Titre : | Puberté précoce étiologies et traitement (à propos de 96cas) | Type de document : | thèse | Auteurs : | yousra EL KHAYAT, Auteur | Année de publication : | 2017 | Langues : | Français (fre) | Mots-clés : | Puberté précoce Puberté dissociée Puberté précoce centrale Puberté précoce périphérique Analogues de la GnRH | Résumé : | Introduction : La puberté précoce est définie par le développement des caractères sexuels avant l’âge de 8ans chez la fille et de 10ans chez le garçon
Objectifs : Déduire les critères diagnostiques permettant de différencier entre les différentes formes de la puberté précoce. Décrire les aspects cliniques et paracliniques de chaque entité et de proposer le traitement le plus adéquats
Matériels et méthodes: il s’agit d’une étude rétrospective, menée au service de P2 à l’hôpital d’enfants rabat (1999 à 2016) à propos de 96 cas (88filles et 8garçons)
Résultats: 62,5% (60filles) avaient une puberté précoce dissociée parmi eux :80% de prématurité thélarche, 18,33% de prématurité pubarche et 1 cas l’adrénarche. 20,83% avaient une puberté précoce périphérique(PPP) (26filles, 6garçons) dont 39% avait un bloc enzymatique en 21 et 11 hydroxylase ,22% un corticosurrénalome, 11% une tumeur ovarienne ,11% un kyste ovariens et 11% un syndrome de McCune Albright .16,67 % avaient une puberté précoce centrale(PPC) (14filles, 2garçons): dont 63% idiopathique,25% d’hamartome et un cas d’hydrocéphalie et d’adénome hypophysaire.
Discussion : la puberté précoce est un processus multifactoriel dont le diagnostic repose, d’abord sur la clinique mais aussi sur la réalisation de l’âge osseux, l’échographie pelvienne et l’IRM cérébrale, par ailleurs le test à la GnRH constitue la pierre angulaire pour mettre en évidence une activation prématurée de l’axe Hypothalamo-hypophysaire.
Le traitement par les analogues de la GnRH constitue le traitement de choix pour la PPC, le traitement étiologique a été la règle chez les patients ayant une PPP.
Conclusion : il reste encore des progrès à réaliser pour une meilleure prise en charge et de ces malades
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M0762017 | Président : | BENTAHILA.A | Directeur : | GAOUZI.A | Juge : | BENOUACHANE.T | Juge : | JABOUIRIK.F | Juge : | THIMOU IZGUA.A |
Puberté précoce étiologies et traitement (à propos de 96cas) [thèse] / yousra EL KHAYAT, Auteur . - 2017. Langues : Français ( fre) Mots-clés : | Puberté précoce Puberté dissociée Puberté précoce centrale Puberté précoce périphérique Analogues de la GnRH | Résumé : | Introduction : La puberté précoce est définie par le développement des caractères sexuels avant l’âge de 8ans chez la fille et de 10ans chez le garçon
Objectifs : Déduire les critères diagnostiques permettant de différencier entre les différentes formes de la puberté précoce. Décrire les aspects cliniques et paracliniques de chaque entité et de proposer le traitement le plus adéquats
Matériels et méthodes: il s’agit d’une étude rétrospective, menée au service de P2 à l’hôpital d’enfants rabat (1999 à 2016) à propos de 96 cas (88filles et 8garçons)
Résultats: 62,5% (60filles) avaient une puberté précoce dissociée parmi eux :80% de prématurité thélarche, 18,33% de prématurité pubarche et 1 cas l’adrénarche. 20,83% avaient une puberté précoce périphérique(PPP) (26filles, 6garçons) dont 39% avait un bloc enzymatique en 21 et 11 hydroxylase ,22% un corticosurrénalome, 11% une tumeur ovarienne ,11% un kyste ovariens et 11% un syndrome de McCune Albright .16,67 % avaient une puberté précoce centrale(PPC) (14filles, 2garçons): dont 63% idiopathique,25% d’hamartome et un cas d’hydrocéphalie et d’adénome hypophysaire.
Discussion : la puberté précoce est un processus multifactoriel dont le diagnostic repose, d’abord sur la clinique mais aussi sur la réalisation de l’âge osseux, l’échographie pelvienne et l’IRM cérébrale, par ailleurs le test à la GnRH constitue la pierre angulaire pour mettre en évidence une activation prématurée de l’axe Hypothalamo-hypophysaire.
Le traitement par les analogues de la GnRH constitue le traitement de choix pour la PPC, le traitement étiologique a été la règle chez les patients ayant une PPP.
Conclusion : il reste encore des progrès à réaliser pour une meilleure prise en charge et de ces malades
| Numéro (Thèse ou Mémoire) : | M0762017 | Président : | BENTAHILA.A | Directeur : | GAOUZI.A | Juge : | BENOUACHANE.T | Juge : | JABOUIRIK.F | Juge : | THIMOU IZGUA.A |
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