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4 rĂ©sultat(s) recherche sur le mot-clĂ© 'Pancréatite aigue grave'
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Délai de mortalité au cours des Pancréatites Aigues Graves «PAG» (A propos de 123 cas). / NOUNI Nourhene.
Titre : DĂ©lai de mortalitĂ© au cours des PancrĂ©atites Aigues Graves «PAG» (A propos de 123 cas). Type de document : thĂšse Auteurs : NOUNI Nourhene., Auteur AnnĂ©e de publication : 2017 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : PancrĂ©atite aigue grave MortalitĂ© prĂ©coce tardive. RĂ©sumĂ© : Objectifs : Le but de cette étude était d’étudier le délai de mortalité au cours des pancréatites aigues graves et comparer les caractéristiques cliniques de la mortalité précoce et tardive et analyser les facteurs pouvant influencer les délais de décès.
Patients et méthodes : Nous avons mené une étude rétrospective de Mars 2011 à Octobre 2015 portant sur 123 patients admis au Service de Réanimation Chirurgicale de l’Hôpital Militaire d’Instruction Mohammed V de Rabat pour PAG. La relation entre la mortalité précoce et tardive et les différents facteurs ayant influencé sur le délai de sa survenu ont été étudiés l’âge, le sexe, l’étiologie, le nombre de comorbidités, le score de Ranson, le score APACHE II, le score de Balthazar, la défaillance d’organe et l’infection de nécrose. Une analyse uni variée a été effectuée pour déterminer les facteurs influençant le délai de la mortalité au cours de la PAG.
Résultats : Le taux de mortalité de la PAG était élevé 34 % (42/123). Sur ces 42 morts, 25 (59,5 %) des décès ont eu lieu dans les 14 premiers jours après l’admission et 17 (40,5 %) après 14 jours. L’incidence de la mort précoce ne différait pas significativement de celle de la mort tardive. Les décès précoces découlent principalement de la défaillance multiple d’organes. Les décès tardifs étaient principalement causés par une complication secondaire de la nécrose infectée.
Conclusion : Conformément aux données récentes de la littérature, seules la défaillance d’organes et l’infection de nécrose pourraient influencer le délai de survenue de la mortalité au cours des PAG.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0612017 Président : BAITE.A Directeur : ABOUELALAA.K Juge : BOUNAIM.A Juge : OUDGHIRI.N Juge : ROUIBAA.F DĂ©lai de mortalitĂ© au cours des PancrĂ©atites Aigues Graves «PAG» (A propos de 123 cas). [thĂšse] / NOUNI Nourhene., Auteur . - 2017.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : PancrĂ©atite aigue grave MortalitĂ© prĂ©coce tardive. RĂ©sumĂ© : Objectifs : Le but de cette étude était d’étudier le délai de mortalité au cours des pancréatites aigues graves et comparer les caractéristiques cliniques de la mortalité précoce et tardive et analyser les facteurs pouvant influencer les délais de décès.
Patients et méthodes : Nous avons mené une étude rétrospective de Mars 2011 à Octobre 2015 portant sur 123 patients admis au Service de Réanimation Chirurgicale de l’Hôpital Militaire d’Instruction Mohammed V de Rabat pour PAG. La relation entre la mortalité précoce et tardive et les différents facteurs ayant influencé sur le délai de sa survenu ont été étudiés l’âge, le sexe, l’étiologie, le nombre de comorbidités, le score de Ranson, le score APACHE II, le score de Balthazar, la défaillance d’organe et l’infection de nécrose. Une analyse uni variée a été effectuée pour déterminer les facteurs influençant le délai de la mortalité au cours de la PAG.
Résultats : Le taux de mortalité de la PAG était élevé 34 % (42/123). Sur ces 42 morts, 25 (59,5 %) des décès ont eu lieu dans les 14 premiers jours après l’admission et 17 (40,5 %) après 14 jours. L’incidence de la mort précoce ne différait pas significativement de celle de la mort tardive. Les décès précoces découlent principalement de la défaillance multiple d’organes. Les décès tardifs étaient principalement causés par une complication secondaire de la nécrose infectée.
