un cancer. Les tests de biologie moléculaire constituent un outil de plus en plus intégré dans les algorithmes diagnostiques des infections à PVH durant ces dernières années.
Au Maroc, et malgré les efforts des instances publiques, le diagnostic des pathologies utérines liées au PVH se fait souvent tardivement et prédispose les patientes à des conséquences dramatiques. La connaissance des caractéristiques de l’infection par le PVH et de la distribution des génotypes chez des femmes marocaines est un préalable nécessaire à l’évaluation de l’introduction du dépistage par les tests de biologie moléculaire et de l’impact de la vaccination sur l’écologie virale et les lésions cervicales associées.
Nous avons réalisé dans cette optique une synthèse actualisée des données bibliographiques sur le PVH et les outils de biologie moléculaire disponibles pour le dépistage et le diagnostic de ces infections. L’objectif principal de notre travail prospectif sur le terrain a été d’une part de montrer la place du dépistage par les techniques de biologie moléculaire à côté des techniques cytologiques ; ainsi que d’étudier la prévalence et la distribution génotypique des infections à PVH en fonction de l’âge, de la cytologie et des données épidémiologiques chez les femmes ayant eu un examen gynécologique de routine au service de Gynécologie Obstétrique de l’hôpital militaire d’instruction Mohamed V de Rabat.
Les PVH à haut risque ont été détectés dans 101 prélèvements (36%) avec une prévalence plus élevée chez les femmes ≥ 45 ans (43%). La prévalence de la mono-infection et de l’infection multiple ont été respectivement de 76% et 21%. Le génotype le plus fréquent a été le PVH 16 (31%). Les antécédents gynécologiques ont été
statistiquement associés avec un test PVH positif. Les génotypes haut risque ont été associés statistiquement à des lésions cytologiques avancées.
A la lumière de ces données, le dépistage moléculaire du PVH devrait être associée à l’examen cytologique selon des algorithmes établis en fonction de l'âge de la patiente et de ses antécédents. La combinaison de la cytologie et du test PVH permettra l'identification des patientes à haut risque pour le développement des lésions cervicales de haut grade et améliorera la prévention et la prise en charge du cancer du col.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : D0342014 Président : ZOUHDI.M Directeur : MRANI.S Juge : AL BOUZIDI.A Juge : MOUSSAOUI.R Juge : ZOUHAIR.S-EL MZIBRI.M Etude molĂ©culaire des papillomavirus humains du col de l'uterus [thĂšse] / Abdelkamal BIRROU, Auteur . - 2015.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : Papillomavirus humain GĂ©notypage Biologie molĂ©culaire Cancer du col, EpidĂ©miologie RĂ©sumĂ© : L’infection génitale à papillomavirus (PVH) est extrêmement fréquente, en particulier chez les jeunes qui sont en âge de procréer. Du fait du risque établi du cancer du col utérin, le dépistage permet de détecter très précocement les lésions à forte probabilité d’évoluer en un cancer. Les tests de biologie moléculaire constituent un outil de plus en plus intégré dans les algorithmes diagnostiques des infections à PVH durant ces dernières années.
Au Maroc, et malgré les efforts des instances publiques, le diagnostic des pathologies utérines liées au PVH se fait souvent tardivement et prédispose les patientes à des conséquences dramatiques. La connaissance des caractéristiques de l’infection par le PVH et de la distribution des génotypes chez des femmes marocaines est un préalable nécessaire à l’évaluation de l’introduction du dépistage par les tests de biologie moléculaire et de l’impact de la vaccination sur l’écologie virale et les lésions cervicales associées.
Nous avons réalisé dans cette optique une synthèse actualisée des données bibliographiques sur le PVH et les outils de biologie moléculaire disponibles pour le dépistage et le diagnostic de ces infections. L’objectif principal de notre travail prospectif sur le terrain a été d’une part de montrer la place du dépistage par les techniques de biologie moléculaire à côté des techniques cytologiques ; ainsi que d’étudier la prévalence et la distribution génotypique des infections à PVH en fonction de l’âge, de la cytologie et des données épidémiologiques chez les femmes ayant eu un examen gynécologique de routine au service de Gynécologie Obstétrique de l’hôpital militaire d’instruction Mohamed V de Rabat.
