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ETUDE PROSPECTIVE DES INFECTIONS GENITALES AU LABORATOIRE DE BACTERIOLOGIE DE L’HOPITAL MILITAIRE D’INSTRUCTION MOHAMMED V DE RABAT / DRISSI EL BOUZAIDI RABAB
Titre : ETUDE PROSPECTIVE DES INFECTIONS GENITALES AU LABORATOIRE DE BACTERIOLOGIE DE L’HOPITAL MILITAIRE D’INSTRUCTION MOHAMMED V DE RABAT Type de document : thèse Auteurs : DRISSI EL BOUZAIDI RABAB, Auteur Année de publication : 2013 Langues : Français (fre) Mots-clés : VAGINITE BACTERIENNE URETRITE INFECTIONS SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLES. Résumé : Objectifs :
- Identifier le profil étiologique des infections génitales.
- Evaluer les profils de sensibilité aux antibiotiques des isolats.
Matériels et Méthodes : Etude prospective descriptive sur une période de 6 mois, menée par le service de Bactériologie de l’HMIM V de Rabat. Ont été inclus tous les patients suivis à titre externe ou hospitalisés et ayant bénéficié d’un prélèvement génital pour étude cytobactériologique.
Résultats : Au cours de la période d’étude, 742 patients ont été colligés, correspondant à 706 femmes et 36 hommes. L’étiologie des infections génitales chez la femme est dominée par les vaginoses bactériennes. Les agents responsables d’IST ne représentaient que 0,2%. Chez l’homme, les urétrites gonococciques représentaient 7,69%, les urétrites non gonococciques à Chlamydiae trachomatis 10,53% et à Mycoplasmes 15,79%. Les urétrites non gonococciques bactériennes, en dehors de Chlamydia et Mycoplasmes, sont l’étiologie la plus fréquente avec 78,95% des cas. Sur les 742 prélèvements colligés Chlamydiae trachomatis a été retenue dans 0,4% des cas, Neisseria gonorrhoeae (0,27%), Mycoplasmes (4,71%), Streptococcus agalactiae (12,26%), levures (22,50%) et autres microorganismes (9,70%). Le profil de sensibilité des isolats de Mycoplasmes a montré une résistance totale aux fluoroquinolones : 33,33% des isolats d’Ureaplasma urealiticum sont intermédiaires et 66,66% sont résistants. Les isolats de Mycoplasma hominis sont intermédiaires dans 20% des cas et résistants dans 80%.
Le taux de sensibilité aux Tétracyclines des isolats de Streptococcus B a été très faible: 5,5% pour la tétracycline et 8,8% pour la minocycline.
Ce profil bactérien reste à confirmer par une autre étude généralisant la biologie moléculaire pour le diagnostic du gonocoque, Chlamydiae trachomatis voir les Mycoplasmes.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0752013 Président : ZOUHDI.M Directeur : EL OUENNASS Juge : AMEUR.A Juge : RABHI.M ETUDE PROSPECTIVE DES INFECTIONS GENITALES AU LABORATOIRE DE BACTERIOLOGIE DE L’HOPITAL MILITAIRE D’INSTRUCTION MOHAMMED V DE RABAT [thèse] / DRISSI EL BOUZAIDI RABAB, Auteur . - 2013.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : VAGINITE BACTERIENNE URETRITE INFECTIONS SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLES. Résumé : Objectifs :
- Identifier le profil étiologique des infections génitales.
- Evaluer les profils de sensibilité aux antibiotiques des isolats.
Matériels et Méthodes : Etude prospective descriptive sur une période de 6 mois, menée par le service de Bactériologie de l’HMIM V de Rabat. Ont été inclus tous les patients suivis à titre externe ou hospitalisés et ayant bénéficié d’un prélèvement génital pour étude cytobactériologique.
Résultats : Au cours de la période d’étude, 742 patients ont été colligés, correspondant à 706 femmes et 36 hommes. L’étiologie des infections génitales chez la femme est dominée par les vaginoses bactériennes. Les agents responsables d’IST ne représentaient que 0,2%. Chez l’homme, les urétrites gonococciques représentaient 7,69%, les urétrites non gonococciques à Chlamydiae trachomatis 10,53% et à Mycoplasmes 15,79%. Les urétrites non gonococciques bactériennes, en dehors de Chlamydia et Mycoplasmes, sont l’étiologie la plus fréquente avec 78,95% des cas. Sur les 742 prélèvements colligés Chlamydiae trachomatis a été retenue dans 0,4% des cas, Neisseria gonorrhoeae (0,27%), Mycoplasmes (4,71%), Streptococcus agalactiae (12,26%), levures (22,50%) et autres microorganismes (9,70%). Le profil de sensibilité des isolats de Mycoplasmes a montré une résistance totale aux fluoroquinolones : 33,33% des isolats d’Ureaplasma urealiticum sont intermédiaires et 66,66% sont résistants. Les isolats de Mycoplasma hominis sont intermédiaires dans 20% des cas et résistants dans 80%.