Conclusion : Conformément aux données récentes de la littérature, seules la défaillance d’organes et l’infection de nécrose pourraient influencer le délai de survenue de la mortalité au cours des PAG.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0612017 Président : BAITE.A Directeur : ABOUELALAA.K Juge : BOUNAIM.A Juge : OUDGHIRI.N Juge : ROUIBAA.F RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M0612017 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2017 Disponible M0612017-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2017 Disponible ENCĂPHALOPATHIE PANCRĂATIQUE, Ă PROPOS DE 02 CAS AVEC REVUE DE LA LITTĂRATURE. / AHMED BOUHAMIDI
Titre : ENCĂPHALOPATHIE PANCRĂATIQUE, Ă PROPOS DE 02 CAS AVEC REVUE DE LA LITTĂRATURE. Type de document : thĂšse Auteurs : AHMED BOUHAMIDI, Auteur AnnĂ©e de publication : 2011 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : PANCREATITE AIGUE GRAVE ENCĂPHALOPATHIE POST-PANCREATITE LESIONS AXONALES RĂ©sumĂ© : L’encéphalopathie pancréatique, est une complication rare de la pancréatite aiguë
Notre étude porte sur 02 cas d’encéphalopathie pancréatique, hospitalisés et traités au sein du service de Réanimation chirurgicale de l’Hôpital Militaire d’Instruction Mohamed V de Rabat.
L’âge des patients était compris entre 43 ans et 54 ans, avec un âge moyen de 48.5 ans, nos 02 cas sont repartis en une femme et un homme.
Le mécanisme physiopathologique de l’EP n’est pas encore bien élucidé, de nombreuses hypothèses ont été rapportées dans la littérature, certains auteurs suggèrent que la lipase et la PLA2 jouent un rôle dans le processus pathologique de l’EP. D’autres facteurs tels que les infections, les troubles hydroélectrolytiques, l’hypoxémie et la perturbation de la glycémie, peuvent être déclencheurs.
Le diagnostic de l’encéphalopathie pancréatique est facile à établir, la symptomatologie clinique se résume le plus souvent à une confusion, avec stupeur, et agitation psychomotrice, Il s’y ajoute parfois des atteintes neurologiques comme des convulsions, une céphalée, des hémiparésies passagères, une dysarthrie, enfin des difficultés d’expression verbale et une amnésie.
Les examens paracliniques, notamment L'IRM cérébrale et l’électroencéphalogramme, permettent de confirmer le diagnostic.
Le traitement est d’abord symptomatique, il a comme objectif de lutter contre les facteurs qui favorisent l’apparition des signes neurologiques par les mesures de réanimation que réclame la gravité de la situation.
L’évolution de l’EP est le plus souvent favorable, avec une disparition progressive des symptômes, cependant la persistance de quelques séquelles, est décrite dans la littérature.
Le pronostic est fonction de la gravité de la pancréatite aigue et des complications associées.
Dans notre étude les données sont globalement comparables à celles publiées actuellement par la majorité des auteurs.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1582011 Président : RACHID HSSAIDA Directeur : ABDELWAHAD BAITE Juge : AHMED BOUNAIM ENCĂPHALOPATHIE PANCRĂATIQUE, Ă PROPOS DE 02 CAS AVEC REVUE DE LA LITTĂRATURE. [thĂšse] / AHMED BOUHAMIDI, Auteur . - 2011.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : PANCREATITE AIGUE GRAVE ENCĂPHALOPATHIE POST-PANCREATITE LESIONS AXONALES RĂ©sumĂ© : L’encéphalopathie pancréatique, est une complication rare de la pancréatite aiguë
Notre étude porte sur 02 cas d’encéphalopathie pancréatique, hospitalisés et traités au sein du service de Réanimation chirurgicale de l’Hôpital Militaire d’Instruction Mohamed V de Rabat.
L’âge des patients était compris entre 43 ans et 54 ans, avec un âge moyen de 48.5 ans, nos 02 cas sont repartis en une femme et un homme.
