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BAROTRAUMATISME PULMONAIRE ET COVID 19 : EXPERIENCE DU SERVICE DE RADIOLOGIE DES URGENCES DU CHIS / EL GRAINI SOUMYA
Titre : BAROTRAUMATISME PULMONAIRE ET COVID 19 : EXPERIENCE DU SERVICE DE RADIOLOGIE DES URGENCES DU CHIS Type de document : thèse Auteurs : EL GRAINI SOUMYA, Auteur Année de publication : 2022 Langues : Français (fre) Mots-clés : Barotraumatisme Pneumothorax Pneumomédiastin Effet Macklin COVID 19 Résumé : Matériel et Méthode : Etude rétrospective et analytique réalisée au sein du service de
Radiologie des Urgences du CHIS, intégrant les patients hospitalisés et pris en charge au niveau
des Unités de Soins Intensifs dédiées au COVID-19 durant les périodes allant du 01/09/2020
au 31/12/2020 et du 11/07/2021 au 31/08/2021. Ces patients ont développé au cours de leur
hospitalisation un barotraumatisme (pneumothorax, pneumomédiastin, emphysème sous
cutané), et mis en évidence sur une TDM thoracique. Les données sociodémographique,
scannographique ainsi que les modalités d’oxygénation ont été étudiées et comparées avec les
données de la littérature.
Résultats : 804 cas de patient ayant nécessité une hospitalisation au niveau des unités des soins
intensifs. Parmi eux, nous avons retenu 402 dont 39 cas de barotraumatisme. La médiane d’âge
était de 63ans. 76.9 % d’homme et 23.1 % de femme.64% (n=25) n’avaient aucun antécédent
tandis que la fréquence des patients anciens tabagiques et à tabagisme actif était respectivement
18% et 3% (n=7 et 1). 66% des patients n’avaient aucune comorbidité tandis que 33% avaient
au moins une pathologie dominée par le diabète et l’HTA.
Le MHC a été utilisé dans 94.9 % des cas (n= 37), la CPAP a été utilisée dans 25,6% des cas,
la VNI a été utilisée 87% des cas. 32 patients ont bénéficié d’une intubation dont 11 ont été
trachéotomisés par la suite. La durée du séjour à l’hôpital était de 22 jours, tandis que la durée
en réanimation était en moyenne de 16 jours. Le délai d’apparition du barotraumatisme par
rapport au début des symptômes était de 20 jours en moyenne, par rapport à l’hospitalisation de
11 jours et par rapport à l’intubation de 8 jours en moyenne. La mortalité était dans 79% des
cas. Les barotraumatismes étaient révélés dans 31 cas à la suite au changement de clinique. Le
pneumo médiastin était quasi constant (n= 36, 92%), suivi de l’emphysème sous cutané (n=33),
et du pneumothorax (58%). La présence concomitante du pneumomédiastin et d’emphysème
sous cutané était fortement liée. (n=35, p<0.001)
Le verre dépoli ainsi que le crazy paving représentent 97% (n=38) des lésions retrouvées au
scanner, les condensations 82% (n=32). Le score CTSS variait entre 4 et 25 avec une médiane
de 23, soit une atteinte critique avec un pronostic péjoratif.
La présence du ME était dans 79% des cas ayant un barotraumatisme et 1,4% chez les patients
n’ayant pas développés de barotraumatisme, concluant à un fort risque de survenue du
barotraumatisme (p<0.001). La localisation du signe ME au niveau central et périphérique
(44,7%), en périphérie 15% et au niveau centrale 24%. 19 patients avaient un phénotype L et
21 patients avaient un phénotype H.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3722022 Président : ROUNDI Leila Directeur : LAAMRANI Fatima Zahra Juge : ALILOU Mustapha Juge : TADILI Jaouad BAROTRAUMATISME PULMONAIRE ET COVID 19 : EXPERIENCE DU SERVICE DE RADIOLOGIE DES URGENCES DU CHIS [thèse] / EL GRAINI SOUMYA, Auteur . - 2022.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Barotraumatisme Pneumothorax Pneumomédiastin Effet Macklin COVID 19 Résumé : Matériel et Méthode : Etude rétrospective et analytique réalisée au sein du service de
Radiologie des Urgences du CHIS, intégrant les patients hospitalisés et pris en charge au niveau
des Unités de Soins Intensifs dédiées au COVID-19 durant les périodes allant du 01/09/2020
au 31/12/2020 et du 11/07/2021 au 31/08/2021. Ces patients ont développé au cours de leur
hospitalisation un barotraumatisme (pneumothorax, pneumomédiastin, emphysème sous
cutané), et mis en évidence sur une TDM thoracique. Les données sociodémographique,
scannographique ainsi que les modalités d’oxygénation ont été étudiées et comparées avec les
données de la littérature.
