Titre : | LES INFECTIONS GENITALES MASCULAINES | Type de document : | thèse | Auteurs : | Youssef AIT BAHADOU, Auteur | AnnĂ©e de publication : | 2020 | Langues : | Français (fre) | Mots-clĂ©s : | Infection gĂ©nital IST UrĂ©trite UlcĂ©ration gĂ©nitale Prostatite OrchiĂ©pididymite | RĂ©sumĂ© : | Les infections génitales masculines sont principalement d'origine sexuelle, dans
le cadre d'une IST, ou d'origine urinaire ou iatrogène. Les germes le plus fréquents
sont : N.gonorrhoeae, C.trachomatis, mycoplasmes génitaux (M.genitalium,
M.hominis, U.urealyticum), T.pallidum, H.ducreyi, K.granulomatis. Elles se
manifestent, de manière isolée ou associée, par l’urétrite (gonococciques ou non
gonococciques), orchi-épididymites, prostatites et des ulcérations génitales (la syphilis,
le chancre mou et la donovanose) avec des désaminations extra-génitales.
L'interrogatoire et la clinique permettent d'orienter l'étiologie vers une cause sexuelle
ou urinaire.
Les examens bactériologiques sont indispensables pour confirmer le diagnostic et
adapter le traitement. À l'exception de la syphilis, dont le diagnostic est repose sur la
sérologie. Le traitement antibiotique est probabiliste et adapté à l'antibiogramme,
pour l’urétrite ; en cas d’IST : ceftriaxone + azithromycine; en cas d'infection urinaire :
fluoroquinolone en 1ère intention, 14 jours pour une épididymite simple, 4 à 6
semaines pour une prostatite. Pénicilline G benzathine: dose unique de 2,4 millions
d'unités en cas de syphilis. L'azithromycine pour chancre mou, une fois par semaine
pendant 3 semaines ou jusqu'à ce que la guérison clinique pour la donovanose. | Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M3182020 | Président : | ZOUHDI.M | Directeur : | SEKHSOKH.Y | Juge : | GAOUZI.A | Juge : | CHADLI.M | Juge : | TELLAL.S |
LES INFECTIONS GENITALES MASCULAINES [thèse] / Youssef AIT BAHADOU, Auteur . - 2020. Langues : Français ( fre) Mots-clĂ©s : | Infection gĂ©nital IST UrĂ©trite UlcĂ©ration gĂ©nitale Prostatite OrchiĂ©pididymite | RĂ©sumĂ© : | Les infections génitales masculines sont principalement d'origine sexuelle, dans
le cadre d'une IST, ou d'origine urinaire ou iatrogène. Les germes le plus fréquents
sont : N.gonorrhoeae, C.trachomatis, mycoplasmes génitaux (M.genitalium,
M.hominis, U.urealyticum), T.pallidum, H.ducreyi, K.granulomatis. Elles se
manifestent, de manière isolée ou associée, par l’urétrite (gonococciques ou non
gonococciques), orchi-épididymites, prostatites et des ulcérations génitales (la syphilis,
le chancre mou et la donovanose) avec des désaminations extra-génitales.
L'interrogatoire et la clinique permettent d'orienter l'étiologie vers une cause sexuelle
ou urinaire.
Les examens bactériologiques sont indispensables pour confirmer le diagnostic et
adapter le traitement. À l'exception de la syphilis, dont le diagnostic est repose sur la
sérologie. Le traitement antibiotique est probabiliste et adapté à l'antibiogramme,
pour l’urétrite ; en cas d’IST : ceftriaxone + azithromycine; en cas d'infection urinaire :
fluoroquinolone en 1ère intention, 14 jours pour une épididymite simple, 4 à 6
semaines pour une prostatite. Pénicilline G benzathine: dose unique de 2,4 millions
d'unités en cas de syphilis. L'azithromycine pour chancre mou, une fois par semaine
pendant 3 semaines ou jusqu'à ce que la guérison clinique pour la donovanose. | Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M3182020 | Président : | ZOUHDI.M | Directeur : | SEKHSOKH.Y | Juge : | GAOUZI.A | Juge : | CHADLI.M | Juge : | TELLAL.S |
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