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Les syncopes dysautonomiques: apport diagnostic de l’exploration cardio-vasculaire du système nerveux autonome / Khaoula loubaris
Titre : Les syncopes dysautonomiques: apport diagnostic de l’exploration cardio-vasculaire du système nerveux autonome Type de document : thèse Auteurs : Khaoula loubaris, Auteur Année de publication : 2016 Langues : Français (fre) Mots-clés : Système nerveux autonome (SNA) Réflexe de Bezold Jarisch Syndrome de Tachycardie Posturale Orthostatique compliqué Déficience sympathique alpha périphérique Hyperactivité vagale Résumé : La syncope est un symptôme fréquent de consultation potentiellement grave.
L’objectif de ce travail est l’étude du profil autonomique cardio-vasculaire des patients adressés pour suspicion de syncope dysautonomique chez qui, le bilan étiologique conventionnel était négatif.
Matériel et méthodes : Il s’agit d’une étude rétrospective, portant sur 60 patients vus à l’unité d’exploration du SNA du service de cardiologie A d’Avicenne. L’âge moyen de nos patients était de 34,518,5 ans dont 68% étaient des femmes. Tous les patients avaient une symptomatologie fonctionnelle polymorphe et étaient divisés en deux groupes : groupe 1 dont la syncope était d’origine dysautonomique et groupe 2 dont la syncope n’était pas d’origine dysautonomique. Les tests autonomiques cardiovasculaires pratiqués étaient le deep breathing(DB), le hand grip(HG),le stress mental(SM), l’hyperventilation et le test orthostatique(TO).
Résultats : Dans le groupe 1, (N= 52 patients), différentes formes cliniques de dysrégulation autonomiques ont été observées telles que : le réflexe de Bezold Jarish présent chez 48%, l’hyperactivité vagale présente chez 57,7%, le POTS chez 32,7%, le POTS compliqué chez 13,4%, la déficience sympathique alpha périphérique chez 11,5% et l’anomalie des barorécepteurs chez 13,4%. Dans le Groupe 2 (N=8), le profil autonomique ne montrait pas d’anomalies expliquant la syncope.
Signalons que le profil autonomique peut être strictement normal chez les patients ayant fait une syncope réflexe.
Conclusion : Cette étude montre que la syncope dysautonomique n’est pas rare, et qu’il faut l’évoquer devant un patient présentant une symptomatologie fonctionnelle variée et un bilan conventionnel étiologique négatif. La cause demeure dominée par le réflexe de Bezold Jarisch.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0062016 Président : BENJELLOUN.H Directeur : RAISSOUNI.M Juge : FELLAT.I Juge : DOGHMI.N Juge : ABOUDRAR.S Les syncopes dysautonomiques: apport diagnostic de l’exploration cardio-vasculaire du système nerveux autonome [thèse] / Khaoula loubaris, Auteur . - 2016.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Système nerveux autonome (SNA) Réflexe de Bezold Jarisch Syndrome de Tachycardie Posturale Orthostatique compliqué Déficience sympathique alpha périphérique Hyperactivité vagale Résumé : La syncope est un symptôme fréquent de consultation potentiellement grave.
L’objectif de ce travail est l’étude du profil autonomique cardio-vasculaire des patients adressés pour suspicion de syncope dysautonomique chez qui, le bilan étiologique conventionnel était négatif.
Matériel et méthodes : Il s’agit d’une étude rétrospective, portant sur 60 patients vus à l’unité d’exploration du SNA du service de cardiologie A d’Avicenne. L’âge moyen de nos patients était de 34,518,5 ans dont 68% étaient des femmes. Tous les patients avaient une symptomatologie fonctionnelle polymorphe et étaient divisés en deux groupes : groupe 1 dont la syncope était d’origine dysautonomique et groupe 2 dont la syncope n’était pas d’origine dysautonomique. Les tests autonomiques cardiovasculaires pratiqués étaient le deep breathing(DB), le hand grip(HG),le stress mental(SM), l’hyperventilation et le test orthostatique(TO).
Résultats : Dans le groupe 1, (N= 52 patients), différentes formes cliniques de dysrégulation autonomiques ont été observées telles que : le réflexe de Bezold Jarish présent chez 48%, l’hyperactivité vagale présente chez 57,7%, le POTS chez 32,7%, le POTS compliqué chez 13,4%, la déficience sympathique alpha périphérique chez 11,5% et l’anomalie des barorécepteurs chez 13,4%. Dans le Groupe 2 (N=8), le profil autonomique ne montrait pas d’anomalies expliquant la syncope.
Signalons que le profil autonomique peut être strictement normal chez les patients ayant fait une syncope réflexe.
Conclusion : Cette étude montre que la syncope dysautonomique n’est pas rare, et qu’il faut l’évoquer devant un patient présentant une symptomatologie fonctionnelle variée et un bilan conventionnel étiologique négatif. La cause demeure dominée par le réflexe de Bezold Jarisch.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0062016 Président : BENJELLOUN.H Directeur : RAISSOUNI.M Juge : FELLAT.I Juge : DOGHMI.N Juge : ABOUDRAR.S Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0062016 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible M0062016-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible