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DIABETE INSIPIDE CENTRAL D’ETIOLOGIES VARIEES : A PROPOS DE 6 CAS AVEC REVUE DE LA LITTERATURE. / ILYASS ANOUAR
Titre : DIABETE INSIPIDE CENTRAL D’ETIOLOGIES VARIEES : A PROPOS DE 6 CAS AVEC REVUE DE LA LITTERATURE. Type de document : thèse Auteurs : ILYASS ANOUAR, Auteur Année de publication : 2012 Langues : Français (fre) Mots-clés : DIABETE INSIPIDE RESTRICTION HYDRIQUE NEUROSARCOÏDOSE, HISTIOCYTOSE HYPOPHYSITE Résumé : Le diabète insipide central est une affection rare qui résulte le plus souvent d’une atteinte anatomique du système hypothalamo-post-hypophysaire.
A travers l’expérience du service d’endocrinologie de l’hôpital militaire d’instruction Mohammed V nous discutons les aspects cliniques, biologiques et radiologiques ainsi que les difficultés rencontrées lors de l’enquête étiologique de ces patients.
Nous rapportons :
- 2 cas de neurosarcoïdose, une patiente de 55 ans et un patient de 42 ans. Dans les deux cas, outre les manifestations systémiques de la maladie, nous avons retrouvé une atteinte antéhypophysaire avec un hypogonadisme chez la première patiente et un panhypopituitarisme chez le second.
- 1 cas d’histiocytose non langheransienne type Chester-Erdheim où le DIC était la seule manifestation révélatrice.
- 1 cas de neurohypophysite auto-immune chez une femme ayant présenté un DIC isolé dans les suites d’un accouchement.
- Et 2 cas ou l’on a retenu le diagnostic de DIC idiopathique après avoir exclu toutes les causes possibles.
La revue de la littérature nous a permis de retenir les éléments suivants :
- Le diagnostic étiologique des DIC, en dehors d’un contexte neurochirurgical ou post-traumatique évident, repose sur un examen clé : l’imagerie par résonance magnétique (IRM).
- Si l’IRM est normale, la réalisation d’un bilan hypophysaire permet de rechercher des arguments pour une étiologie centrale notamment des signes d’insuffisance anté-hypophysaire ou d’hyperprolactinémie.
- En cas de normalité de tous ces examens, un test de restriction hydrique devra être réalisé afin de différencier un diabète insipide d’une polydipsie primaire.
Le traitement est univoque et toujours efficace, basé sur l’administration, par voie endonasale, de l’hormone anti-diurétique, associé à un traitement étiologique.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1382012 Président : AL BOUZIDI.A Directeur : BELMJDOUB.G Juge : EL KHATTABI.A DIABETE INSIPIDE CENTRAL D’ETIOLOGIES VARIEES : A PROPOS DE 6 CAS AVEC REVUE DE LA LITTERATURE. [thèse] / ILYASS ANOUAR, Auteur . - 2012.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : DIABETE INSIPIDE RESTRICTION HYDRIQUE NEUROSARCOÏDOSE, HISTIOCYTOSE HYPOPHYSITE Résumé : Le diabète insipide central est une affection rare qui résulte le plus souvent d’une atteinte anatomique du système hypothalamo-post-hypophysaire.
A travers l’expérience du service d’endocrinologie de l’hôpital militaire d’instruction Mohammed V nous discutons les aspects cliniques, biologiques et radiologiques ainsi que les difficultés rencontrées lors de l’enquête étiologique de ces patients.
Nous rapportons :
- 2 cas de neurosarcoïdose, une patiente de 55 ans et un patient de 42 ans. Dans les deux cas, outre les manifestations systémiques de la maladie, nous avons retrouvé une atteinte antéhypophysaire avec un hypogonadisme chez la première patiente et un panhypopituitarisme chez le second.
- 1 cas d’histiocytose non langheransienne type Chester-Erdheim où le DIC était la seule manifestation révélatrice.
- 1 cas de neurohypophysite auto-immune chez une femme ayant présenté un DIC isolé dans les suites d’un accouchement.
- Et 2 cas ou l’on a retenu le diagnostic de DIC idiopathique après avoir exclu toutes les causes possibles.
La revue de la littérature nous a permis de retenir les éléments suivants :
- Le diagnostic étiologique des DIC, en dehors d’un contexte neurochirurgical ou post-traumatique évident, repose sur un examen clé : l’imagerie par résonance magnétique (IRM).
- Si l’IRM est normale, la réalisation d’un bilan hypophysaire permet de rechercher des arguments pour une étiologie centrale notamment des signes d’insuffisance anté-hypophysaire ou d’hyperprolactinémie.
- En cas de normalité de tous ces examens, un test de restriction hydrique devra être réalisé afin de différencier un diabète insipide d’une polydipsie primaire.
Le traitement est univoque et toujours efficace, basé sur l’administration, par voie endonasale, de l’hormone anti-diurétique, associé à un traitement étiologique.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1382012 Président : AL BOUZIDI.A Directeur : BELMJDOUB.G Juge : EL KHATTABI.A Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1382012 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2012 Disponible