Les PVH à haut risque ont été détectés dans 101 prélèvements (36%) avec une prévalence plus élevée chez les femmes ≥ 45 ans (43%). La prévalence de la mono-infection et de l’infection multiple ont été respectivement de 76% et 21%. Le génotype le plus fréquent a été le PVH 16 (31%). Les antécédents gynécologiques ont été
statistiquement associés avec un test PVH positif. Les génotypes haut risque ont été associés statistiquement à des lésions cytologiques avancées.
A la lumière de ces données, le dépistage moléculaire du PVH devrait être associée à l’examen cytologique selon des algorithmes établis en fonction de l'âge de la patiente et de ses antécédents. La combinaison de la cytologie et du test PVH permettra l'identification des patientes à haut risque pour le développement des lésions cervicales de haut grade et améliorera la prévention et la prise en charge du cancer du col.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : D0342014 Président : ZOUHDI.M Directeur : MRANI.S Juge : AL BOUZIDI.A Juge : MOUSSAOUI.R Juge : ZOUHAIR.S-EL MZIBRI.M RĂ©servation
RĂ©server ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© D0342014 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires Doctorat SVS 2014 Disponible D0342014-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires Doctorat SVS 2014 Disponible Genotypes du papillomavirus humain circulant chez les femmes de la region de kenitra / Soukaina EL MAAZOUZI
Titre : Genotypes du papillomavirus humain circulant chez les femmes de la region de kenitra Type de document : thĂšse Auteurs : Soukaina EL MAAZOUZI, Auteur AnnĂ©e de publication : 2020 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : Papillomavirus humain GĂ©notypage Cancer du col utĂ©rin Vaccination RĂ©sumĂ© : A l’échelle mondiale, le cancer du col de l’utérus (CCU) constitue un problème majeur
de santé publique responsable de 275 000 décès chaque année. Son taux d’incidence varie
d’un pays à l’autre et reste remarquablement plus élevé dans les pays en voie de
développement où l’accès aux soins reste précaire, et où l’importance de la vaccination contre
et du dépistage précoce du CCU demeure sous-estimée.
Dans ce travail, nous rapportons les résultats du génotypage de 110 frottis cervico-
vaginaux réalisés au sein du centre de santé reproductive à Kenitra, l’étude moléculaire étant
réalisée au sein du service de Microbiologie-Virologie de l’Hôpital Militaire Avicenne de
Marrakech.
Le but de cette étude prospective analytique est de déterminer les génotypes circulants
du papillomavirus dans la région de Kenitra chez les femmes âgée de 25ans à 65ans.
La fréquence du papillomavirus est estimée à 12%, avec prédominance du HPV 35,
HPV 53 et HPV 56 qui représentent 33% des HPV positifs. Le papillomavirus est plus
fréquent chez les femmes dont l’âge est >40 ans, ayant un bas niveau socio-économique.
Le facteur de risque le plus retrouvé dans cette série est l’infection génitale, retrouvée
chez 70% des participantes HPV positif. D’autres facteurs de risque étaient corrélés à un taux
d’infection élevé, en l’occurrence, la multiplicité des partenaires sexuels et le tabagisme.
La majeure partie des participantes n’a jamais bénéficié d’un test de dépistage du cancer
du col utérin.
Notre étude a fourni une base de données initiatrice, dont l’extension doit se faire sur le
plan national pour déterminer les génotypes les plus fréquents, afin de réaliser une mise au
point sur la vaccination contre au Maroc.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3762020 Président : MRANI.S Directeur : ZOUHAIR.S Juge : KHARBACH.A Juge : BELMEKKI.A Genotypes du papillomavirus humain circulant chez les femmes de la region de kenitra [thĂšse] / Soukaina EL MAAZOUZI, Auteur . - 2020.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : Papillomavirus humain GĂ©notypage Cancer du col utĂ©rin Vaccination RĂ©sumĂ© : A l’échelle mondiale, le cancer du col de l’utérus (CCU) constitue un problème majeur
de santé publique responsable de 275 000 décès chaque année. Son taux d’incidence varie
d’un pays à l’autre et reste remarquablement plus élevé dans les pays en voie de
développement où l’accès aux soins reste précaire, et où l’importance de la vaccination contre
et du dépistage précoce du CCU demeure sous-estimée.
Dans ce travail, nous rapportons les résultats du génotypage de 110 frottis cervico-
vaginaux réalisés au sein du centre de santé reproductive à Kenitra, l’étude moléculaire étant
réalisée au sein du service de Microbiologie-Virologie de l’Hôpital Militaire Avicenne de
Marrakech.