Le taux de sensibilité aux Tétracyclines des isolats de Streptococcus B a été très faible: 5,5% pour la tétracycline et 8,8% pour la minocycline.
Ce profil bactérien reste à confirmer par une autre étude généralisant la biologie moléculaire pour le diagnostic du gonocoque, Chlamydiae trachomatis voir les Mycoplasmes.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0752013 Président : ZOUHDI.M Directeur : EL OUENNASS Juge : AMEUR.A Juge : RABHI.M Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0752013 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2013 Disponible P0752013-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2013 Disponible
Titre : LES INFECTIONS GENITALES MASCULAINES Type de document : thèse Auteurs : Youssef AIT BAHADOU, Auteur Année de publication : 2020 Langues : Français (fre) Mots-clés : Infection génital IST Urétrite Ulcération génitale Prostatite Orchiépididymite Résumé : Les infections génitales masculines sont principalement d'origine sexuelle, dans
le cadre d'une IST, ou d'origine urinaire ou iatrogène. Les germes le plus fréquents
sont : N.gonorrhoeae, C.trachomatis, mycoplasmes génitaux (M.genitalium,
M.hominis, U.urealyticum), T.pallidum, H.ducreyi, K.granulomatis. Elles se
manifestent, de manière isolée ou associée, par l’urétrite (gonococciques ou non
gonococciques), orchi-épididymites, prostatites et des ulcérations génitales (la syphilis,
le chancre mou et la donovanose) avec des désaminations extra-génitales.
L'interrogatoire et la clinique permettent d'orienter l'étiologie vers une cause sexuelle
ou urinaire.
Les examens bactériologiques sont indispensables pour confirmer le diagnostic et
adapter le traitement. À l'exception de la syphilis, dont le diagnostic est repose sur la
sérologie. Le traitement antibiotique est probabiliste et adapté à l'antibiogramme,
pour l’urétrite ; en cas d’IST : ceftriaxone + azithromycine; en cas d'infection urinaire :
fluoroquinolone en 1ère intention, 14 jours pour une épididymite simple, 4 à 6
semaines pour une prostatite. Pénicilline G benzathine: dose unique de 2,4 millions
d'unités en cas de syphilis. L'azithromycine pour chancre mou, une fois par semaine
pendant 3 semaines ou jusqu'à ce que la guérison clinique pour la donovanose.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3182020 Président : ZOUHDI.M Directeur : SEKHSOKH.Y Juge : GAOUZI.A Juge : CHADLI.M Juge : TELLAL.S LES INFECTIONS GENITALES MASCULAINES [thèse] / Youssef AIT BAHADOU, Auteur . - 2020.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Infection génital IST Urétrite Ulcération génitale Prostatite Orchiépididymite Résumé : Les infections génitales masculines sont principalement d'origine sexuelle, dans
le cadre d'une IST, ou d'origine urinaire ou iatrogène. Les germes le plus fréquents
sont : N.gonorrhoeae, C.trachomatis, mycoplasmes génitaux (M.genitalium,
M.hominis, U.urealyticum), T.pallidum, H.ducreyi, K.granulomatis. Elles se
manifestent, de manière isolée ou associée, par l’urétrite (gonococciques ou non
gonococciques), orchi-épididymites, prostatites et des ulcérations génitales (la syphilis,
le chancre mou et la donovanose) avec des désaminations extra-génitales.
L'interrogatoire et la clinique permettent d'orienter l'étiologie vers une cause sexuelle
ou urinaire.
