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Approche clinique et psychopathologique de l’homicide chez un psychotique. / AYOUCHE Othman.
Titre : Approche clinique et psychopathologique de l’homicide chez un psychotique. Type de document : thèse Auteurs : AYOUCHE Othman., Auteur Année de publication : 2016 Langues : Français (fre) Mots-clés : Homicide psychose psychopathologie schizophrénie paranoia. Résumé : L’homicide commis par une personne atteinte de psychose est un événement rare. Cette thèse porte sur les caractéristiques de ces auteurs d’homicide à travers une approche clinique et psychopathologique. Nous avons envisagé en premierde traiter d’une revue de littérature sur le concept de psychose et sa place dans les classifications actuelles, l’homicide et ses classifications, ses modèles théoriques : biologique, psychologique et sociologique, ainsi que la typologie et l’approche psychodynamique de l’homicide chez le psychotique.
Notre étude consiste en une étude descriptive réalisée au service de psychiatrie de l’Hôpital Militaire d’instruction Mohamed V de Rabat, comparant les caractéristiques cliniques et criminologiques d’un patient schizophrène auteur d’homicide à la littérature actuelle sur l’homicide.
Nous avons conclu qu’en comparaison avec les patients ayant commis un homicide dans la littérature, ce patient présente comme particularités l’absence de contact avec les services judiciaires et psychiatriqueset l’absence d’antécédents de violenceou de tentatives de suicide. Sur le plan clinique, le patient avait présenté un syndrome délirant avec syndromes d’influence et dissociatif. Il rejoint les critères de l’homicide psychotique délirant selon la classification de Benezech.
Nous avons entamé ensuite une comparaison avec le tueur paranoïaque.Nous avons conclus que les deux types de tueurs partagent certains points communs : sur le plan criminologique : la relation à la victime (entourage), le mobile (délire) et la scène (agression brutale et brève, au domicile de la victime) ; sur le plan clinique (absence d’antécédents délictuels, délire, angoisse).
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2182016 Président : BICHRA.M.Z Directeur : MEHSSANI.J Juge : ELOUANNAS.A Juge : BOUREZZA.A Juge : EL KADIRI.M Approche clinique et psychopathologique de l’homicide chez un psychotique. [thèse] / AYOUCHE Othman., Auteur . - 2016.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Homicide psychose psychopathologie schizophrénie paranoia. Résumé : L’homicide commis par une personne atteinte de psychose est un événement rare. Cette thèse porte sur les caractéristiques de ces auteurs d’homicide à travers une approche clinique et psychopathologique. Nous avons envisagé en premierde traiter d’une revue de littérature sur le concept de psychose et sa place dans les classifications actuelles, l’homicide et ses classifications, ses modèles théoriques : biologique, psychologique et sociologique, ainsi que la typologie et l’approche psychodynamique de l’homicide chez le psychotique.
Notre étude consiste en une étude descriptive réalisée au service de psychiatrie de l’Hôpital Militaire d’instruction Mohamed V de Rabat, comparant les caractéristiques cliniques et criminologiques d’un patient schizophrène auteur d’homicide à la littérature actuelle sur l’homicide.
Nous avons conclu qu’en comparaison avec les patients ayant commis un homicide dans la littérature, ce patient présente comme particularités l’absence de contact avec les services judiciaires et psychiatriqueset l’absence d’antécédents de violenceou de tentatives de suicide. Sur le plan clinique, le patient avait présenté un syndrome délirant avec syndromes d’influence et dissociatif. Il rejoint les critères de l’homicide psychotique délirant selon la classification de Benezech.
Nous avons entamé ensuite une comparaison avec le tueur paranoïaque.Nous avons conclus que les deux types de tueurs partagent certains points communs : sur le plan criminologique : la relation à la victime (entourage), le mobile (délire) et la scène (agression brutale et brève, au domicile de la victime) ; sur le plan clinique (absence d’antécédents délictuels, délire, angoisse).
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2182016 Président : BICHRA.M.Z Directeur : MEHSSANI.J Juge : ELOUANNAS.A Juge : BOUREZZA.A Juge : EL KADIRI.M Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2182016 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible M2182016-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2016 Disponible les psychoses épileptiques : Etude d’une observation et revue de la littérature / Kerrouch Hasna
Titre : les psychoses épileptiques : Etude d’une observation et revue de la littérature Type de document : thèse Auteurs : Kerrouch Hasna, Auteur Année de publication : 2015 Langues : Français (fre) Mots-clés : Psychose épilepsie interictale Résumé : L’histoire des psychoses épileptiques remonte au milieu du XIXe siècle avec les travaux des aliénistes français et se poursuit encore aujourd’hui.
