Titre : | EXANTHEMES FEBRILES CHEZ L’ENFANT | Type de document : | thèse | Auteurs : | MAJIDI HIND, Auteur | AnnĂ©e de publication : | 2012 | Langues : | Français (fre) | Mots-clĂ©s : | ENFANT EXANTHEMES ETIOPATHOGENIE FORMES CLINIQUES PARACLINIQUE DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL TRAITEMENT. | RĂ©sumĂ© : | Les exanthèmes fébriles de l’enfant représente un motif fréquent de consultation en pédiatrie.
L’étiopathogénie est très variable, il s’agit le plus souvent de cause infectieuse(virale, bactérienne),avec des tableaux cliniques parfois très stéréotypés orientant vers un cadre étiologique précis notamment :la scarlatine, la varicelle, la rubéole, La rougeole, le mégalérythème épidémique,la roséole, la mononucléose infectieuse et l’herpès. Cependant, la sémiologie de l’exanthème lui-même (rubéoliforme, scarlatiniforme, morbilliforme, roséoliforme) n’est pas parfois spécifique et n’oriente pas vers une cause univoque notamment : maladies de systèmes, syndrome de Gianotti- Crosti, exanthème latérothoracique et maladie mains -pieds- bouche.
Ce n’est que lorsque l’exanthème s’accompagne d’une altération de l’état général que l’enfant doit être hospitalisé pour ne pas passer à côté d’une urgence éventuellement : le purpura fulminans, la maladie de Kawasaki, l’épidermolyse staphylococcique aiguë, le syndrome de Lyell, le syndrome de Stevens- Johnson et l’érythème polymorphe.
les Examens complémentaires sont inutiles sauf en cas de complications ou d’urgence ou si l'enfant est immunodéprimé. La biologie est indispensable pour le diagnostic, dont les examens de référence sont la sérologie sanguine ainsi que la PCR qui présente une grande valeur prédictive positive mais qui est peu pratiquée en routine, le recours à l’imagerie est exceptionnel .
L’évolution est souvent favorable, mais peut parfois mettre le pronostic vital et fonctionnel en jeu d’où la nécessité de la précocité de prise en charge.
le traitement est presque toujours symptomatique, L'hospitalisation est nécessaire uniquement si l'exanthème s'associe à un ensemble d'autres manifestations viscérales aggravant l'état général de l'enfant.
les perspectives thérapeutiques repose sur la vaccination avec la mise en route de programmes bien établie par les organisations sanitaires en fonction des caractéristiques épidémiologique de chaque maladie, ainsi que de promouvoir Le domaine de la recherche en matière de découverte de nouveaux vaccins.
La prophylaxie secondaire garde sa place afin d’éviter d’éventuelles vagues épidémiques.
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M0682012 | Président : | ABDELALI BENTAHILA | Directeur : | FATIMA JABOUIRIK | Juge : | BOUCHRA CHKIRATE |
EXANTHEMES FEBRILES CHEZ L’ENFANT [thèse] / MAJIDI HIND, Auteur . - 2012. Langues : Français ( fre) Mots-clĂ©s : | ENFANT EXANTHEMES ETIOPATHOGENIE FORMES CLINIQUES PARACLINIQUE DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL TRAITEMENT. | RĂ©sumĂ© : | Les exanthèmes fébriles de l’enfant représente un motif fréquent de consultation en pédiatrie.
L’étiopathogénie est très variable, il s’agit le plus souvent de cause infectieuse(virale, bactérienne),avec des tableaux cliniques parfois très stéréotypés orientant vers un cadre étiologique précis notamment :la scarlatine, la varicelle, la rubéole, La rougeole, le mégalérythème épidémique,la roséole, la mononucléose infectieuse et l’herpès. Cependant, la sémiologie de l’exanthème lui-même (rubéoliforme, scarlatiniforme, morbilliforme, roséoliforme) n’est pas parfois spécifique et n’oriente pas vers une cause univoque notamment : maladies de systèmes, syndrome de Gianotti- Crosti, exanthème latérothoracique et maladie mains -pieds- bouche.
Ce n’est que lorsque l’exanthème s’accompagne d’une altération de l’état général que l’enfant doit être hospitalisé pour ne pas passer à côté d’une urgence éventuellement : le purpura fulminans, la maladie de Kawasaki, l’épidermolyse staphylococcique aiguë, le syndrome de Lyell, le syndrome de Stevens- Johnson et l’érythème polymorphe.
les Examens complémentaires sont inutiles sauf en cas de complications ou d’urgence ou si l'enfant est immunodéprimé. La biologie est indispensable pour le diagnostic, dont les examens de référence sont la sérologie sanguine ainsi que la PCR qui présente une grande valeur prédictive positive mais qui est peu pratiquée en routine, le recours à l’imagerie est exceptionnel .
L’évolution est souvent favorable, mais peut parfois mettre le pronostic vital et fonctionnel en jeu d’où la nécessité de la précocité de prise en charge.
le traitement est presque toujours symptomatique, L'hospitalisation est nécessaire uniquement si l'exanthème s'associe à un ensemble d'autres manifestations viscérales aggravant l'état général de l'enfant.
les perspectives thérapeutiques repose sur la vaccination avec la mise en route de programmes bien établie par les organisations sanitaires en fonction des caractéristiques épidémiologique de chaque maladie, ainsi que de promouvoir Le domaine de la recherche en matière de découverte de nouveaux vaccins.
La prophylaxie secondaire garde sa place afin d’éviter d’éventuelles vagues épidémiques.
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M0682012 | Président : | ABDELALI BENTAHILA | Directeur : | FATIMA JABOUIRIK | Juge : | BOUCHRA CHKIRATE |
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