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LES PNEUMOPATHIES NOSOCOMIALES A PSEUDOMONAS AERUGINOSAETUDE RETROSPECTIVE A L’HOPITAL MILITAIRE D’INSTRUCTION MOHAMMED V DE RABAT (2007-2008) / MAHTAR HASNAA
Titre : LES PNEUMOPATHIES NOSOCOMIALES A PSEUDOMONAS AERUGINOSAETUDE RETROSPECTIVE A L’HOPITAL MILITAIRE D’INSTRUCTION MOHAMMED V DE RABAT (2007-2008) Type de document : thèse Auteurs : MAHTAR HASNAA, Auteur Année de publication : 2011 Langues : Français (fre) Mots-clés : PNEUMOPATHIES NOSOCOMIALES ANTIBIORESISTANCE PSEUDOMONAS AERUGINOSA REANIMATION Résumé : Les pneumopathies nosocomiales représentent la principale cause d'infection nosocomiale sévère en réanimation. Malgré les progrès de l’antibiothérapie, des techniques de suppléance et la mise en œuvre de mesures préventives, les pneumopathies nosocomiales représentent encore l’une des principales causes de morbidité, de mortalité et du coût de soins important. Leur épidémiologie est variable selon le moment de survenue. Précoces, elles sont dues à des bactéries de type communautaires. Tardives, elles peuvent être secondaires à des bactéries résistantes. Au total Pseudomonas aeruginosa est responsable d’environ 20 % des bronchopneumopathies chez les patients ventilés (VAP) et de mortalité plus importante (60 à 70 %) que celle liée aux autres espèces bactériennes (20 à 50%). Cette bactérie opportuniste se distingue des autres espèces sévissant à l’hôpital par sa pathogénicité relativement important à l’égard des sujets immunodéprimés et sa résistance à de nombreux antibiotiques.
Le diagnostic de pneumopathie nosocomiale se basé sur un faisceau d’arguments cliniques, biologiques, radiologiques et bactériologiques.
Le traitement probabiliste doit être adapté à la sensibilité des microorganismes suspectés, une antibiothérapie inadaptée étant un facteur de surmortalité.
Cette étude rétrospective portait ainsi sur 578 Prélèvements Distaux Protégés (PDP) émanant des malades hospitalisés en réanimation chirurgicale et médicale durant la période 2007-2008. 480 PDP étaient positifs, soit une incidence de 83%. Les germes isolés étaient essentiellement des bacilles Gram négatives (71.18%), avec en tête Acinetobacter baumanii (32.35%) suivi par P aeruginosa (25%).
Nos résultats montrent que la fréquence de ces souches est augmenté de façon inquiétante et leur émergence représente un sérieux problème thérapeutique et épidémiologique, d’où la nécessité de la mise en placeNuméro (Thèse ou Mémoire) : P0412011 Président : MIMOUN ZOUHDI Directeur : YASSINE SEKHSOKH Juge : ABDELKADER BELMEKKI LES PNEUMOPATHIES NOSOCOMIALES A PSEUDOMONAS AERUGINOSAETUDE RETROSPECTIVE A L’HOPITAL MILITAIRE D’INSTRUCTION MOHAMMED V DE RABAT (2007-2008) [thèse] / MAHTAR HASNAA, Auteur . - 2011.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : PNEUMOPATHIES NOSOCOMIALES ANTIBIORESISTANCE PSEUDOMONAS AERUGINOSA REANIMATION Résumé : Les pneumopathies nosocomiales représentent la principale cause d'infection nosocomiale sévère en réanimation. Malgré les progrès de l’antibiothérapie, des techniques de suppléance et la mise en œuvre de mesures préventives, les pneumopathies nosocomiales représentent encore l’une des principales causes de morbidité, de mortalité et du coût de soins important. Leur épidémiologie est variable selon le moment de survenue. Précoces, elles sont dues à des bactéries de type communautaires. Tardives, elles peuvent être secondaires à des bactéries résistantes. Au total Pseudomonas aeruginosa est responsable d’environ 20 % des bronchopneumopathies chez les patients ventilés (VAP) et de mortalité plus importante (60 à 70 %) que celle liée aux autres espèces bactériennes (20 à 50%). Cette bactérie opportuniste se distingue des autres espèces sévissant à l’hôpital par sa pathogénicité relativement important à l’égard des sujets immunodéprimés et sa résistance à de nombreux antibiotiques.
Le diagnostic de pneumopathie nosocomiale se basé sur un faisceau d’arguments cliniques, biologiques, radiologiques et bactériologiques.
Le traitement probabiliste doit être adapté à la sensibilité des microorganismes suspectés, une antibiothérapie inadaptée étant un facteur de surmortalité.
Cette étude rétrospective portait ainsi sur 578 Prélèvements Distaux Protégés (PDP) émanant des malades hospitalisés en réanimation chirurgicale et médicale durant la période 2007-2008. 480 PDP étaient positifs, soit une incidence de 83%. Les germes isolés étaient essentiellement des bacilles Gram négatives (71.18%), avec en tête Acinetobacter baumanii (32.35%) suivi par P aeruginosa (25%).
Nos résultats montrent que la fréquence de ces souches est augmenté de façon inquiétante et leur émergence représente un sérieux problème thérapeutique et épidémiologique, d’où la nécessité de la mise en placeNuméro (Thèse ou Mémoire) : P0412011 Président : MIMOUN ZOUHDI Directeur : YASSINE SEKHSOKH Juge : ABDELKADER BELMEKKI Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0412011 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2011 Disponible