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Implication des papillomavirus humains dans les cancers des voies aérodigestives supérieures / BENNIS Insaf
Titre : Implication des papillomavirus humains dans les cancers des voies aérodigestives supérieures Type de document : thèse Auteurs : BENNIS Insaf, Auteur Année de publication : 2014 Langues : Français (fre) Mots-clés : papillomavirus humains cancers oropharynx vaccination Résumé : En dehors de la sphère génitale, les papillomavirus humains (HPV) sont responsables d’infections des voies aéro-digestives supérieures (VADS). En marge des manifestations bénignes (papillomes, verrues et condylomes), les HPV sont également impliqués dans 25 % des cancers de l’oropharynx toutes localisations confondues et dans au moins 50 % des cancers de l’amygdale. HPV16 est le génotype responsable dans près de 90 % des cas. La détection de l'HPV repose essentiellement sur les techniques de biologie moléculaire. Cependant, il n'existe toujours pas de consensus sur les essais qui sont nécessaires pour identifier de manière fiable les tumeurs liées aux HPV à haut risque. L’incidence des cancers des VADS HPV positifs a augmenté dans les pays occidentaux alors que celle des cancers HPV négatifs reste stable ou diminue. Les cancers de l’oropharynx HPV positifs surviennent préférentiellement chez des patients plus jeunes généralement non alcoolo-tabagique, et sont associés à des facteurs de risque d’infection sexuellement transmissible, notamment les rapports sexuels oro-génitaux. Ils répondent mieux à la radio- et chimiothérapie et sont de meilleur pronostic que les cancers HPV négatifs. Ils présentent des profils moléculaires et génétiques distincts de ceux des tumeurs HPV négatives reflétant les conséquences de l’expression des oncoprotéines virales E6 et E7. Connaître le statut HPV des tumeurs deviendra nécessaire pour optimiser les choix thérapeutiques, et est d’ores et déjà indispensable dans les essais thérapeutiques. Le débat de la vaccination des garçons, déjà pratiquée dans certains pays, est relancé mais les vaccins devront faire la preuve de leur efficacité pour prévenir les infections orales et à terme induire une diminution de l’incidence des cancers oropharyngés. Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1642014 Président : ZOUHDI.M Directeur : EL HAMZAOUI.S Juge : MRANI.S-BENBOUZID.M.A Juge : SEKSOKH.Y Juge : ELLAL.S-LAATIRIS.A Implication des papillomavirus humains dans les cancers des voies aérodigestives supérieures [thèse] / BENNIS Insaf, Auteur . - 2014.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : papillomavirus humains cancers oropharynx vaccination Résumé : En dehors de la sphère génitale, les papillomavirus humains (HPV) sont responsables d’infections des voies aéro-digestives supérieures (VADS). En marge des manifestations bénignes (papillomes, verrues et condylomes), les HPV sont également impliqués dans 25 % des cancers de l’oropharynx toutes localisations confondues et dans au moins 50 % des cancers de l’amygdale. HPV16 est le génotype responsable dans près de 90 % des cas. La détection de l'HPV repose essentiellement sur les techniques de biologie moléculaire. Cependant, il n'existe toujours pas de consensus sur les essais qui sont nécessaires pour identifier de manière fiable les tumeurs liées aux HPV à haut risque. L’incidence des cancers des VADS HPV positifs a augmenté dans les pays occidentaux alors que celle des cancers HPV négatifs reste stable ou diminue. Les cancers de l’oropharynx HPV positifs surviennent préférentiellement chez des patients plus jeunes généralement non alcoolo-tabagique, et sont associés à des facteurs de risque d’infection sexuellement transmissible, notamment les rapports sexuels oro-génitaux. Ils répondent mieux à la radio- et chimiothérapie et sont de meilleur pronostic que les cancers HPV négatifs. Ils présentent des profils moléculaires et génétiques distincts de ceux des tumeurs HPV négatives reflétant les conséquences de l’expression des oncoprotéines virales E6 et E7. Connaître le statut HPV des tumeurs deviendra nécessaire pour optimiser les choix thérapeutiques, et est d’ores et déjà indispensable dans les essais thérapeutiques. Le débat de la vaccination des garçons, déjà pratiquée dans certains pays, est relancé mais les vaccins devront faire la preuve de leur efficacité pour prévenir les infections orales et à terme induire une diminution de l’incidence des cancers oropharyngés. Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1642014 Président : ZOUHDI.M Directeur : EL HAMZAOUI.S Juge : MRANI.S-BENBOUZID.M.A Juge : SEKSOKH.Y Juge : ELLAL.S-LAATIRIS.A Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1642014 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2014 Disponible M1642014-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2014 Disponible Documents numériques