Résultats : 804 cas de patient ayant nécessité une hospitalisation au niveau des unités des soins
intensifs. Parmi eux, nous avons retenu 402 dont 39 cas de barotraumatisme. La médiane d’âge
était de 63ans. 76.9 % d’homme et 23.1 % de femme.64% (n=25) n’avaient aucun antécédent
tandis que la fréquence des patients anciens tabagiques et à tabagisme actif était respectivement
18% et 3% (n=7 et 1). 66% des patients n’avaient aucune comorbidité tandis que 33% avaient
au moins une pathologie dominée par le diabète et l’HTA.
Le MHC a été utilisé dans 94.9 % des cas (n= 37), la CPAP a été utilisée dans 25,6% des cas,
la VNI a été utilisée 87% des cas. 32 patients ont bénéficié d’une intubation dont 11 ont été
trachéotomisés par la suite. La durée du séjour à l’hôpital était de 22 jours, tandis que la durée
en réanimation était en moyenne de 16 jours. Le délai d’apparition du barotraumatisme par
rapport au début des symptômes était de 20 jours en moyenne, par rapport à l’hospitalisation de
11 jours et par rapport à l’intubation de 8 jours en moyenne. La mortalité était dans 79% des
cas. Les barotraumatismes étaient révélés dans 31 cas à la suite au changement de clinique. Le
pneumo médiastin était quasi constant (n= 36, 92%), suivi de l’emphysème sous cutané (n=33),
et du pneumothorax (58%). La présence concomitante du pneumomédiastin et d’emphysème
sous cutané était fortement liée. (n=35, p<0.001)
Le verre dépoli ainsi que le crazy paving représentent 97% (n=38) des lésions retrouvées au
scanner, les condensations 82% (n=32). Le score CTSS variait entre 4 et 25 avec une médiane
de 23, soit une atteinte critique avec un pronostic péjoratif.
La présence du ME était dans 79% des cas ayant un barotraumatisme et 1,4% chez les patients
n’ayant pas développés de barotraumatisme, concluant à un fort risque de survenue du
barotraumatisme (p<0.001). La localisation du signe ME au niveau central et périphérique
(44,7%), en périphérie 15% et au niveau centrale 24%. 19 patients avaient un phénotype L et
21 patients avaient un phénotype H.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M3722022 Président : ROUNDI Leila Directeur : LAAMRANI Fatima Zahra Juge : ALILOU Mustapha Juge : TADILI Jaouad Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M3722022-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMed2022 Disponible M3722022 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMed2022 Disponible Documents numériques
M3722022URL Modifications physiologiques du corps humain en milieu aéronautique et Aérospatiale / GRIDDA Meriem
Titre : Modifications physiologiques du corps humain en milieu aéronautique et Aérospatiale Type de document : thèse Auteurs : GRIDDA Meriem, Auteur Année de publication : 2017 Langues : Français (fre) Mots-clés : hypoxie hypobarie barotraumatisme accélerations microgravité Résumé : Ce travail est une introduction au domaine de la médecine aéronautique et aérospatiale en exposant les diverses avancées effectuées dans ce milieu.
Expliquer les divers aspects et difficultés auxquelles le corps est exposé, dont l’hypoxie, représente l’un des dangers les plus mortels pour la vie du pilote. En effet, Plus l'altitude augmente, plus la PiO2 diminue. L'approvisionnement des organes se retrouve donc limité en oxygène. L'alerte est donnée au corps par les barorécepteurs carotidiens. La respiration et le rythme cardiaque s'accélèrent. Le débit sanguin augmente et le nombre de globules rouges se multiplie pour accroître la capacité de transport de l'oxygène vers les organes.
