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Auteur Nada JAOUAD
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Titre : CARACTERISTIQUES DE LA POLYARTHRITE RHUMATOIDE DIFFICILE A TRAITER : ETUDE DE VRAIE VIE Type de document : thèse Auteurs : Nada JAOUAD, Auteur AnnĂ©e de publication : 2023 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : Bouchra AMINE RĂ©sumĂ© : Introduction : Malgré les avancées thérapeutiques et la stratégie "traiter pour atteindre
l'objectif", 5 à 20% des patients PR ne parviennent pas à atteindre leurs objectifs. Notre objectif
était d'identifier les caractéristiques et les facteurs de risque associés à la PRD2T dans notre
contexte.
Matériels et méthodes : Il s’agit d’une étude de vraie vie incluant les patients atteints de PR,
selon les critères de classification ACR/EULAR 2010. Les données socio-démographiques,
cliniques, paracliniques et les comorbidités ont été recueillies, ainsi que les traitements utilisés.
Les patients ont été classés en deux groupes, PRD2T et groupe témoin. Une comparaison entre
les deux groupes a été réalisée. Un modèle de régression logistique a été appliqué pour identifier
les facteurs de risque associés à la PRD2T.
Résultats : Nous avons inclus 25 PRD2T et 62 PR non D2T. Les patients PRD2T étaient plus
âgés et avaient une durée de maladie plus élevée. La séropositivité au facteur rhumatoïde était
plus importante dans ce groupe (p=0,04). Ces derniers présentaient une maladie plus active
(p=0,001) et un retentissement fonctionnel plus important (p<0,001). Parmi les manifestations
extra-articulaires, la maladie pulmonaire interstitielle était plus fréquente chez les patients PR
D2T (p=0,018). Les bDMARDs étaient plus fréquemment prescrits dans le groupe PRD2T et
la dose de glucocorticoïde était plus élevée dans ce groupe (p=0,041). Après analyse
multivariée, l’activité et la durée de la maladie, ainsi que l’atteinte pulmonaire, étaient des
facteurs associés à la PRD2T.
Conclusion : Environ un tiers de nos patients PR pourraient être considérés comme présentant
une PRD2T. Nous avons observé une association entre une durée de maladie prolongée, une
activité élevée et une positivité au FR avec la PRD2T. L'atteinte pulmonaire liée à la PR était
plus fréquente dans ce groupe et pouvait contribuer à une réponse thérapeutique insuffisante.Numéro (Thèse ou Mémoire) : MS1712023 Directeur : Bouchra AMINE CARACTERISTIQUES DE LA POLYARTHRITE RHUMATOIDE DIFFICILE A TRAITER : ETUDE DE VRAIE VIE [thèse] / Nada JAOUAD, Auteur . - 2023.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : Bouchra AMINE RĂ©sumĂ© : Introduction : Malgré les avancées thérapeutiques et la stratégie "traiter pour atteindre
l'objectif", 5 à 20% des patients PR ne parviennent pas à atteindre leurs objectifs. Notre objectif
était d'identifier les caractéristiques et les facteurs de risque associés à la PRD2T dans notre
contexte.
Matériels et méthodes : Il s’agit d’une étude de vraie vie incluant les patients atteints de PR,
selon les critères de classification ACR/EULAR 2010. Les données socio-démographiques,
cliniques, paracliniques et les comorbidités ont été recueillies, ainsi que les traitements utilisés.
Les patients ont été classés en deux groupes, PRD2T et groupe témoin. Une comparaison entre
les deux groupes a été réalisée. Un modèle de régression logistique a été appliqué pour identifier
les facteurs de risque associés à la PRD2T.
Résultats : Nous avons inclus 25 PRD2T et 62 PR non D2T. Les patients PRD2T étaient plus
âgés et avaient une durée de maladie plus élevée. La séropositivité au facteur rhumatoïde était
plus importante dans ce groupe (p=0,04). Ces derniers présentaient une maladie plus active
(p=0,001) et un retentissement fonctionnel plus important (p<0,001). Parmi les manifestations
extra-articulaires, la maladie pulmonaire interstitielle était plus fréquente chez les patients PR
D2T (p=0,018). Les bDMARDs étaient plus fréquemment prescrits dans le groupe PRD2T et
la dose de glucocorticoïde était plus élevée dans ce groupe (p=0,041). Après analyse
multivariée, l’activité et la durée de la maladie, ainsi que l’atteinte pulmonaire, étaient des
facteurs associés à la PRD2T.
Conclusion : Environ un tiers de nos patients PR pourraient être considérés comme présentant
une PRD2T. Nous avons observé une association entre une durée de maladie prolongée, une
activité élevée et une positivité au FR avec la PRD2T. L'atteinte pulmonaire liée à la PR était
plus fréquente dans ce groupe et pouvait contribuer à une réponse thérapeutique insuffisante.Numéro (Thèse ou Mémoire) : MS1712023 Directeur : Bouchra AMINE RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© MS1712023 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires Mémoires de Spécialités Disponible Infection sur prothèse après cure chirurgicale de la hernie inguinale Ă propos de 33 cas / Nada JAOUAD
Titre : Infection sur prothèse après cure chirurgicale de la hernie inguinale Ă propos de 33 cas Type de document : thèse Auteurs : Nada JAOUAD, Auteur AnnĂ©e de publication : 2018 Langues : Français (fre) Mots-clĂ©s : infection prothèse hernie inguinale RĂ©sumĂ© : Introduction : L’infection de prothèse représente la complication majeure redoutée lors de l’utilisation du matériel prothétique.
Matériel et méthode : Notre travail porte sur l’étude rétrospective d’une série de 33 malades, traités dans le service de chirurgie viscérale I à l’Hôpital Militaire d’Instruction Mohammed V de Rabat, pour infection de prothèse après cure de hernie inguinale durant une période de 12 ans allant de janvier 2006 à décembre 2017.
Résultat : Nous avons traité 33 cas d’infection de prothèse dont 27 malades du service (80%) soit un taux d’incidence de 0.61 % et 6 malades référés (20%) à partir d’une autre formation.
Plus de 50% des infections étaient précoces <1 mois, 33% sont apparues entre 1 mois et 1 an et 15l% étaient tardives >1 an. Le mode de révélation clinique était dominé par des signes inflammatoires et un écoulement purulent.
L’ablation de plaque a été réalisée chez 23 malades (70%) : de première intention chez 4 malades et après échec du traitement conservateur chez 19 malades. Chez 10 malades la plaque est laissée en place (30%) : réussite du traitement conservateur chez 9, le dixième malgré la persistance d’une fistule chronique car opéré à 4 reprises. L’évolution a été marquée par la survenue de 3 récidives entre 5 et 8 mois avec remise de plaque ; pour le reste il n’y a pas eu de récidive avec un recul 3 mois et 10 ans.
Conclusion : La décision lourde de conséquences d’ablation de l’ensemble de la prothèse infectée (recommandation classique) ne doit être prise que lorsqu’il n’y a plus d’espoir de guérison de la suppuration par des moyens conservateurs.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1742018 Président : AMRAOUI.M Directeur : AIT ALI.A Juge : BOUNAIM.A Juge : ZENTAR.A Juge : MDAGHRI .J Infection sur prothèse après cure chirurgicale de la hernie inguinale Ă propos de 33 cas [thèse] / Nada JAOUAD, Auteur . - 2018.
Langues : Français (fre)
Mots-clĂ©s : infection prothèse hernie inguinale RĂ©sumĂ© : Introduction : L’infection de prothèse représente la complication majeure redoutée lors de l’utilisation du matériel prothétique.
Matériel et méthode : Notre travail porte sur l’étude rétrospective d’une série de 33 malades, traités dans le service de chirurgie viscérale I à l’Hôpital Militaire d’Instruction Mohammed V de Rabat, pour infection de prothèse après cure de hernie inguinale durant une période de 12 ans allant de janvier 2006 à décembre 2017.
Résultat : Nous avons traité 33 cas d’infection de prothèse dont 27 malades du service (80%) soit un taux d’incidence de 0.61 % et 6 malades référés (20%) à partir d’une autre formation.
Plus de 50% des infections étaient précoces <1 mois, 33% sont apparues entre 1 mois et 1 an et 15l% étaient tardives >1 an. Le mode de révélation clinique était dominé par des signes inflammatoires et un écoulement purulent.
L’ablation de plaque a été réalisée chez 23 malades (70%) : de première intention chez 4 malades et après échec du traitement conservateur chez 19 malades. Chez 10 malades la plaque est laissée en place (30%) : réussite du traitement conservateur chez 9, le dixième malgré la persistance d’une fistule chronique car opéré à 4 reprises. L’évolution a été marquée par la survenue de 3 récidives entre 5 et 8 mois avec remise de plaque ; pour le reste il n’y a pas eu de récidive avec un recul 3 mois et 10 ans.
Conclusion : La décision lourde de conséquences d’ablation de l’ensemble de la prothèse infectée (recommandation classique) ne doit être prise que lorsqu’il n’y a plus d’espoir de guérison de la suppuration par des moyens conservateurs.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1742018 Président : AMRAOUI.M Directeur : AIT ALI.A Juge : BOUNAIM.A Juge : ZENTAR.A Juge : MDAGHRI .J RĂ©servation
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Code barre Cote Support Localisation Section DisponibilitĂ© M1742018 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2018 Disponible M1742018-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2018 Disponible Documents numĂ©riques
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