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Emploi des armes microbiologique , légende et réalité / OUDRA Abdelilah
Titre : Emploi des armes microbiologique , légende et réalité Type de document : thèse Auteurs : OUDRA Abdelilah, Auteur Année de publication : 2017 Langues : Français (fre) Mots-clés : Armes microbiologique Bioterrorisme anthrax Agent pathogènes Conventions Résumé : Les armes biologiques sont différentes des armes conventionnelles, car les agents pathogènes détiennent un imprévisible potentiel de multiplication, de propagation et de variation génétique au cours de leur diffusion dans une population visée. En effet, Les premiers actes de guerre biologique perpétrée à grande échelle semblent dater du XIVème siècle. Lors du siège de Caffa en 1346, les Tartares projetaient les dépouilles des soldats morts de la peste dans la ville assiégée défendue par les Génois. On trouve une nouvelle utilisation d’arme biologique au XVIIIème siècle lorsque les anglais ont utilisé le virus de la variole contre les indigènes canadiens alliés aux Français. Dans les années 30, le Japon aurait élaboré et utilisé des armes biologiques contre la Chine. Depuis un grand nombre de micro-organismes et de toxines ont été étudiés dans le monde entier à des fins guerrières ; ce qui provoque un risque biologique agressif. Ces agents sont susceptibles d’induire au sein des populations un état de panique et une désorganisation socio-économique.
En avril 1972, 80 États ont signé la Convention sur l'interdiction de mise au point, de fabrication et du stockage d’armes bactériologiques, biologiques ou à toxines, aussi appelée la Convention sur les armes biologiques et à toxines (CABT). À l'heure actuelle, 153 États ont signé cette Convention, qui est entrée en vigueur en 1975.
La fin de la Guerre Froide et la libération délibérée de Bacillus anthracis par le courrier livré aux États-Unis à la fin de l’année 2001 sont en grande partie à l’origine de l’apparition du bioterrorisme que nous connaissons aujourd’hui.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0322017 Président : ZOUHDI.M Directeur : CHADLI.M Juge : SEKHSOKH.Y Juge : EL HAMZAOUI.S Juge : TELLAL.S Emploi des armes microbiologique , légende et réalité [thèse] / OUDRA Abdelilah, Auteur . - 2017.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Armes microbiologique Bioterrorisme anthrax Agent pathogènes Conventions Résumé : Les armes biologiques sont différentes des armes conventionnelles, car les agents pathogènes détiennent un imprévisible potentiel de multiplication, de propagation et de variation génétique au cours de leur diffusion dans une population visée. En effet, Les premiers actes de guerre biologique perpétrée à grande échelle semblent dater du XIVème siècle. Lors du siège de Caffa en 1346, les Tartares projetaient les dépouilles des soldats morts de la peste dans la ville assiégée défendue par les Génois. On trouve une nouvelle utilisation d’arme biologique au XVIIIème siècle lorsque les anglais ont utilisé le virus de la variole contre les indigènes canadiens alliés aux Français. Dans les années 30, le Japon aurait élaboré et utilisé des armes biologiques contre la Chine. Depuis un grand nombre de micro-organismes et de toxines ont été étudiés dans le monde entier à des fins guerrières ; ce qui provoque un risque biologique agressif. Ces agents sont susceptibles d’induire au sein des populations un état de panique et une désorganisation socio-économique.
En avril 1972, 80 États ont signé la Convention sur l'interdiction de mise au point, de fabrication et du stockage d’armes bactériologiques, biologiques ou à toxines, aussi appelée la Convention sur les armes biologiques et à toxines (CABT). À l'heure actuelle, 153 États ont signé cette Convention, qui est entrée en vigueur en 1975.
