Titre : | Facteurs prédictifs de la difficulté de la rachianesthésie. | Type de document : | thèse | Auteurs : | Jamali Mounir, Auteur | Année de publication : | 2014 | Langues : | Français (fre) | Mots-clés : | rachianesthésie difficulté facteurs prédictifs incidents | Résumé : | Introduction: La rachianesthésie est couramment utilisée au bloc opératoire. Sa difficulté expose à des incidents et des complications gravissimes. Ces dernières peuvent être évitables.
Objectif: Rechercher les facteurs prédictifs de la difficulté de la rachianesthésie en chirurgie urologique programmée.
Matériel et Méthode: Etude prospective réalisée au bloc opératoire de l’hôpital militaire d’instruction Med V Rabat. Durant une période de 6 mois, tous les patients classés ASA I et II prévus pour des interventions programmées pour une chirurgie urologique sous rachianesthésie avec une injection unique étaient inclus. Les patients présentant une contre-indication à la rachianesthésie étaient exclus. Pour chaque patient, on a relevé les paramètres suivants: l'âge, les antécédents, la classe ASA, le poids, la taille, l'index de masse corporel, l'examen clinique du rachis, les anomalies radiologiques du rachis, l'anatomie des apophyses épineuses, l'expérience de l'anesthésiste, l'abord et la taille de l'aiguille utilisée. La difficulté de la rachianesthésie était évaluée par deux critères: Le nombre de tentatives et le nombre des espaces requis pour la ponction.
Résultats: 492 rachianesthésies ont été recensées. Le taux d'échec était de 3,6%. Un seul espace était ponctionné chez 57 % des patients, deux espaces étaient ponctionnés chez 29 % et une ponction de trois espaces était nécessaire chez 9 % des patients et plus de trois espaces chez 5% des patients. Les facteurs prédictifs de difficulté de la rachianesthésie étaient une classe 3 et 4 des épineuses, une classe 2 et 3 des atteintes radiologiques, une expérience de l'anesthésiste < 6 mois et un abord médian.
Conclusion: Ces derniers étaient des facteurs indépendants de difficulté de la rachianesthésie. Leur présence incite l'équipe d'anesthésie à l'optimisation de la technique.
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M2342014 | Président : | BAITE.A | Directeur : | BENSGIR.M | Juge : | DRISSI.M | Juge : | BELKHADIR.Z | Juge : | ABOUELALAA.K |
Facteurs prédictifs de la difficulté de la rachianesthésie. [thèse] / Jamali Mounir, Auteur . - 2014. Langues : Français ( fre) Mots-clés : | rachianesthésie difficulté facteurs prédictifs incidents | Résumé : | Introduction: La rachianesthésie est couramment utilisée au bloc opératoire. Sa difficulté expose à des incidents et des complications gravissimes. Ces dernières peuvent être évitables.
Objectif: Rechercher les facteurs prédictifs de la difficulté de la rachianesthésie en chirurgie urologique programmée.
Matériel et Méthode: Etude prospective réalisée au bloc opératoire de l’hôpital militaire d’instruction Med V Rabat. Durant une période de 6 mois, tous les patients classés ASA I et II prévus pour des interventions programmées pour une chirurgie urologique sous rachianesthésie avec une injection unique étaient inclus. Les patients présentant une contre-indication à la rachianesthésie étaient exclus. Pour chaque patient, on a relevé les paramètres suivants: l'âge, les antécédents, la classe ASA, le poids, la taille, l'index de masse corporel, l'examen clinique du rachis, les anomalies radiologiques du rachis, l'anatomie des apophyses épineuses, l'expérience de l'anesthésiste, l'abord et la taille de l'aiguille utilisée. La difficulté de la rachianesthésie était évaluée par deux critères: Le nombre de tentatives et le nombre des espaces requis pour la ponction.
Résultats: 492 rachianesthésies ont été recensées. Le taux d'échec était de 3,6%. Un seul espace était ponctionné chez 57 % des patients, deux espaces étaient ponctionnés chez 29 % et une ponction de trois espaces était nécessaire chez 9 % des patients et plus de trois espaces chez 5% des patients. Les facteurs prédictifs de difficulté de la rachianesthésie étaient une classe 3 et 4 des épineuses, une classe 2 et 3 des atteintes radiologiques, une expérience de l'anesthésiste < 6 mois et un abord médian.
Conclusion: Ces derniers étaient des facteurs indépendants de difficulté de la rachianesthésie. Leur présence incite l'équipe d'anesthésie à l'optimisation de la technique.
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M2342014 | Président : | BAITE.A | Directeur : | BENSGIR.M | Juge : | DRISSI.M | Juge : | BELKHADIR.Z | Juge : | ABOUELALAA.K |
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