Objectif : Mettre en relief cette entité méconnue par les praticiens en discutant une observation clinique et en procédant à une revue large de la littérature.
Patient de 42ans, suivi depuis 20 ans, pour une épilepsie partielle cryptogénique faite de crises temporales avec des éléments neurovégétatifs, et des crises frontales versiveshypermotrices nocturnes suivies d’une généralisation secondaire, mis depuis sous Carbamazépine, et qui a été admis aux urgences pour un tableau d’agitation psychomotrice aigue, associé à un trouble de comportement.
L’évaluation clinique objectiva un patient agité, agressif, présentant un délire mystico-religieux. L’examen somatique, notamment, neurologique fut normal. L’anamnèse n’a pas révélé de crise convulsive. Les explorations paracliniques furent normales. Le patient fut mis sous antipsychotiques et antiépileptiques.
Son état psychotique a été stabilisé au bout de 2 semaines ; toutefois ; il refit deux nouvelles crises épileptiques morphiques avec à l’EEG des anomalies épileptiques bitemporales prédominant à gauche avec une diffusion frontale. La diminution des doses des neuroleptiques et la ré-ascension des antiépileptiques ont entrainé une stabilisation clinique.
Les éléments cliniques et les résultats paracliniques, nous ont permis de classer notre patient dans la catégorie des psychoses interictales épisodiques, qui se caractérisent par une durée inférieure à un mois, et sont dites alternantes car le malade peut alterner des périodes de crises épileptiques sans trouble de comportement et d’autres avec trouble de comportement sans crise épileptique. L’évolution est favorable sous traitement.
La reconnaissance des psychoses épileptiques est d’une importance capitale, d’autant que leur traitement apparait relativement aisé par rapport à celui d’autres troubles psychotiques.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2962015 Président : BICHRA.M.Z Directeur : BOURAZZA.A Juge : AIT BENHADDOU.E Juge : BELAIDI.H Juge : KADIRI.M les psychoses épileptiques : Etude d’une observation et revue de la littérature [thèse] / Kerrouch Hasna, Auteur . - 2015.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Psychose épilepsie interictale Résumé : L’histoire des psychoses épileptiques remonte au milieu du XIXe siècle avec les travaux des aliénistes français et se poursuit encore aujourd’hui.
Objectif : Mettre en relief cette entité méconnue par les praticiens en discutant une observation clinique et en procédant à une revue large de la littérature.
Patient de 42ans, suivi depuis 20 ans, pour une épilepsie partielle cryptogénique faite de crises temporales avec des éléments neurovégétatifs, et des crises frontales versiveshypermotrices nocturnes suivies d’une généralisation secondaire, mis depuis sous Carbamazépine, et qui a été admis aux urgences pour un tableau d’agitation psychomotrice aigue, associé à un trouble de comportement.
L’évaluation clinique objectiva un patient agité, agressif, présentant un délire mystico-religieux. L’examen somatique, notamment, neurologique fut normal. L’anamnèse n’a pas révélé de crise convulsive. Les explorations paracliniques furent normales. Le patient fut mis sous antipsychotiques et antiépileptiques.
Son état psychotique a été stabilisé au bout de 2 semaines ; toutefois ; il refit deux nouvelles crises épileptiques morphiques avec à l’EEG des anomalies épileptiques bitemporales prédominant à gauche avec une diffusion frontale. La diminution des doses des neuroleptiques et la ré-ascension des antiépileptiques ont entrainé une stabilisation clinique.
Les éléments cliniques et les résultats paracliniques, nous ont permis de classer notre patient dans la catégorie des psychoses interictales épisodiques, qui se caractérisent par une durée inférieure à un mois, et sont dites alternantes car le malade peut alterner des périodes de crises épileptiques sans trouble de comportement et d’autres avec trouble de comportement sans crise épileptique. L’évolution est favorable sous traitement.