La fin de la Guerre Froide et la libération délibérée de Bacillus anthracis par le courrier livré aux États-Unis à la fin de l’année 2001 sont en grande partie à l’origine de l’apparition du bioterrorisme que nous connaissons aujourd’hui.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0322017 Président : ZOUHDI.M Directeur : CHADLI.M Juge : SEKHSOKH.Y Juge : EL HAMZAOUI.S Juge : TELLAL.S Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0322017 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2017 Disponible P0322017-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2017 Disponible LA MALADIE DU CHARBON : ASPECTS CLINIQUES, THERAPEUTIQUES, EVOLUTIFS, ET ACTUALITES EPIDEMIOLOGIQUES DANS LE MONDE ET AU MAROC. / ZAKARIAE LAHLAFI
Titre : LA MALADIE DU CHARBON : ASPECTS CLINIQUES, THERAPEUTIQUES, EVOLUTIFS, ET ACTUALITES EPIDEMIOLOGIQUES DANS LE MONDE ET AU MAROC. Type de document : thèse Auteurs : ZAKARIAE LAHLAFI, Auteur Année de publication : 2012 Langues : Français (fre) Mots-clés : BACILLUS ANTHRACIS ZOO-ANTHROPONOSE CHAMPS MAUDITS– VACCINATION BIOTERRORISME Résumé : La maladie du charbon est une zoo-anthroponose touchant les troupeaux et parfois l’homme en contact avec les produits animaux dans un contexte de maladies professionnelles, industrielles ou de toxi-infections alimentaires. La maladie est de répartition cosmopolite touchant la quasi-totalité des pays y compris les pays industrialisés, malgré les stratégies de lutte mises en place par les gouvernements. Elle se présente sous formes cutanée, digestive et respiratoire. Bacillus anthracis est l’agent responsable de la maladie du charbon. C’est un bacille à Gram positif, immobile, capsulé, non hémolytique formant des spores. Alors qu’il est facile de traiter le charbon cutané par les antibiotiques, le charbon digestif, le charbon méningé et le charbon pulmonaire (ou d’inhalation) sont redoutables.
Le traitement préventif de la maladie repose sur la vaccination (cheptel, militaires et professionnels à risque). Le cycle du charbon met en jeu une forme sporulée tellurique et une forme végétative capsulée produisant les toxines charbonneuses chez l’hôte. Toujours présente dans l’environnement hydrotellurique des zones d’enzootie (champs maudits), la maladie réémerge périodiquement en fonction des évolutions climatiques et écologiques ou des activités humaines. La grande résistance des spores dans l’environnement et la virulence du bacille du charbon en font un agent potentiel de guerre bactériologique et de bioterrorisme de premier plan. Il est donc important de savoir faire le diagnostic biologique de cette maladie qui s’appuie sur des techniques de bactériologie classique, de biologie moléculaire et d’immunologie.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2592012 Président : ZOUHDI.M Directeur : EL HAMZAOUI.S Juge : BOUI.M Juge : AFIFI.Y Juge : ABDERRAHMANIRHORFI.I LA MALADIE DU CHARBON : ASPECTS CLINIQUES, THERAPEUTIQUES, EVOLUTIFS, ET ACTUALITES EPIDEMIOLOGIQUES DANS LE MONDE ET AU MAROC. [thèse] / ZAKARIAE LAHLAFI, Auteur . - 2012.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : BACILLUS ANTHRACIS ZOO-ANTHROPONOSE CHAMPS MAUDITS– VACCINATION BIOTERRORISME Résumé : La maladie du charbon est une zoo-anthroponose touchant les troupeaux et parfois l’homme en contact avec les produits animaux dans un contexte de maladies professionnelles, industrielles ou de toxi-infections alimentaires. La maladie est de répartition cosmopolite touchant la quasi-totalité des pays y compris les pays industrialisés, malgré les stratégies de lutte mises en place par les gouvernements. Elle se présente sous formes cutanée, digestive et respiratoire. Bacillus anthracis est l’agent responsable de la maladie du charbon. C’est un bacille à Gram positif, immobile, capsulé, non hémolytique formant des spores. Alors qu’il est facile de traiter le charbon cutané par les antibiotiques, le charbon digestif, le charbon méningé et le charbon pulmonaire (ou d’inhalation) sont redoutables.
Le traitement préventif de la maladie repose sur la vaccination (cheptel, militaires et professionnels à risque). Le cycle du charbon met en jeu une forme sporulée tellurique et une forme végétative capsulée produisant les toxines charbonneuses chez l’hôte. Toujours présente dans l’environnement hydrotellurique des zones d’enzootie (champs maudits), la maladie réémerge périodiquement en fonction des évolutions climatiques et écologiques ou des activités humaines. La grande résistance des spores dans l’environnement et la virulence du bacille du charbon en font un agent potentiel de guerre bactériologique et de bioterrorisme de premier plan. Il est donc important de savoir faire le diagnostic biologique de cette maladie qui s’appuie sur des techniques de bactériologie classique, de biologie moléculaire et d’immunologie.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2592012 Président : ZOUHDI.M Directeur : EL HAMZAOUI.S Juge : BOUI.M Juge : AFIFI.Y Juge : ABDERRAHMANIRHORFI.I Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2592012 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2012 Disponible Tularémie : guerre bactériologique et bioterrorisme / Adamou Amadou HAMZA
Titre : Tularémie : guerre bactériologique et bioterrorisme Type de document : thèse Auteurs : Adamou Amadou HAMZA, Auteur Année de publication : 2017 Langues : Français (fre) Mots-clés : Francisellatularensis Tularémie Arthropodes bioterrorisme Ulcération Résumé : Francisellatularensis est une bactérie à Gram négatif, intracellulaire facultative, de réservoir animal étendu, responsable de la tularémie. Ce pathogène hautement infectieux chez l’Homme, est considéré comme agent potentiel de bioterrorisme, classe A du CDC. Les infections humaines sont dues à F. tularensissubsp. tularensis.