Le mécanisme physiopathologique de l’EP n’est pas encore bien élucidé, de nombreuses hypothèses ont été rapportées dans la littérature, certains auteurs suggèrent que la lipase et la PLA2 jouent un rôle dans le processus pathologique de l’EP. D’autres facteurs tels que les infections, les troubles hydroélectrolytiques, l’hypoxémie et la perturbation de la glycémie, peuvent être déclencheurs.
Le diagnostic de l’encéphalopathie pancréatique est facile à établir, la symptomatologie clinique se résume le plus souvent à une confusion, avec stupeur, et agitation psychomotrice, Il s’y ajoute parfois des atteintes neurologiques comme des convulsions, une céphalée, des hémiparésies passagères, une dysarthrie, enfin des difficultés d’expression verbale et une amnésie.
Les examens paracliniques, notamment L'IRM cérébrale et l’électroencéphalogramme, permettent de confirmer le diagnostic.
Le traitement est d’abord symptomatique, il a comme objectif de lutter contre les facteurs qui favorisent l’apparition des signes neurologiques par les mesures de réanimation que réclame la gravité de la situation.
L’évolution de l’EP est le plus souvent favorable, avec une disparition progressive des symptômes, cependant la persistance de quelques séquelles, est décrite dans la littérature.
Le pronostic est fonction de la gravité de la pancréatite aigue et des complications associées.
Dans notre étude les données sont globalement comparables à celles publiées actuellement par la majorité des auteurs.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1582011 Président : RACHID HSSAIDA Directeur : ABDELWAHAD BAITE Juge : AHMED BOUNAIM RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M1582011 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2011 Disponible LA PANCREATITE AIGĂE GRAVE : PRISE EN CHARGE EN MILIEU DE REANIMATION A PROPOS DE 40 CAS. / EL AMARTI LAMIAE
Titre : LA PANCREATITE AIGĂE GRAVE : PRISE EN CHARGE EN MILIEU DE REANIMATION A PROPOS DE 40 CAS. Type de document : thĂšse Auteurs : EL AMARTI LAMIAE, Auteur AnnĂ©e de publication : 2011 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : PANCREATITE AIGĂE GRAVE TRAITEMENT MEDICAL TRAITEMENT CHIRURGICO-ENDOSCOPIQUE. Index. dĂ©cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE RĂ©sumĂ© : La pancréatite aigüe est une affection potentiellement grave, dont l’évolution est difficile à prévoir. Elle nécessite une prise en charge multidisciplinaire.
Le but de notre travail est d’analyser les différents aspects thérapeutiques de la pancréatite aigüe grave en milieu de réanimation à travers une étude rétrospective de 40 cas de pancréatite aigüe grave colligés dans le service de réanimation chirurgicale (Pr L. Safi) de l’hôpital d’instruction militaire Mohamed V de Rabat durant une période de 5ans )de 2006 à 2010(.
Notre étude porte sur 33 patients ayant un score de Ranson inférieur 3 et 7 patients dont ce score est supérieur à 3.
L’origine biliaire est prédominante dans 60% des cas, l’origine alcoolique est de 7%, l’origine hypertriglycéridique est de 7%, l’origine médicamenteuse est de 5%, l’origine post CPRE est de 3%, alors que dans 18% aucune étiologie n’est retrouvée.
31 malades, soit 77,5%, ont reçu un traitement médical seul, et 22,5% sont traités par un traitement chirurgico-endoscopique.
Dans 75% des cas l’évolution est favorable, et défavorable dans 15% des cas avec survenue de complications.
La mortalité globale est de 12,5%.
Les recommandations actuelles de la prise en charge de la pancréatite aigues graves sont:
1. Ne dosez plus l’amylase. Mais doser la lipasémie.
2. Ne pas faire un scanner à chaque poussée de pancréatite en absence de signes de gravité.
3. La sonde gastrique à mettre en place seulement en cas de vomissements abondants.
4. Les anti-sécrétoires gastriques acides sont à proscrire chez les malades sans antécédents ulcéreux sans défaillance viscérale.