La reconnaissance des psychoses épileptiques est d’une importance capitale, d’autant que leur traitement apparait relativement aisé par rapport à celui d’autres troubles psychotiques.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2962015 Président : BICHRA.M.Z Directeur : BOURAZZA.A Juge : AIT BENHADDOU.E Juge : BELAIDI.H Juge : KADIRI.M Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2962015 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible M2962015-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2015 Disponible
Titre : SCHIZOPHRENIE ET CANNABIS : QUEL LIEN? Type de document : thèse Auteurs : HAZZAF AWATIF, Auteur Année de publication : 2022 Langues : Français (fre) Mots-clés : Schizophrénie Cannabis Psychose Clozapine Schizophrenia Cannabis Psychosis Clozapine انفصام الشخصية القنب الهندي؛ الذهان كلوزابين Résumé : Notre travail est une étude transversale descriptive et analytique réalisée dans le but de décrire les liens existant entre la consommation du cannabis et la survenue de la schizophrénie d’une part et l’évolution de la schizophrénie d’une autre.
L’échantillon de l’étude comportait 101 patients atteints de schizophrénie hospitalisés au sein de l’hôpital psychiatrique Ar-Razi de salé.
La collecte des données est faite grâce à un hétéro questionnaire comprenant quatre paragraphes : Les données sociodémographiques, Les antécédents, La consommation du cannabis et l’évolution de la schizophrénie.
La moyenne d’âge dans notre échantillon était 33,6 ± 10,3 ans, 70% étaient du sexe masculin. 66% des patients sont consommateurs du cannabis dont 77% ont commencé la consommation avant le début de la schizophrénie. 64% des patients consommateurs du cannabis ont commencé la consommation à un âge inférieur à 18 ans.
Selon notre étude, le tabac, l’alcool et le sexe masculin motiveraient la consommation du cannabis chez le patient atteint de schizophrénie alors que Le mariage protège jusqu’à 88% contre elle.
Une durée d’hospitalisation supérieure à 3 mois et l’utilisation de la Clozapine protègent contre la mauvaise observance thérapeutique et protègent donc contre le développement de résistance vu que la bonne observance et un facteur protecteur contre le développement de la résistance thérapeutique.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2252022 Président : Abderrazzak OUANASS Directeur : Abderrazzak OUANASS Juge : Siham BELBACHIR Juge : Fouad LABOUDI Juge : Maria SABIR ; Mohamed KADIRI SCHIZOPHRENIE ET CANNABIS : QUEL LIEN? [thèse] / HAZZAF AWATIF, Auteur . - 2022.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Schizophrénie Cannabis Psychose Clozapine Schizophrenia Cannabis Psychosis Clozapine انفصام الشخصية القنب الهندي؛ الذهان كلوزابين Résumé : Notre travail est une étude transversale descriptive et analytique réalisée dans le but de décrire les liens existant entre la consommation du cannabis et la survenue de la schizophrénie d’une part et l’évolution de la schizophrénie d’une autre.
L’échantillon de l’étude comportait 101 patients atteints de schizophrénie hospitalisés au sein de l’hôpital psychiatrique Ar-Razi de salé.
La collecte des données est faite grâce à un hétéro questionnaire comprenant quatre paragraphes : Les données sociodémographiques, Les antécédents, La consommation du cannabis et l’évolution de la schizophrénie.
La moyenne d’âge dans notre échantillon était 33,6 ± 10,3 ans, 70% étaient du sexe masculin. 66% des patients sont consommateurs du cannabis dont 77% ont commencé la consommation avant le début de la schizophrénie. 64% des patients consommateurs du cannabis ont commencé la consommation à un âge inférieur à 18 ans.
Selon notre étude, le tabac, l’alcool et le sexe masculin motiveraient la consommation du cannabis chez le patient atteint de schizophrénie alors que Le mariage protège jusqu’à 88% contre elle.
Une durée d’hospitalisation supérieure à 3 mois et l’utilisation de la Clozapine protègent contre la mauvaise observance thérapeutique et protègent donc contre le développement de résistance vu que la bonne observance et un facteur protecteur contre le développement de la résistance thérapeutique.Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2252022 Président : Abderrazzak OUANASS Directeur : Abderrazzak OUANASS Juge : Siham BELBACHIR Juge : Fouad LABOUDI Juge : Maria SABIR ; Mohamed KADIRI Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2252022 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMed2022 Disponible Documents numériques
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