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1 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Dermatophytose -Trichophyton rubrum, Candidose - Candida albic'
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LES MYCOSES SUPERFICIELLES DIAGNOSTIQUEES DANS UN LABORATOIRE DE VILLE / EL ASSEAD TAOUFIK OUAIL
Titre : LES MYCOSES SUPERFICIELLES DIAGNOSTIQUEES DANS UN LABORATOIRE DE VILLE Type de document : thèse Auteurs : EL ASSEAD TAOUFIK OUAIL, Auteur Année de publication : 2023 Langues : Français (fre) Mots-clés : Mycose superficielle Dermatophytose -Trichophyton rubrum, Candidose -
Candida albicRésumé : Introduction : Les mycoses. superficielles. sont .des. infections courantes. dans .le
monde .entier, et leur .incidence continue. d'augmenter. . Elles sont. dues à des
champignons .microscopiques .se développant au niveau .de la peau, des ongles, des
cheveux et des muqueuses.
Objectifs : Étudier le profil épidémiologique, clinique et mycologique de mycoses
superficielles diagnostiquées dans un laboratoire de ville.
Patients et méthode : Il s’agit d’une étude rétrospective étalée sur 5 ans, réalisée dans
un laboratoire de ville de Témara. Tous les patients .qui se sont présentés. au laboratoire
pour. suspicion de mycose. superficielle., ont bénéficié. d’un examen .mycologique fait
d’examen direct .et une culture. Seuls les prélèvements .ayant une culture. positive ont
été retenus.
Résultats :
- Les mycoses .superficielles .ont été diagnostiquées. chez 232 cas soit une prévalence
.de 68,44%. La moyenne d’âge était de 42 ans, le sexe ratio H/F était de 0,71.
- Sur l’ensemble des mycoses des mycoses superficielles, les onychomycoses
dominaient avec un taux de 75%, suivie des mycoses du cuir chevelu (12,5%), les
épidermomycoses (10,34%), les mycoses génitales (1,30%) et enfin les mycoses
orales (0,86%).
- Les dermatophytes étaient les plus isolés (86,28%), suivie des levures (13,27%), des
moisissures (0,45%).
- Pour les dermatophytoses, le Trichophyton rubrum était l’espèce la plus incriminée
(75,38%), suivi de Trichophyton mentagrophytes et Microsporum canis (9,23%
chacun). Les candidoses étaient dominées par Candida albicans (90%). Et les
moisissures par Aspergillus (100%).
Conclusion :
Les résultats de notre étude concordent majoritairement avec les données de la littérature
et soulignent la fréquence des onychomycoses et des teignes du cuir chevelu par rapport
aux autres localisations des mycoses superficielles.
Ces infections fongiques sont certes bénignes mais posent un problème de santé
publique par leur fréquence, l’observance thérapeutique, les récidives et par leur impact
sur la qualité de vie des patients d’où l’intérêt d’insister sur les mesures préventivesNuméro (Thèse ou Mémoire) : M3842023 Président : Badre Eddine LMIMOUNI Directeur : Hafida NAOUI Juge : Mourad BOUCHRIK Juge : Souad AZELMAT Juge : Maryem IKEN LES MYCOSES SUPERFICIELLES DIAGNOSTIQUEES DANS UN LABORATOIRE DE VILLE [thèse] / EL ASSEAD TAOUFIK OUAIL, Auteur . - 2023.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Mycose superficielle Dermatophytose -Trichophyton rubrum, Candidose -
Candida albicRésumé : Introduction : Les mycoses. superficielles. sont .des. infections courantes. dans .le
monde .entier, et leur .incidence continue. d'augmenter. . Elles sont. dues à des
champignons .microscopiques .se développant au niveau .de la peau, des ongles, des
cheveux et des muqueuses.
Objectifs : Étudier le profil épidémiologique, clinique et mycologique de mycoses
superficielles diagnostiquées dans un laboratoire de ville.
Patients et méthode : Il s’agit d’une étude rétrospective étalée sur 5 ans, réalisée dans
un laboratoire de ville de Témara. Tous les patients .qui se sont présentés. au laboratoire
pour. suspicion de mycose. superficielle., ont bénéficié. d’un examen .mycologique fait
d’examen direct .et une culture. Seuls les prélèvements .ayant une culture. positive ont
été retenus.
Résultats :
- Les mycoses .superficielles .ont été diagnostiquées. chez 232 cas soit une prévalence
.de 68,44%. La moyenne d’âge était de 42 ans, le sexe ratio H/F était de 0,71.
- Sur l’ensemble des mycoses des mycoses superficielles, les onychomycoses
dominaient avec un taux de 75%, suivie des mycoses du cuir chevelu (12,5%), les
épidermomycoses (10,34%), les mycoses génitales (1,30%) et enfin les mycoses
orales (0,86%).
- Les dermatophytes étaient les plus isolés (86,28%), suivie des levures (13,27%), des
moisissures (0,45%).
- Pour les dermatophytoses, le Trichophyton rubrum était l’espèce la plus incriminée
(75,38%), suivi de Trichophyton mentagrophytes et Microsporum canis (9,23%
chacun). Les candidoses étaient dominées par Candida albicans (90%). Et les
moisissures par Aspergillus (100%).
Conclusion :
Les résultats de notre étude concordent majoritairement avec les données de la littérature
et soulignent la fréquence des onychomycoses et des teignes du cuir chevelu par rapport
aux autres localisations des mycoses superficielles.
Ces infections fongiques sont certes bénignes mais posent un problème de santé
publique par leur fréquence, l’observance thérapeutique, les récidives et par leur impact
sur la qualité de vie des patients d’où l’intérêt d’insister sur les mesures préventivesNuméro (Thèse ou Mémoire) : M3842023 Président : Badre Eddine LMIMOUNI Directeur : Hafida NAOUI Juge : Mourad BOUCHRIK Juge : Souad AZELMAT Juge : Maryem IKEN Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M3842023 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2023 Disponible