Le but de cette étude prospective analytique est de déterminer les génotypes circulants
du papillomavirus dans la région de Kenitra chez les femmes âgée de 25ans à 65ans.
La fréquence du papillomavirus est estimée à 12%, avec prédominance du HPV 35,
HPV 53 et HPV 56 qui représentent 33% des HPV positifs. Le papillomavirus est plus
fréquent chez les femmes dont l’âge est >40 ans, ayant un bas niveau socio-économique.
Le facteur de risque le plus retrouvé dans cette série est l’infection génitale, retrouvée
chez 70% des participantes HPV positif. D’autres facteurs de risque étaient corrélés à un taux
d’infection élevé, en l’occurrence, la multiplicité des partenaires sexuels et le tabagisme.
La majeure partie des participantes n’a jamais bénéficié d’un test de dépistage du cancer
du col utérin.
Notre étude a fourni une base de données initiatrice, dont l’extension doit se faire sur le
plan national pour déterminer les génotypes les plus fréquents, afin de réaliser une mise au
point sur la vaccination contre au Maroc.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3762020 Président : MRANI.S Directeur : ZOUHAIR.S Juge : KHARBACH.A Juge : BELMEKKI.A RĂ©servation
RĂ©server ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M3762020 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2020 Disponible M3762020-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2020 Disponible Documents numĂ©riques
M3762020URL
Titre : INFECTIONS GENITALES A PAPILLOMAVIRUS HUMAIN CHEZ LA FEMME Type de document : thĂšse Auteurs : Rkia EL- HAJJAJI, Auteur AnnĂ©e de publication : 2020 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : Infection sexuellement transmissible Papillomavirus humain Vaccin traitement chimique RĂ©sumĂ© : Les infections génitales à papillomavirus humains sont fréquentes et suivent de près les premières relations sexuelles : 60 % des femmes seraient infectées dans les 5 ans qui suivent leurs premiers rapports.
Le diagnostic des infections à papillomavirus est avant tout clinique. Elles sont le plus souvent asymptomatiques.
L’examen clinique doit être complété par un frottis, un bilan des infections sexuellement transmissibles et une colposcopie.
Le traitement des lésions génitales à papillomavirus humain n’est pas parfaitement codifié, ce qui explique le grand nombre de méthodes employées.
La méthode utilisée dépend non seulement du type de localisation (muqueuse ou cutanée), du type de lésion mais aussi de l’expérience du clinicien, des souhaits et de la disponibilité du patient.
La prévention demeure la meilleure arme pour vaincre l’infection à papillomavirus.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0162020 Président : ZOUHDI.M Directeur : SEKHSOKH.Y Juge : GAOUZI.A Juge : TELLAL.S Juge : NAZIH.M INFECTIONS GENITALES A PAPILLOMAVIRUS HUMAIN CHEZ LA FEMME [thĂšse] / Rkia EL- HAJJAJI, Auteur . - 2020.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : Infection sexuellement transmissible Papillomavirus humain Vaccin traitement chimique RĂ©sumĂ© : Les infections génitales à papillomavirus humains sont fréquentes et suivent de près les premières relations sexuelles : 60 % des femmes seraient infectées dans les 5 ans qui suivent leurs premiers rapports.
Le diagnostic des infections à papillomavirus est avant tout clinique. Elles sont le plus souvent asymptomatiques.
L’examen clinique doit être complété par un frottis, un bilan des infections sexuellement transmissibles et une colposcopie.
Le traitement des lésions génitales à papillomavirus humain n’est pas parfaitement codifié, ce qui explique le grand nombre de méthodes employées.
La méthode utilisée dépend non seulement du type de localisation (muqueuse ou cutanée), du type de lésion mais aussi de l’expérience du clinicien, des souhaits et de la disponibilité du patient.