5. L’évaluation de la gravité repose sur la collection d’informations simples cliniques, biologiques et radiologiques.
6. L’antibiothérapie à visée prophylactique n’est pas justifiée.
7. En cas d’infection prouvée, un drainage est nécessaire aussi bien que possible avec une antibiothérapie adaptée.
8. N’envisager une nutrition artificielle qu’en cas de pancréatite aigüe sévère.
9. La seule indication clairement validée de la sphinctérotomie endoscopique en urgence est l’angiocholite.
10. Chercher et rechercher les causes les plus fréquentes : une lithiase biliaire et un alcoolisme chronique.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0042011 Président : LAHSSAN SAFI Directeur : LHSSAN SAFI Juge : AIT ALI ABDELMOUMEN Juge : ABDELWAHAD BAITE Juge : BENKIRANE AHMED LA PANCREATITE AIGĂE GRAVE : PRISE EN CHARGE EN MILIEU DE REANIMATION A PROPOS DE 40 CAS. [thĂšse] / EL AMARTI LAMIAE, Auteur . - 2011.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : PANCREATITE AIGĂE GRAVE TRAITEMENT MEDICAL TRAITEMENT CHIRURGICO-ENDOSCOPIQUE. Index. dĂ©cimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE RĂ©sumĂ© : La pancréatite aigüe est une affection potentiellement grave, dont l’évolution est difficile à prévoir. Elle nécessite une prise en charge multidisciplinaire.
Le but de notre travail est d’analyser les différents aspects thérapeutiques de la pancréatite aigüe grave en milieu de réanimation à travers une étude rétrospective de 40 cas de pancréatite aigüe grave colligés dans le service de réanimation chirurgicale (Pr L. Safi) de l’hôpital d’instruction militaire Mohamed V de Rabat durant une période de 5ans )de 2006 à 2010(.
Notre étude porte sur 33 patients ayant un score de Ranson inférieur 3 et 7 patients dont ce score est supérieur à 3.
L’origine biliaire est prédominante dans 60% des cas, l’origine alcoolique est de 7%, l’origine hypertriglycéridique est de 7%, l’origine médicamenteuse est de 5%, l’origine post CPRE est de 3%, alors que dans 18% aucune étiologie n’est retrouvée.
31 malades, soit 77,5%, ont reçu un traitement médical seul, et 22,5% sont traités par un traitement chirurgico-endoscopique.
Dans 75% des cas l’évolution est favorable, et défavorable dans 15% des cas avec survenue de complications.
La mortalité globale est de 12,5%.
Les recommandations actuelles de la prise en charge de la pancréatite aigues graves sont:
1. Ne dosez plus l’amylase. Mais doser la lipasémie.
2. Ne pas faire un scanner à chaque poussée de pancréatite en absence de signes de gravité.
3. La sonde gastrique à mettre en place seulement en cas de vomissements abondants.
4. Les anti-sécrétoires gastriques acides sont à proscrire chez les malades sans antécédents ulcéreux sans défaillance viscérale.
5. L’évaluation de la gravité repose sur la collection d’informations simples cliniques, biologiques et radiologiques.
6. L’antibiothérapie à visée prophylactique n’est pas justifiée.
7. En cas d’infection prouvée, un drainage est nécessaire aussi bien que possible avec une antibiothérapie adaptée.
8. N’envisager une nutrition artificielle qu’en cas de pancréatite aigüe sévère.
9. La seule indication clairement validée de la sphinctérotomie endoscopique en urgence est l’angiocholite.
10. Chercher et rechercher les causes les plus fréquentes : une lithiase biliaire et un alcoolisme chronique.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0042011 Président : LAHSSAN SAFI Directeur : LHSSAN SAFI Juge : AIT ALI ABDELMOUMEN Juge : ABDELWAHAD BAITE Juge : BENKIRANE AHMED RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M0042011 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2011 Disponible PrĂ©valence de la dĂ©faillance dâorgane au cours des pancrĂ©atites aiguĂ«s graves et les facteurs de risque de sa survenue (A propos de 112 cas) / Salma KHLIL
Titre : PrĂ©valence de la dĂ©faillance dâorgane au cours des pancrĂ©atites aiguĂ«s graves et les facteurs de risque de sa survenue (A propos de 112 cas) Type de document : thĂšse Auteurs : Salma KHLIL, Auteur AnnĂ©e de publication : 2014 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : prĂ©valence dĂ©faillance dâorgane pancrĂ©atite aiguĂ« grave RĂ©sumĂ© : Objectifs : Cette étude a été réalisée pour déterminer la prévalence de la défaillance d’organe et ses facteurs de risques dans la PAG.
