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ASCITES CHYLEUSES ET PERITONITES’’ / : Imane ACHARKI
Titre : ASCITES CHYLEUSES ET PERITONITES’’ Type de document : thèse Auteurs : : Imane ACHARKI, Auteur Année de publication : 2010 Langues : Français (fre) Mots-clés : : ASCITE CHYLEUSE ABDOMEN AIGU PARACENTESE LYMPHOGRAPHIE RARE. Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Notre travail concerne une étude descriptive rétrospective d’un cas de péritonite aigue chyleuse traitée au service des urgences chirurgicales viscérales (U.C.V.) au CHU de Rabat en 2007. Nous rapportons l’observation d’un patient de 27 ans opéré en urgence dans un tableau d’abdomen chirurgical aigu.
L’ascite chyleuse est une affection rarement rencontrée parmi les syndromes douleureux abdominaux aigus. Une effusion soudaine de chyle dans la cavité péritonéale peut, dans de rares cas, produire une péritonite aigue chyleuse.
D’étiologies très diverses allant des pathologies inflammatoires jusqu’aux pathologies néoplasiques.
La distention abdominale est le signe le plus fréquent, associée à des douleurs abdominales, une dyspnée ou une altération de l’état général. La péritonite aigue chyleuse est la moins commune des descriptions ; c’est le cas de notre observation où l’ascite chyleuse s’est révélée par un tableau de péritonite appendiculaire.
Le diagnostic de l’ascite chyleuse repose essentiellement sur la paracentèse ; quant à l’imagerie telle la lymphographie, la lymphoscintigraphie et la tomodensitométrie, elle permet d’orienter le diagnostic étiologique. Cependant, dans notre contexte, le diagnostic est rarement suspecté avant l'intervention.
La prise en charge thérapeutique est basée sur le traitement étiologique en premier lieu ; ensuite, vient le traitement symptomatique à savoir le régime pauvre en graisse, la ponction évacuatrice, la NPT, les analogues de somatostatine voire le traitement chirurgical en cas de non réponse. Pour les formes aigues, l’exploration chirurgicale s’impose où la laparotomie permet de confirmer le diagnostic et de rechercher une éventuelle étiologie.
Le pronostic associé à une ascite chyleuse dépend surtout de son étiologie, avec un taux de mortalité allant de 43% chez l’adulte contre 24% chez l’enfant.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0792010 Président : MOHAMED RACHID CHAKOFF Directeur : RAJAE AFIFI Juge : MOHAMED LYACOUBI ASCITES CHYLEUSES ET PERITONITES’’ [thèse] / : Imane ACHARKI, Auteur . - 2010.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : : ASCITE CHYLEUSE ABDOMEN AIGU PARACENTESE LYMPHOGRAPHIE RARE. Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Notre travail concerne une étude descriptive rétrospective d’un cas de péritonite aigue chyleuse traitée au service des urgences chirurgicales viscérales (U.C.V.) au CHU de Rabat en 2007. Nous rapportons l’observation d’un patient de 27 ans opéré en urgence dans un tableau d’abdomen chirurgical aigu.
L’ascite chyleuse est une affection rarement rencontrée parmi les syndromes douleureux abdominaux aigus. Une effusion soudaine de chyle dans la cavité péritonéale peut, dans de rares cas, produire une péritonite aigue chyleuse.
D’étiologies très diverses allant des pathologies inflammatoires jusqu’aux pathologies néoplasiques.
La distention abdominale est le signe le plus fréquent, associée à des douleurs abdominales, une dyspnée ou une altération de l’état général. La péritonite aigue chyleuse est la moins commune des descriptions ; c’est le cas de notre observation où l’ascite chyleuse s’est révélée par un tableau de péritonite appendiculaire.
Le diagnostic de l’ascite chyleuse repose essentiellement sur la paracentèse ; quant à l’imagerie telle la lymphographie, la lymphoscintigraphie et la tomodensitométrie, elle permet d’orienter le diagnostic étiologique. Cependant, dans notre contexte, le diagnostic est rarement suspecté avant l'intervention.
La prise en charge thérapeutique est basée sur le traitement étiologique en premier lieu ; ensuite, vient le traitement symptomatique à savoir le régime pauvre en graisse, la ponction évacuatrice, la NPT, les analogues de somatostatine voire le traitement chirurgical en cas de non réponse. Pour les formes aigues, l’exploration chirurgicale s’impose où la laparotomie permet de confirmer le diagnostic et de rechercher une éventuelle étiologie.