La prévention demeure la meilleure arme pour vaincre l’infection à papillomavirus.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0162020 Président : ZOUHDI.M Directeur : SEKHSOKH.Y Juge : GAOUZI.A Juge : TELLAL.S Juge : NAZIH.M RĂ©servation
RĂ©server ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M0162020-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2020 Disponible M0162020 WA Thèse numérique Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2020 Disponible Documents numĂ©riques
M0162020URL IntĂ©rĂȘt de la vaccination antipapillomavirus dans la prĂ©vention du cancer du col de l'utĂ©rus / Mehdi EL GUEOUATRI
Titre : IntĂ©rĂȘt de la vaccination antipapillomavirus dans la prĂ©vention du cancer du col de l'utĂ©rus Type de document : thĂšse Auteurs : Mehdi EL GUEOUATRI, Auteur AnnĂ©e de publication : 2014 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : Papillomavirus humain Cancer du col de l'utĂ©rus PrĂ©vention Vaccination RĂ©sumĂ© : Le cancer du col de l’utérus se situe au deuxième rang des cancers de la femme en termes d’incidence, faisant dans le Monde environ 275 000 morts. Il existe une inégalité de répartition selon les régions et entre les pays industrialisé et les pays en voie de développement
Au Maroc, le taux brut de mortalité du cancer du col est de 8,4 pour 100,000 femmes ce qui correspond à 1152 décès selon les données de Globocan2008. C’est la deuxième cause de mortalité par cancer après celui du sein chez la femme marocaine. Cette situation s’explique en partie par les réticences des femmes à se faire dépister, le retard de diagnostic, la vulnérabilité de la population atteintes l’accessibilité difficile aux soins, la courte période de suivi et le taux élevé de perdus de vue semblent être des raisons à cette fréquence élevé. Malgré les efforts fournis par l’état et le gouvernement, la prévention secondaire connait des limites, le dépistage parait, limité aux femmes qui en connaissent l’utilité.
En 2007 l’apparition des vaccins antipapillomavirus apparaissait comme une alternative intéressante pour pallier les “lacunes” de prévention secondaire. Ces vaccins, ciblant les souches les plus fréquentes du virus (HPV 16 et 18), permettraient de protéger 70 % des cas de cancers du col. Depuis leur mise sur le marché, de nombreuses questions ont été soulevées quant à leur efficacité réelle, innocuité et leur place dans la prévention. Même si les conséquences de cette vaccination ne seront connues que dans plusieurs années celle-ci semble avoir un rôle important en association avec le dépistage, permettant de réduire la prévalence de ce cancer.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2452014 Président : ZOUHDI.M Directeur : EL HAMZAOUI.S Juge : TELLAL.S Juge : SEKHSOKH.Y Juge : ACHOUR.A IntĂ©rĂȘt de la vaccination antipapillomavirus dans la prĂ©vention du cancer du col de l'utĂ©rus [thĂšse] / Mehdi EL GUEOUATRI, Auteur . - 2014.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : Papillomavirus humain Cancer du col de l'utĂ©rus PrĂ©vention Vaccination RĂ©sumĂ© : Le cancer du col de l’utérus se situe au deuxième rang des cancers de la femme en termes d’incidence, faisant dans le Monde environ 275 000 morts. Il existe une inégalité de répartition selon les régions et entre les pays industrialisé et les pays en voie de développement
Au Maroc, le taux brut de mortalité du cancer du col est de 8,4 pour 100,000 femmes ce qui correspond à 1152 décès selon les données de Globocan2008. C’est la deuxième cause de mortalité par cancer après celui du sein chez la femme marocaine. Cette situation s’explique en partie par les réticences des femmes à se faire dépister, le retard de diagnostic, la vulnérabilité de la population atteintes l’accessibilité difficile aux soins, la courte période de suivi et le taux élevé de perdus de vue semblent être des raisons à cette fréquence élevé. Malgré les efforts fournis par l’état et le gouvernement, la prévention secondaire connait des limites, le dépistage parait, limité aux femmes qui en connaissent l’utilité.