M1642014URL INFECTION A PAPILLOMAVIRUS HUMAIN ET VACCIN PREVENTIF CONTRE LE CANCER DU COL DE L’UTERUS / NAJAT HANDOR
Titre : INFECTION A PAPILLOMAVIRUS HUMAIN ET VACCIN PREVENTIF CONTRE LE CANCER DU COL DE L’UTERUS Type de document : thèse Auteurs : NAJAT HANDOR, Auteur Année de publication : 2009 Langues : Français (fre) Mots-clés : PAPILLOMAVIRUS HUMAINS PROTEINES ONCOGENES CANCER DU COL DE L’UTERUS VACCIN PREVENTIF Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Le Papillomavirus humain est un virus à ADN appartenant à la famille des Papillomaviridae. Il existe plus de 100 génotypes aujourd’hui identifiés.
L’infection à HPV est la plus courante des infections sexuellement transmissibles. Depuis les années 1980, un lien est établi entre le cancer du col et le Papillomavirus humain. Ces dernières années l’étude du génome de ces virus a permis de mettre en évidence l’existence de gènes oncogènes. Certains de ces virus à haut risque sont plus susceptibles de provoquer l’apparition d’un cancer cervical et/ou de cancers anogénitaux tandis que d’autres à bas risque ne sont responsables que de lésions bénignes. Les principaux Papillomavirus responsables de près de 80% des cancers sont les types 16, 18, 31 et 45 dont 50% sont essentiellement dus au HPV 16. Parmi ces HPV, les plus fréquemment rencontrés sont les HPV 16 et 18.
C’est pourquoi les laboratoires travaillant sur le vaccin HPV se sont particulièrement intéressés à ces deux types. Les chercheurs ont découverts que la protéine majeure de la capside du virion, la protéine L1, possède la capacité de s’autoassembler en une pseudoparticule, virus like particles VLP, qui possède la même structure que le virion initial. De nombreuses expériences ont permis de mettre en évidence que ces pseudoparticules sont capable d’induire la synthèse de titres élevés d’anticorps spécifiques de type. Les laboratoires GlaxoSmithKline et Sanofi Pasteur MSD ont développés respectivement un vaccin bivalent VLP L1 (16 et 18) Cervarix® et un vaccin quadrivalent VLP L1 (6, 11, 16 et 18) Gardasil®.
Ces deux vaccins sont disponibles actuellement. Il reste cependant encore à déterminer les recommandations concernant l’utilisation du vaccin HPV ainsi que l’évaluation de l’algorithme du dépistage du cancer du col de l’utérus.
Human Papillomavirus is a small Papillomaviridae virus. To date there are more than 100 genotypes identified.
HPV infection is a common sexually transmitted infections. Since the 1980s, it has been know that there is a strong link between human Papillomavirus infection and cervical cancer. During the last years, the existence of carcinogenic genes among HPV has been shown. Some of these viruses, referred to as « high risk » ones, are morelikely to cause cervical cancer and / or anogenital cancers, while others, so-called « low risk » ones, only cause benign lesions. The main Humans Papillomavirus responsible for nearly 80% of cervical cancer, are HPV type 16, 18, 31 and 45. Among the main high risk HPVs, the most common type are HPV type 16 and 18.
This is why the laboratories working on the HPV vaccine are particularly interested in these two types. Researchers have discovered that the major protein of the virion capsid, the protein L1, are able to self assemble as a virus like particle VLP, which has the same structure as the virus. Numerous experiments has show that these pseudoparticules are able to induce the production of high titres of antibodies specific type. Laboratories GlaxoSmithKline and Sanofi Pasteur MSD, produce respectively a bivalent vaccine L1 VLP (16 and 18) Cervarix® and a quadrivalent vaccin VLPL1(6,n11,n16nandn18)nGardasil®.
