Accueil
A partir de cette page vous pouvez :
Retourner au premier écran avec les dernières notices... |
Résultat de la recherche
1 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Antitussifs opiacés'
Affiner la recherche Faire une suggestion
Titre : LA PHARMACODEPENDANCE AUX ANTITUSSIFS OPIACES : ENQUETE AU NIVEAU DE L’OFFICINE Type de document : thèse Auteurs : Kenza LOUKILI, Auteur Année de publication : 2022 Langues : Français (fre) Mots-clés : Pharmacodépendance Antitussifs opiacés Enquête Délivrance Officine Résumé : Introduction : Le phénomène de pharmacodépendance et d’addiction aux
antitussifs opiacés a motivé une enquête menée au sein de l’officine sur l’usage abusif
de ces médicaments mettant en avant plusieurs paramètres tels que l’âge, le contexte
de la consommation démesurée, les spécialités de médicaments impliqués ainsi que les
différents effets secondaires entrainés.
Méthodes : Cette étude descriptive a été menée sous forme de questionnaire
distribué et publié pendant 4 mois à compter du vendredi 29 avril 2022 au niveau de
deux officines à Rabat, en parallèle à son partage au niveau des plateformes en ligne.
Résultats : Seules 31 personnes (44,3%) déclarent reconnaitre le phénomène de
pharmacodépendance aux antitussifs opiacés. 33 personnes (soit 47,1%) admettent
avoir été témoin de cet usage à visée addictive. La tranche d’âge consommant de façon
excessive ces médicaments à but récréatif est de 20ans (60%), (15%) et (17%) variant
respectivement entre 21ans-22ans et 23ans-25ans, (5%) entre 40ans et 50ans. Notre
étude a révélé que la plupart des médicaments antitussifs opiacés consommés, sont à
base de codéine (80%) et de DXM (20%) consommés en flacon entier (65,7%), à la
moitié du flacon (21,4%) ou une à deux cuillères (12,9%) et ceci en association avec
d’autres médicaments tels que le phenergan° (69,5%) ou encore avec du soda (70%).
Le principal effet recherché était la sensation de bien-être (45,7%).
Conclusion : Le phénomène de pharmacodépendance aux antitussifs opiacés est
encore négligé, et les taux de cet usage excessif ne font qu’augmenter. La contribution
du pharmacien s’avère donc indispensable pour lutter contre l’abus médicamenteux,
pour garantir l’utilisation sécuritaire et la préservation de la santé publique.Numéro (Thèse ou Mémoire) : P1142022 Président : Younes RAHALI Directeur : Jaouad EL HARTI Juge : Yassir BOUSLIMAN Juge : Rachid EL JAOUDI LA PHARMACODEPENDANCE AUX ANTITUSSIFS OPIACES : ENQUETE AU NIVEAU DE L’OFFICINE [thèse] / Kenza LOUKILI, Auteur . - 2022.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Pharmacodépendance Antitussifs opiacés Enquête Délivrance Officine Résumé : Introduction : Le phénomène de pharmacodépendance et d’addiction aux
antitussifs opiacés a motivé une enquête menée au sein de l’officine sur l’usage abusif
de ces médicaments mettant en avant plusieurs paramètres tels que l’âge, le contexte
de la consommation démesurée, les spécialités de médicaments impliqués ainsi que les
différents effets secondaires entrainés.
Méthodes : Cette étude descriptive a été menée sous forme de questionnaire
distribué et publié pendant 4 mois à compter du vendredi 29 avril 2022 au niveau de
deux officines à Rabat, en parallèle à son partage au niveau des plateformes en ligne.
Résultats : Seules 31 personnes (44,3%) déclarent reconnaitre le phénomène de
pharmacodépendance aux antitussifs opiacés. 33 personnes (soit 47,1%) admettent
avoir été témoin de cet usage à visée addictive. La tranche d’âge consommant de façon
excessive ces médicaments à but récréatif est de 20ans (60%), (15%) et (17%) variant
respectivement entre 21ans-22ans et 23ans-25ans, (5%) entre 40ans et 50ans. Notre
étude a révélé que la plupart des médicaments antitussifs opiacés consommés, sont à
base de codéine (80%) et de DXM (20%) consommés en flacon entier (65,7%), à la
moitié du flacon (21,4%) ou une à deux cuillères (12,9%) et ceci en association avec
d’autres médicaments tels que le phenergan° (69,5%) ou encore avec du soda (70%).
Le principal effet recherché était la sensation de bien-être (45,7%).
Conclusion : Le phénomène de pharmacodépendance aux antitussifs opiacés est
encore négligé, et les taux de cet usage excessif ne font qu’augmenter. La contribution
du pharmacien s’avère donc indispensable pour lutter contre l’abus médicamenteux,
pour garantir l’utilisation sécuritaire et la préservation de la santé publique.Numéro (Thèse ou Mémoire) : P1142022 Président : Younes RAHALI Directeur : Jaouad EL HARTI Juge : Yassir BOUSLIMAN Juge : Rachid EL JAOUDI Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P1142022 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2022 Disponible Documents numériques
P1142022URL