En 2007 l’apparition des vaccins antipapillomavirus apparaissait comme une alternative intéressante pour pallier les “lacunes” de prévention secondaire. Ces vaccins, ciblant les souches les plus fréquentes du virus (HPV 16 et 18), permettraient de protéger 70 % des cas de cancers du col. Depuis leur mise sur le marché, de nombreuses questions ont été soulevées quant à leur efficacité réelle, innocuité et leur place dans la prévention. Même si les conséquences de cette vaccination ne seront connues que dans plusieurs années celle-ci semble avoir un rôle important en association avec le dépistage, permettant de réduire la prévalence de ce cancer.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2452014 Président : ZOUHDI.M Directeur : EL HAMZAOUI.S Juge : TELLAL.S Juge : SEKHSOKH.Y Juge : ACHOUR.A RĂ©servation
RĂ©server ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M2452014 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2014 Disponible M2452014-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2014 Disponible PAPILLOMATOSE LARYNGEE : ASPECTS DIAGNOSTIQUES, THERAPEUTIQUES ET EVOLUTIFS / Zainab LICHIOUI
Titre : PAPILLOMATOSE LARYNGEE : ASPECTS DIAGNOSTIQUES, THERAPEUTIQUES ET EVOLUTIFS Type de document : thĂšse Auteurs : Zainab LICHIOUI, Auteur AnnĂ©e de publication : 2024 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : Dysphonie Larynx Papillomatose Papillomavirus humain TrachĂ©otomie RĂ©sumĂ© : La papillomatose laryngée est une prolifération tumorale induite par les souches HPV-6
et HPV-11, principalement située dans le larynx mais pouvant également s'étendre à tout l'arbre
respiratoire et au haut tractus digestif. Bien que rare, elle peut présenter un risque vital en raison
de son potentiel obstructif et dégénératif. Bien qu'elle survienne généralement chez les enfants,
elle peut également se manifester chez les adultes. Les symptômes principaux comprennent une
dysphonie chez les adultes et un enrouement chez les enfants.
Le diagnostic repose sur l'observation macroscopique des papillomes lors d'une
laryngoscopie directe, confirmée par des analyses anatomopathologiques. L'évolution de la
maladie est imprévisible, marquée par des récidives dues à la latence du virus dans les tissus
laryngés morphologiquement normaux. Bien que l'étiologie et les déclencheurs de la
papillomatose ne soient pas entièrement compris, ils jouent un rôle crucial dans le pronostic et
la réponse aux traitements.
À ce jour, il n'existe aucun traitement curatif établi pour la papillomatose laryngée. Les
options thérapeutiques incluent des approches médicales et chirurgicales, mais aucun consensus
n'a été atteint quant à la meilleure stratégie. Les vaccins anti-HPV semblent être une option
prometteuse, bien que leur efficacité nécessite encore une évaluation approfondie.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1622024 Président : Mimoun ZOUHDI Directeur : Yassine SEKHSOKH Juge : Ahmed GAOUZI Juge : Saida TELLAL PAPILLOMATOSE LARYNGEE : ASPECTS DIAGNOSTIQUES, THERAPEUTIQUES ET EVOLUTIFS [thĂšse] / Zainab LICHIOUI, Auteur . - 2024.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : Dysphonie Larynx Papillomatose Papillomavirus humain TrachĂ©otomie RĂ©sumĂ© : La papillomatose laryngée est une prolifération tumorale induite par les souches HPV-6
et HPV-11, principalement située dans le larynx mais pouvant également s'étendre à tout l'arbre
respiratoire et au haut tractus digestif. Bien que rare, elle peut présenter un risque vital en raison
de son potentiel obstructif et dégénératif. Bien qu'elle survienne généralement chez les enfants,
elle peut également se manifester chez les adultes. Les symptômes principaux comprennent une
dysphonie chez les adultes et un enrouement chez les enfants.
Le diagnostic repose sur l'observation macroscopique des papillomes lors d'une
laryngoscopie directe, confirmée par des analyses anatomopathologiques. L'évolution de la
maladie est imprévisible, marquée par des récidives dues à la latence du virus dans les tissus
laryngés morphologiquement normaux. Bien que l'étiologie et les déclencheurs de la
papillomatose ne soient pas entièrement compris, ils jouent un rôle crucial dans le pronostic et
la réponse aux traitements.
À ce jour, il n'existe aucun traitement curatif établi pour la papillomatose laryngée. Les
options thérapeutiques incluent des approches médicales et chirurgicales, mais aucun consensus
n'a été atteint quant à la meilleure stratégie. Les vaccins anti-HPV semblent être une option
prometteuse, bien que leur efficacité nécessite encore une évaluation approfondie.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1622024 Président : Mimoun ZOUHDI Directeur : Yassine SEKHSOKH Juge : Ahmed GAOUZI Juge : Saida TELLAL RĂ©servation
RĂ©server ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M1622024 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2024 Disponible Prophylaxie anti-Papillomavirus humain / OUBARKA Youssef
Titre : Prophylaxie anti-Papillomavirus humain Type de document : thĂšse Auteurs : OUBARKA Youssef, Auteur AnnĂ©e de publication : 2017 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : Papillomavirus humain col de lâutĂ©rus Cancers Prophylaxie Vaccin RĂ©sumĂ© : Le Papillomavirus humain est un virus à ADN appartenant à la famille des Papillomaviridae. Il existe plus de 150 génotypes aujourd’hui identifiés.