Le pronostic associé à une ascite chyleuse dépend surtout de son étiologie, avec un taux de mortalité allant de 43% chez l’adulte contre 24% chez l’enfant.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0792010 Président : MOHAMED RACHID CHAKOFF Directeur : RAJAE AFIFI Juge : MOHAMED LYACOUBI Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0792010 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2010 Disponible Chylothorax : une complication rare de la chirurgie thoracique / Safa EL HAJ KACEM
Titre : Chylothorax : une complication rare de la chirurgie thoracique Type de document : thèse Auteurs : Safa EL HAJ KACEM, Auteur Année de publication : 2020 Langues : Français (fre) Mots-clés : Chylothorax Lymphographie Canal thoracique Chirurgie Résumé : Le chylothorax constitue une complication rare de la chirurgie thoracique qui se présente généralement sous la forme d’un liquide d’aspect lactescent dont l’existence en post-opératoire doit attirer l’attention du clinicien.
La mise en évidence de chylomicrons à l’électrophorèse des protéines permet le diagnostic positif du chylothorax. Si indisponible, la mesure des triglycérides dans le liquide de ponction pleurale peut poser le diagnostic.
Principalement de cause chirurgicale, le chylothorax peut aussi être d’origine médicale ou idiopathique. Vu le manque d'essais prospectifs et randomisés, il n’existe pas de consensus universel quant à son traitement. Les modalités thérapeutiques de cette pathologie sont chirurgicales, médicales ou radiologiques. Le traitement conservateur est basé sur le drainage pleural avec des mesures diététiques ainsi qu’un éventuel traitement par somatostatine. Si échec, et selon l’état du patient mais aussi la persistance du chylothorax et les complications qui en découlent, une approche plus invasive chirurgicale ou radiologique est considérée.
Les méthodes de radiologie interventionnelle sont encore limitées mais deviennent de plus en plus empruntées lorsque le plateau technique et l’expertise sont disponibles. On procède surtout par embolisation percutanée du canal thoracique après lymphangiographie.
On envisage un traitement chirurgical surtout après échec des méthodes précédentes. L’abord chirurgical peut se faire par thoracotomie ou par VATS, et l’on procède à une ligature du canal thoracique. Les autres techniques chirurgicales incluent la symphyse pleurale et le shunt pleuro-péritonéal.
Le chylothorax est une complication rare de la chirurgie thoracique, impliquant un certain nombre de difficultés cliniques et thérapeutiques vu l’absence de consensus universel à son propos. Cette pathologie n’est pas isolée et s’accompagne d’un nombre de complications pouvant faire toute sa gravité et augmenter sa morbi-mortalité
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0762020 Président : ALILOU.M Directeur : ACHIR.A Juge : BOUCHIKHI.M Juge : MOATASIM BILLAH.N Chylothorax : une complication rare de la chirurgie thoracique [thèse] / Safa EL HAJ KACEM, Auteur . - 2020.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Chylothorax Lymphographie Canal thoracique Chirurgie Résumé : Le chylothorax constitue une complication rare de la chirurgie thoracique qui se présente généralement sous la forme d’un liquide d’aspect lactescent dont l’existence en post-opératoire doit attirer l’attention du clinicien.
La mise en évidence de chylomicrons à l’électrophorèse des protéines permet le diagnostic positif du chylothorax. Si indisponible, la mesure des triglycérides dans le liquide de ponction pleurale peut poser le diagnostic.
Principalement de cause chirurgicale, le chylothorax peut aussi être d’origine médicale ou idiopathique. Vu le manque d'essais prospectifs et randomisés, il n’existe pas de consensus universel quant à son traitement. Les modalités thérapeutiques de cette pathologie sont chirurgicales, médicales ou radiologiques. Le traitement conservateur est basé sur le drainage pleural avec des mesures diététiques ainsi qu’un éventuel traitement par somatostatine. Si échec, et selon l’état du patient mais aussi la persistance du chylothorax et les complications qui en découlent, une approche plus invasive chirurgicale ou radiologique est considérée.
Les méthodes de radiologie interventionnelle sont encore limitées mais deviennent de plus en plus empruntées lorsque le plateau technique et l’expertise sont disponibles. On procède surtout par embolisation percutanée du canal thoracique après lymphangiographie.
On envisage un traitement chirurgical surtout après échec des méthodes précédentes. L’abord chirurgical peut se faire par thoracotomie ou par VATS, et l’on procède à une ligature du canal thoracique. Les autres techniques chirurgicales incluent la symphyse pleurale et le shunt pleuro-péritonéal.
Le chylothorax est une complication rare de la chirurgie thoracique, impliquant un certain nombre de difficultés cliniques et thérapeutiques vu l’absence de consensus universel à son propos. Cette pathologie n’est pas isolée et s’accompagne d’un nombre de complications pouvant faire toute sa gravité et augmenter sa morbi-mortalité
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0762020 Président : ALILOU.M Directeur : ACHIR.A Juge : BOUCHIKHI.M Juge : MOATASIM BILLAH.N Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0762020 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2020 Disponible M0762020-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2020 Disponible