Titre : | HEMANGIOENDOTHELIOME PSEUDOMYOGENIQUE AU NIVEAU DU GENOU A PROPOS D’UN CAS ET REVUE DE LA LITTERATURE | Type de document : | thèse | Auteurs : | Mariam LAARABI, Auteur | AnnĂ©e de publication : | 2021 | Langues : | Français (fre) | Mots-clĂ©s : | HĂ©mangioendothĂ©liome pseudomyogĂ©nique Tumeurs vasculaires Tumeurs des tissus mous Immunohistochimie Chirurgie | RĂ©sumĂ© : | L’hémangioendothéliome pseudomyogénique (HPM) a été décrit pour la
première fois en 1992 par Mirra et al. C’est une tumeur vasculaire rare dont le degré de
malignité est intermédiaire entre les hémangiomes bénins et les angiosarcomes
hautement malins. L’HPM survient essentiellement dans les tissus mous et touche
surtout les jeunes hommes âgés entre 20 et 29 ans. Pendant longtemps, cette tumeur a
été confondue avec les tumeurs à cellules fusiformes telles que le sarcome épithélioïde,
l’hémangioendothéliome épithélioïde et l’angiosarcome épithélioïde. Selon notre
revue de la littérature, 58% des cas ont présenté des récidives locales. Cependant de
rares cas de métastases et de décès ont été rapportés. L’hémangioendothéliome
pseudomyogénique reste une tumeur difficile à diagnostiquer. Sur le plan histologique
l’HPM se présente sous forme de feuillets de cellules fusiformes sans aucune
caractéristique histologique typique de la différentiation vasculaire. Mais, l’utilisation
de techniques immunohistochimiques pertinentes qui détectent la réaction positive de
l’HPM aux marqueurs vasculaires a permis de poser son diagnostic avec certitude. La
chirurgie reste la première ligne de traitement pour l’HPM mais d’autres traitements
par chimiothérapie et radiothérapie ont été rapporté et ont donné de bons résultats
thérapeutiques. Dans ce travail, nous avons étudié le cas d’un patient âgé de 63 ans
ayant un hémangioendothéliome pseudomyogénique du genou droit qui a présenté
cinq récidives locales traités uniquement par chirurgie exérèse avant de procéder à
l’amputation de sa cuisse. Le suivis été régulier pendant une année après l’amputation,
le patient a bien évolué sans aucune récurrence loco-régionale ou métastase à distance. | Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M1942021 | Président : | Fouad ZOUAIDIA | Directeur : | Moulay Omar LAMRANI | Juge : | Monsef BOUFETTAL | Juge : | Rida Allah BASSIR |
HEMANGIOENDOTHELIOME PSEUDOMYOGENIQUE AU NIVEAU DU GENOU A PROPOS D’UN CAS ET REVUE DE LA LITTERATURE [thèse] / Mariam LAARABI, Auteur . - 2021. Langues : Français ( fre) Mots-clĂ©s : | HĂ©mangioendothĂ©liome pseudomyogĂ©nique Tumeurs vasculaires Tumeurs des tissus mous Immunohistochimie Chirurgie | RĂ©sumĂ© : | L’hémangioendothéliome pseudomyogénique (HPM) a été décrit pour la
première fois en 1992 par Mirra et al. C’est une tumeur vasculaire rare dont le degré de
malignité est intermédiaire entre les hémangiomes bénins et les angiosarcomes
hautement malins. L’HPM survient essentiellement dans les tissus mous et touche
surtout les jeunes hommes âgés entre 20 et 29 ans. Pendant longtemps, cette tumeur a
été confondue avec les tumeurs à cellules fusiformes telles que le sarcome épithélioïde,
l’hémangioendothéliome épithélioïde et l’angiosarcome épithélioïde. Selon notre
revue de la littérature, 58% des cas ont présenté des récidives locales. Cependant de
rares cas de métastases et de décès ont été rapportés. L’hémangioendothéliome
pseudomyogénique reste une tumeur difficile à diagnostiquer. Sur le plan histologique
l’HPM se présente sous forme de feuillets de cellules fusiformes sans aucune
caractéristique histologique typique de la différentiation vasculaire. Mais, l’utilisation
de techniques immunohistochimiques pertinentes qui détectent la réaction positive de
l’HPM aux marqueurs vasculaires a permis de poser son diagnostic avec certitude. La
chirurgie reste la première ligne de traitement pour l’HPM mais d’autres traitements
par chimiothérapie et radiothérapie ont été rapporté et ont donné de bons résultats
thérapeutiques. Dans ce travail, nous avons étudié le cas d’un patient âgé de 63 ans
ayant un hémangioendothéliome pseudomyogénique du genou droit qui a présenté
cinq récidives locales traités uniquement par chirurgie exérèse avant de procéder à
l’amputation de sa cuisse. Le suivis été régulier pendant une année après l’amputation,
le patient a bien évolué sans aucune récurrence loco-régionale ou métastase à distance. | Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M1942021 | Président : | Fouad ZOUAIDIA | Directeur : | Moulay Omar LAMRANI | Juge : | Monsef BOUFETTAL | Juge : | Rida Allah BASSIR |
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