L’infection à HPV est la plus courante des infections sexuellement transmissibles. Responsables, pour ceux d’entre eux à haut risque qui sont oncogènes. D’un cancer cervical et/ou de cancers anogénitaux tandis que d’autres à bas risque ne sont responsables que de lésions bénignes.
Les principaux Papillomavirus responsables de près de 80% des cancers sont les types 16, 18, 31 et 45, dont le types 16 représente 50%. Parmi ces HPV, les plus fréquemment rencontrés sont les HPV 16 et 18.
C’est pourquoi les laboratoires travaillant sur le vaccin anti-HPV se sont particulièrement intéressés à ces deux types. Les chercheurs ont découverts que la protéine majeure de la capside du virion, la protéine L1, possède la capacité de s’autoassembler en une pseudoparticule, virus like particles VLP, qui possède la même structure que le virion initial.
De nombreuses expériences ont permis de mettre en évidence que ces pseudoparticules sont capable d’induire la synthèse de titres élevés d’anticorps spécifiques de type.
Deux vaccins ont fait l’objet de développement clinique :
- le Gardasil® (Sanofi Pasteur MSD, West Point PA, USA) : vaccin quadrivalent dirigé contre les types 6, 11, 16 et 18;
- le Cervarix® (GlaxoSmithKline, Rixensart, Belgique) : vaccin bivalent contre les types 16 et 18, qui est susceptible de stabilises les VLP et d’induire un taux d’anticorps avec de plus faibles quantités d’antigènes.
Les vaccins prophylactiques anti-HPV représenteraient un enjeu majeur dans la prévention des infections à HPV puisqu’ils protègent efficacement contre les HPV 16 et 18 auxquels s’ajoutent les HPV 6 et 11 pour le vaccin quadrivalent.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0042017 Président : SEKHSOKH.Y Directeur : EL MARJANY.M Juge : KEBDANI.T Juge : KOUACH.J Juge : NAZIH.M Prophylaxie anti-Papillomavirus humain [thĂšse] / OUBARKA Youssef, Auteur . - 2017.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : Papillomavirus humain col de lâutĂ©rus Cancers Prophylaxie Vaccin RĂ©sumĂ© : Le Papillomavirus humain est un virus à ADN appartenant à la famille des Papillomaviridae. Il existe plus de 150 génotypes aujourd’hui identifiés.
L’infection à HPV est la plus courante des infections sexuellement transmissibles. Responsables, pour ceux d’entre eux à haut risque qui sont oncogènes. D’un cancer cervical et/ou de cancers anogénitaux tandis que d’autres à bas risque ne sont responsables que de lésions bénignes.
Les principaux Papillomavirus responsables de près de 80% des cancers sont les types 16, 18, 31 et 45, dont le types 16 représente 50%. Parmi ces HPV, les plus fréquemment rencontrés sont les HPV 16 et 18.
C’est pourquoi les laboratoires travaillant sur le vaccin anti-HPV se sont particulièrement intéressés à ces deux types. Les chercheurs ont découverts que la protéine majeure de la capside du virion, la protéine L1, possède la capacité de s’autoassembler en une pseudoparticule, virus like particles VLP, qui possède la même structure que le virion initial.
De nombreuses expériences ont permis de mettre en évidence que ces pseudoparticules sont capable d’induire la synthèse de titres élevés d’anticorps spécifiques de type.
Deux vaccins ont fait l’objet de développement clinique :
- le Gardasil® (Sanofi Pasteur MSD, West Point PA, USA) : vaccin quadrivalent dirigé contre les types 6, 11, 16 et 18;
- le Cervarix® (GlaxoSmithKline, Rixensart, Belgique) : vaccin bivalent contre les types 16 et 18, qui est susceptible de stabilises les VLP et d’induire un taux d’anticorps avec de plus faibles quantités d’antigènes.
Les vaccins prophylactiques anti-HPV représenteraient un enjeu majeur dans la prévention des infections à HPV puisqu’ils protègent efficacement contre les HPV 16 et 18 auxquels s’ajoutent les HPV 6 et 11 pour le vaccin quadrivalent.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0042017 Président : SEKHSOKH.Y Directeur : EL MARJANY.M Juge : KEBDANI.T Juge : KOUACH.J Juge : NAZIH.M RĂ©servation
RĂ©server ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© P0042017 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2017 Disponible P0042017-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2017 Disponible