Dans un avion, le phénomène d'hypoxie est évité grâce à la pressurisation des cabines. Un dispositif qui permet aux passagers de respirer normalement.
Le cockpit des avions de chasses n'est que partiellement pressurisé. Malgré les masques à oxygène, le pilote prend donc le risque d'une hypoxie d'altitude, qui se manifeste par des troubles visuels, neuropsychiques, troubles sensitivo-moteurs ou encore une syncope. Ces symptômes s'aggravent par une vitesse ascensionnelle rapide et une longue durée de vol.
Le deuxième aspect de cette thèse tient dans l’importance d’accroitre l’intérêt pour les études de médecine aérospatiale, car si certes les moyens ne suivent pas, l’intellect et le fait de rester à jour avec les avancements mondiaux dans ce domaine reste crucial.
Cette partie traitera donc des divers effets de la microgravité sur les systèmes cardio-circulatoires et les modifications structurelles musculo-squelettiques qu’elle engendre, en passant par les effets des radiations en situation extra atmosphérique.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1162017 Président : SIAH.S Directeur : CHEMSI.M Juge : DOUDOUH.A Juge : BIYI.A Juge : MASRAR.A Modifications physiologiques du corps humain en milieu aéronautique et Aérospatiale [thèse] / GRIDDA Meriem, Auteur . - 2017.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : hypoxie hypobarie barotraumatisme accélerations microgravité Résumé : Ce travail est une introduction au domaine de la médecine aéronautique et aérospatiale en exposant les diverses avancées effectuées dans ce milieu.
Expliquer les divers aspects et difficultés auxquelles le corps est exposé, dont l’hypoxie, représente l’un des dangers les plus mortels pour la vie du pilote. En effet, Plus l'altitude augmente, plus la PiO2 diminue. L'approvisionnement des organes se retrouve donc limité en oxygène. L'alerte est donnée au corps par les barorécepteurs carotidiens. La respiration et le rythme cardiaque s'accélèrent. Le débit sanguin augmente et le nombre de globules rouges se multiplie pour accroître la capacité de transport de l'oxygène vers les organes.
Dans un avion, le phénomène d'hypoxie est évité grâce à la pressurisation des cabines. Un dispositif qui permet aux passagers de respirer normalement.
Le cockpit des avions de chasses n'est que partiellement pressurisé. Malgré les masques à oxygène, le pilote prend donc le risque d'une hypoxie d'altitude, qui se manifeste par des troubles visuels, neuropsychiques, troubles sensitivo-moteurs ou encore une syncope. Ces symptômes s'aggravent par une vitesse ascensionnelle rapide et une longue durée de vol.
Le deuxième aspect de cette thèse tient dans l’importance d’accroitre l’intérêt pour les études de médecine aérospatiale, car si certes les moyens ne suivent pas, l’intellect et le fait de rester à jour avec les avancements mondiaux dans ce domaine reste crucial.
Cette partie traitera donc des divers effets de la microgravité sur les systèmes cardio-circulatoires et les modifications structurelles musculo-squelettiques qu’elle engendre, en passant par les effets des radiations en situation extra atmosphérique.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1162017 Président : SIAH.S Directeur : CHEMSI.M Juge : DOUDOUH.A Juge : BIYI.A Juge : MASRAR.A Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1162017-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2017 Disponible M1162017 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2017 Disponible PNEUMOMEDIASTIN, PNEUMOTHORAX, ET EMPHYSEME SOUS-CUTANE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS DE COVID-19 (ETUDE RETROSPECTIVE A PROPOS DE 25 MALADES) / Rim ESSAOUD
Titre : PNEUMOMEDIASTIN, PNEUMOTHORAX, ET EMPHYSEME SOUS-CUTANE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS DE COVID-19 (ETUDE RETROSPECTIVE A PROPOS DE 25 MALADES) Type de document : thèse Auteurs : Rim ESSAOUD, Auteur Année de publication : 2022 Langues : Français (fre) Mots-clés : Barotraumatisme Pneumomediastin Pneumothorax Emphysème sous cutané COVID-19 Résumé : Il s’agit d’une étude de cohorte rétrospective et descriptive qui s’est étalée sur une
période d’une année . L’étude a porté sur l’ensemble des patients ayant présenté une ou
plusieurs des trois complications suivantes : pneumomediastin , pneumothorax , et
emphysème sous cutané dus au COVID-19, soit au moment du diagnostic ou durant leur
hospitalisation.