They will be both available for prescription in few months. Recommendations for HPV vaccine use and algorithm for cervix cancer sceening are need.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0262009 Président : YAHYA CHERRAH Directeur : MYRIEM SEFFAR Juge : AHMED SAID ALAOUI Juge : BADREDDINE LMIMOUNI INFECTION A PAPILLOMAVIRUS HUMAIN ET VACCIN PREVENTIF CONTRE LE CANCER DU COL DE L’UTERUS [thèse] / NAJAT HANDOR, Auteur . - 2009.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : PAPILLOMAVIRUS HUMAINS PROTEINES ONCOGENES CANCER DU COL DE L’UTERUS VACCIN PREVENTIF Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Le Papillomavirus humain est un virus à ADN appartenant à la famille des Papillomaviridae. Il existe plus de 100 génotypes aujourd’hui identifiés.
L’infection à HPV est la plus courante des infections sexuellement transmissibles. Depuis les années 1980, un lien est établi entre le cancer du col et le Papillomavirus humain. Ces dernières années l’étude du génome de ces virus a permis de mettre en évidence l’existence de gènes oncogènes. Certains de ces virus à haut risque sont plus susceptibles de provoquer l’apparition d’un cancer cervical et/ou de cancers anogénitaux tandis que d’autres à bas risque ne sont responsables que de lésions bénignes. Les principaux Papillomavirus responsables de près de 80% des cancers sont les types 16, 18, 31 et 45 dont 50% sont essentiellement dus au HPV 16. Parmi ces HPV, les plus fréquemment rencontrés sont les HPV 16 et 18.
C’est pourquoi les laboratoires travaillant sur le vaccin HPV se sont particulièrement intéressés à ces deux types. Les chercheurs ont découverts que la protéine majeure de la capside du virion, la protéine L1, possède la capacité de s’autoassembler en une pseudoparticule, virus like particles VLP, qui possède la même structure que le virion initial. De nombreuses expériences ont permis de mettre en évidence que ces pseudoparticules sont capable d’induire la synthèse de titres élevés d’anticorps spécifiques de type. Les laboratoires GlaxoSmithKline et Sanofi Pasteur MSD ont développés respectivement un vaccin bivalent VLP L1 (16 et 18) Cervarix® et un vaccin quadrivalent VLP L1 (6, 11, 16 et 18) Gardasil®.
Ces deux vaccins sont disponibles actuellement. Il reste cependant encore à déterminer les recommandations concernant l’utilisation du vaccin HPV ainsi que l’évaluation de l’algorithme du dépistage du cancer du col de l’utérus.
Human Papillomavirus is a small Papillomaviridae virus. To date there are more than 100 genotypes identified.
HPV infection is a common sexually transmitted infections. Since the 1980s, it has been know that there is a strong link between human Papillomavirus infection and cervical cancer. During the last years, the existence of carcinogenic genes among HPV has been shown. Some of these viruses, referred to as « high risk » ones, are morelikely to cause cervical cancer and / or anogenital cancers, while others, so-called « low risk » ones, only cause benign lesions. The main Humans Papillomavirus responsible for nearly 80% of cervical cancer, are HPV type 16, 18, 31 and 45. Among the main high risk HPVs, the most common type are HPV type 16 and 18.
This is why the laboratories working on the HPV vaccine are particularly interested in these two types. Researchers have discovered that the major protein of the virion capsid, the protein L1, are able to self assemble as a virus like particle VLP, which has the same structure as the virus. Numerous experiments has show that these pseudoparticules are able to induce the production of high titres of antibodies specific type. Laboratories GlaxoSmithKline and Sanofi Pasteur MSD, produce respectively a bivalent vaccine L1 VLP (16 and 18) Cervarix® and a quadrivalent vaccin VLPL1(6,n11,n16nandn18)nGardasil®.
They will be both available for prescription in few months. Recommendations for HPV vaccine use and algorithm for cervix cancer sceening are need.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0262009 Président : YAHYA CHERRAH Directeur : MYRIEM SEFFAR Juge : AHMED SAID ALAOUI Juge : BADREDDINE LMIMOUNI Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0262009 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2009 Disponible