Les examens bactériologiques sont indispensables pour confirmer le diagnostic et
adapter le traitement. À l'exception de la syphilis, dont le diagnostic est repose sur la
sérologie. Le traitement antibiotique est probabiliste et adapté à l'antibiogramme,
pour l’urétrite ; en cas d’IST : ceftriaxone + azithromycine; en cas d'infection urinaire :
fluoroquinolone en 1ère intention, 14 jours pour une épididymite simple, 4 à 6
semaines pour une prostatite. Pénicilline G benzathine: dose unique de 2,4 millions
d'unités en cas de syphilis. L'azithromycine pour chancre mou, une fois par semaine
pendant 3 semaines ou jusqu'à ce que la guérison clinique pour la donovanose.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3182020 Président : ZOUHDI.M Directeur : SEKHSOKH.Y Juge : GAOUZI.A Juge : CHADLI.M Juge : TELLAL.S Réservation
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Titre : SYNDROME DE FIESSENGER- LEROY- REITER Type de document : thèse Auteurs : ZEBBAKH Hajar, Auteur Année de publication : 2019 Langues : Français (fre) Mots-clés : Arthrite Bactérie Biologie moléculaire Conjonctivite Urétrite Résumé : Le syndrome de Fiessinger-Leroy-Reiter ou syndrome oculo-urétro-synovial associe la triade classique conjonctivite–urétrite– arthrite. Dû principalement à Chlamydiae Trachomatis, peut-être dû également à d’autres germes : Mycoplasma hominis, Ureaplasma urealyticum, Shigella flexneri, Salmonella spp, Yersinia enterocolitica, Campylobacter spp et Neisseria gonorrhoeae.
Il a été décrit par de nombreux chercheurs selon plusieurs étapes mais la description princeps a été attribuée à Hans Reiter en 1916.
Ce syndrome touche principalement les adultes jeunes de sexe masculin de la trentaine et se caractérise par son polymorphisme clinique. La connaissance des critères mineurs et majeurs cliniques et para cliniques est nécessaire pour établir le diagnostic et commencer la conduite thérapeutique. Les techniques de PCR peuvent redresser le diagnostic lorsque les autres explorations microbiologiques standards sont en défaut.
Il n’y a pas de remède contre le syndrome de Reiter, le traitement est plutôt symptomatique faisant appel aux analgésiques et aux anti- inflammatoires non stéroïdiens pour l’atteinte articulaire, à des gouttes oculaires stéroïdiennes ou des préparations sous-conjonctivales pour l’atteinte oculaire. L’utilisation de l’antibiothérapie est controversée.
Etant donné que les maladies sexuellement transmissibles sont une cause importante du syndrome de Reiter, leur prévention est primordiale pour éviter ce syndrome.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0392019 Président : EL HAMZAOUI.S Directeur : SEKHSOKH.Y Juge : GAOUZI.A Juge : TELLAL.S SYNDROME DE FIESSENGER- LEROY- REITER [thèse] / ZEBBAKH Hajar, Auteur . - 2019.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Arthrite Bactérie Biologie moléculaire Conjonctivite Urétrite Résumé : Le syndrome de Fiessinger-Leroy-Reiter ou syndrome oculo-urétro-synovial associe la triade classique conjonctivite–urétrite– arthrite. Dû principalement à Chlamydiae Trachomatis, peut-être dû également à d’autres germes : Mycoplasma hominis, Ureaplasma urealyticum, Shigella flexneri, Salmonella spp, Yersinia enterocolitica, Campylobacter spp et Neisseria gonorrhoeae.
Il a été décrit par de nombreux chercheurs selon plusieurs étapes mais la description princeps a été attribuée à Hans Reiter en 1916.
Ce syndrome touche principalement les adultes jeunes de sexe masculin de la trentaine et se caractérise par son polymorphisme clinique. La connaissance des critères mineurs et majeurs cliniques et para cliniques est nécessaire pour établir le diagnostic et commencer la conduite thérapeutique. Les techniques de PCR peuvent redresser le diagnostic lorsque les autres explorations microbiologiques standards sont en défaut.
Il n’y a pas de remède contre le syndrome de Reiter, le traitement est plutôt symptomatique faisant appel aux analgésiques et aux anti- inflammatoires non stéroïdiens pour l’atteinte articulaire, à des gouttes oculaires stéroïdiennes ou des préparations sous-conjonctivales pour l’atteinte oculaire. L’utilisation de l’antibiothérapie est controversée.
Etant donné que les maladies sexuellement transmissibles sont une cause importante du syndrome de Reiter, leur prévention est primordiale pour éviter ce syndrome.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0392019 Président : EL HAMZAOUI.S Directeur : SEKHSOKH.Y Juge : GAOUZI.A Juge : TELLAL.S Réservation
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