Dans notre étude, l’incidence globale de survenue de ces complications était de 0,11%
par rapport à l’ensemble des malades positifs au COVID-19 et de 0,3% par rapport aux
malades hospitalisés . Le délai moyen de survenue de ces complications était de 7 jours après
leur admission. L’âge médian des malades était 59 ans avec une nette prédominance
masculine . La majorité des patients présentaient principalement des comorbidités à type de
diabète, et d’hypertension artérielle .
Le scanner thoracique a objectivé des lésions très évocatrices du COVID-19 avec une
prévalence du pneumothorax de 36%, du pneumomédiastin de 24%, et de l’emphysème sous
cutané de 25% .
Pour ce qui est de la prise en charge ventilatoire de nos malades , 40% ont été en
ventilation spontanée ,4% ont été sous oxygénothérapie à haut débit , 28% ont été sous
ventilation non invasive et 28% ont été sous ventilation invasive .
Le taux de mortalité était de 48%. La principale cause de décès était en rapport avec
l’insuffisance respiratoire hypoxémique profondeNuméro (Thèse ou Mémoire) : M4002022 Président : Abdellah ACHIR Directeur : Ahmed EL HIJRI Juge : Rachid EL MOUSSAOUI Juge : Sidi Jawad TADILI Juge : Youssef MOTIAA PNEUMOMEDIASTIN, PNEUMOTHORAX, ET EMPHYSEME SOUS-CUTANE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS DE COVID-19 (ETUDE RETROSPECTIVE A PROPOS DE 25 MALADES) [thèse] / Rim ESSAOUD, Auteur . - 2022.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Barotraumatisme Pneumomediastin Pneumothorax Emphysème sous cutané COVID-19 Résumé : Il s’agit d’une étude de cohorte rétrospective et descriptive qui s’est étalée sur une
période d’une année . L’étude a porté sur l’ensemble des patients ayant présenté une ou
plusieurs des trois complications suivantes : pneumomediastin , pneumothorax , et
emphysème sous cutané dus au COVID-19, soit au moment du diagnostic ou durant leur
hospitalisation.
Dans notre étude, l’incidence globale de survenue de ces complications était de 0,11%
par rapport à l’ensemble des malades positifs au COVID-19 et de 0,3% par rapport aux
malades hospitalisés . Le délai moyen de survenue de ces complications était de 7 jours après
leur admission. L’âge médian des malades était 59 ans avec une nette prédominance
masculine . La majorité des patients présentaient principalement des comorbidités à type de
diabète, et d’hypertension artérielle .
Le scanner thoracique a objectivé des lésions très évocatrices du COVID-19 avec une
prévalence du pneumothorax de 36%, du pneumomédiastin de 24%, et de l’emphysème sous
cutané de 25% .
Pour ce qui est de la prise en charge ventilatoire de nos malades , 40% ont été en
ventilation spontanée ,4% ont été sous oxygénothérapie à haut débit , 28% ont été sous
ventilation non invasive et 28% ont été sous ventilation invasive .
Le taux de mortalité était de 48%. La principale cause de décès était en rapport avec
l’insuffisance respiratoire hypoxémique profondeNuméro (Thèse ou Mémoire) : M4002022 Président : Abdellah ACHIR Directeur : Ahmed EL HIJRI Juge : Rachid EL MOUSSAOUI Juge : Sidi Jawad TADILI Juge : Youssef MOTIAA Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M4002022 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMed2022 Disponible M4002022-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMed2022 Disponible Documents numériques
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