Les infections humaines surviennent au contact d’animaux infectés (lièvres), par l’intermédiaire d’arthropodes (tiques, moustiques en Scandinavie) ou à partir d’un environnement hydrique ou tellurique contaminé.
Les manifestations cliniques varient principalement en fonction de la porte d’entrée des bactéries et correspondent habituellement aux formes ulcéro-ganglionnaires et ganglionnaires (voie cutanée), oculo-ganglionnaires (voie oculaire), oro-pharyngées (voie orale), pulmonaires (voie aérienne ou hématogène) et typhoïdiques (variable).
Le diagnostic de certitude repose sur l’isolement de F. tularensis à partir de prélèvements cliniques, mais cette bactérie fastidieuse est rarement obtenue en culture. La sérologie permet le plus souvent de confirmer le diagnostic. L’amplification génique par PCR permet de détecter l’ADN bactérien en phase précoce ou plus tardive de la maladie et apporte une identification de certitude de l’espèce F. tularensis et de la sous-espèce en cause.
Le traitement repose sur les fluoroquinolones et les tétracyclines, les aminosides (streptomycine et gentamicine) étant réservés aux formes graves. La tularémie entraîne rarement le décès des patients, mais demeure une maladie fréquemment invalidante en particulier du fait de l’abcédation des ganglions infectés. Aucun vaccin contre la tularémie n’est disponible actuellement.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0952017 Président : ZOUHDI.M Directeur : SEKHSOKH.Y Juge : EL HAMZAOUI.S Juge : NAZIH.M Juge : CHADLI.M Tularémie : guerre bactériologique et bioterrorisme [thèse] / Adamou Amadou HAMZA, Auteur . - 2017.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Francisellatularensis Tularémie Arthropodes bioterrorisme Ulcération Résumé : Francisellatularensis est une bactérie à Gram négatif, intracellulaire facultative, de réservoir animal étendu, responsable de la tularémie. Ce pathogène hautement infectieux chez l’Homme, est considéré comme agent potentiel de bioterrorisme, classe A du CDC. Les infections humaines sont dues à F. tularensissubsp. tularensis.
Les infections humaines surviennent au contact d’animaux infectés (lièvres), par l’intermédiaire d’arthropodes (tiques, moustiques en Scandinavie) ou à partir d’un environnement hydrique ou tellurique contaminé.
Les manifestations cliniques varient principalement en fonction de la porte d’entrée des bactéries et correspondent habituellement aux formes ulcéro-ganglionnaires et ganglionnaires (voie cutanée), oculo-ganglionnaires (voie oculaire), oro-pharyngées (voie orale), pulmonaires (voie aérienne ou hématogène) et typhoïdiques (variable).
Le diagnostic de certitude repose sur l’isolement de F. tularensis à partir de prélèvements cliniques, mais cette bactérie fastidieuse est rarement obtenue en culture. La sérologie permet le plus souvent de confirmer le diagnostic. L’amplification génique par PCR permet de détecter l’ADN bactérien en phase précoce ou plus tardive de la maladie et apporte une identification de certitude de l’espèce F. tularensis et de la sous-espèce en cause.
Le traitement repose sur les fluoroquinolones et les tétracyclines, les aminosides (streptomycine et gentamicine) étant réservés aux formes graves. La tularémie entraîne rarement le décès des patients, mais demeure une maladie fréquemment invalidante en particulier du fait de l’abcédation des ganglions infectés. Aucun vaccin contre la tularémie n’est disponible actuellement.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0952017 Président : ZOUHDI.M Directeur : SEKHSOKH.Y Juge : EL HAMZAOUI.S Juge : NAZIH.M Juge : CHADLI.M Réservation
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