Patients et méthodes : Les données de 112 cas de PAG de mars 2009 à octobre 2013 ont été rétrospectivement étudiées. Les patients répondaient aux critères de PAG définies par la conférence d’Atlanta de 2012. La relation entre la défaillance d’organe et l’âge, le sexe, l’étiologie, le nombre de comorbidités, le score APACHE II, le score de Balthazar, l’infection de nécrose et la mortalité a été analysée. La prévalence et la mortalité relatives à la défaillance d’organe ont été calculées. La régression logistique a été effectuée pour déterminer les facteurs de risque indépendants de défaillance d’organe dans la PAG.
Résultats : Parmi les 112 patients, 64 ont présenté une défaillance d’organe dont 27 sont décédés. La prévalence de défaillance d’organe était significativement associée à l’âge, au nombre de comorbidités, au score APACHE II et à l’infection de nécrose. En revanche, il n’a pas été noté de corrélation entre défaillance d’organe et sexe, étiologie ou score de Balthazar.
Conclusion : La défaillance d’organe est une complication fréquente de la PAG (57,1%) et est associée à une mortalité augmentée (42,1%). L’âge avancé, les comorbidités, le score APACHE II élevé et l’infection de nécrose ont été retenus comme marqueurs prédictifs de survenue de défaillance d’organe chez les patients atteints de PAG. La prévention et la prise en charge des défaillances d’organes peuvent améliorer le pronostic des PAG.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2372014 Président : BAITE.A Directeur : ABOU ELALAA.K Juge : BENSGUIR.M Juge : AIT ALI.A Juge : AWAB.E PrĂ©valence de la dĂ©faillance dâorgane au cours des pancrĂ©atites aiguĂ«s graves et les facteurs de risque de sa survenue (A propos de 112 cas) [thĂšse] / Salma KHLIL, Auteur . - 2014.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : prĂ©valence dĂ©faillance dâorgane pancrĂ©atite aiguĂ« grave RĂ©sumĂ© : Objectifs : Cette étude a été réalisée pour déterminer la prévalence de la défaillance d’organe et ses facteurs de risques dans la PAG.
Patients et méthodes : Les données de 112 cas de PAG de mars 2009 à octobre 2013 ont été rétrospectivement étudiées. Les patients répondaient aux critères de PAG définies par la conférence d’Atlanta de 2012. La relation entre la défaillance d’organe et l’âge, le sexe, l’étiologie, le nombre de comorbidités, le score APACHE II, le score de Balthazar, l’infection de nécrose et la mortalité a été analysée. La prévalence et la mortalité relatives à la défaillance d’organe ont été calculées. La régression logistique a été effectuée pour déterminer les facteurs de risque indépendants de défaillance d’organe dans la PAG.
Résultats : Parmi les 112 patients, 64 ont présenté une défaillance d’organe dont 27 sont décédés. La prévalence de défaillance d’organe était significativement associée à l’âge, au nombre de comorbidités, au score APACHE II et à l’infection de nécrose. En revanche, il n’a pas été noté de corrélation entre défaillance d’organe et sexe, étiologie ou score de Balthazar.
Conclusion : La défaillance d’organe est une complication fréquente de la PAG (57,1%) et est associée à une mortalité augmentée (42,1%). L’âge avancé, les comorbidités, le score APACHE II élevé et l’infection de nécrose ont été retenus comme marqueurs prédictifs de survenue de défaillance d’organe chez les patients atteints de PAG. La prévention et la prise en charge des défaillances d’organes peuvent améliorer le pronostic des PAG.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2372014 Président : BAITE.A Directeur : ABOU ELALAA.K Juge : BENSGUIR.M Juge : AIT ALI.A Juge : AWAB.E RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M2372014 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2014 Disponible M2372014-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2014 Disponible