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PLACE DES ANTALGIQUES NON MORPHINIQUES / ZINEB MAANA
Titre : PLACE DES ANTALGIQUES NON MORPHINIQUES Type de document : thèse Auteurs : ZINEB MAANA, Auteur Année de publication : 2010 Langues : Français (fre) Mots-clés : ANTALGIQUES NON MORPHINIQUES DOULEUR CANCER Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : La douleur liée à un cancer peut révéler la maladie, apparaître au cours de l’évolution comme signe d’une récidive locale ou d’une métastase, survenir pendant ou après une procédure diagnostique ou thérapeutique. Près de 80 % des patients cancéreux en évolution présentent des douleurs intenses, en majorité liées directement au cancer avec, le plus souvent, plusieurs localisations douloureuses [69]. Un traitement antalgique bien conduit permet le maintien d’une vie relationnelle de qualité, tant à la période terminale de la maladie que lors des traitements à visée curative. La survenue d’une douleur chez un patient atteint d’un cancer doit entraîner une réponse rapide. Cette réponse débute par une démarche d’évaluation en utilisant différents outils et des procédures bien établis [70]. La douleur en cancérologie est le plus souvent chronique et instable. Elle peut se présenter sous de multiples formes : douleur par excès de nociception, neuropathique, ou mixte le plus souvent. La connaissance du mécanisme physiopathologique de la douleur est un élément fondamental de la stratégie antalgique. La stratégie antalgique doit aussi prendre en compte l’instabilité des douleurs et notamment la présence d’accès douloureux paroxystiques.
Les dernières recommandations de l’Organisation mondiale de la santé, permettent de soulager la majorité des patients adultes atteints de douleurs par excès de nociception. Néanmoins, elles n’abordent pas l’efficacité analgésique des antalgiques non morphiniques.
La conférence de consensus de 1998 sur la prise en charge de la douleur postopératoire chez l’adulte et l’enfant recommandait les analgésiques non morphiniques (ANM) pour les patients bénéficiant d’une chirurgie de surface peu douloureuse, ou lorsqu’une autre technique analgésique ne peut être réalisée [69]. Leur intérêt lors d’une association aux morphiniques avait été abordé sans que l’on puisse aboutir à des recommandations.
Dans ce travail, nous avons cherché à évaluer l’efficacité analgésique des ANM associés à la morphine à travers des recommandations formalisées d’experts, une réactualisation de la conférence de consensus de 1998. Ce travail avait également pour objet l’analyse des bénéfices et des risques de l’utilisation des ANM associés aux morphiniques à partir de plusieurs situations : l’association d’un ou des ANM à la morphine, opioïde de référence ; la deuxième lors d’une association ANM et antalgique de palier II (tramadol, codéine, dextropropoxyphène).
Cette étude permet d’affirmer l’efficacité analgésique des ANM associés aux morphiniques qui peut être ainsi appréciée selon qu’ils permettent de renforcer l’analgésie et/ou de diminuer les besoins analgésiques et leurs effets secondaires
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2482010 Président : ABDELKARIM MAHMOUDI Directeur : ABDELILLAH TARIB Juge : ABDELKARIM CHOHO Juge : ABDELHAMID MESSARY PLACE DES ANTALGIQUES NON MORPHINIQUES [thèse] / ZINEB MAANA, Auteur . - 2010.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : ANTALGIQUES NON MORPHINIQUES DOULEUR CANCER Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : La douleur liée à un cancer peut révéler la maladie, apparaître au cours de l’évolution comme signe d’une récidive locale ou d’une métastase, survenir pendant ou après une procédure diagnostique ou thérapeutique. Près de 80 % des patients cancéreux en évolution présentent des douleurs intenses, en majorité liées directement au cancer avec, le plus souvent, plusieurs localisations douloureuses [69]. Un traitement antalgique bien conduit permet le maintien d’une vie relationnelle de qualité, tant à la période terminale de la maladie que lors des traitements à visée curative. La survenue d’une douleur chez un patient atteint d’un cancer doit entraîner une réponse rapide. Cette réponse débute par une démarche d’évaluation en utilisant différents outils et des procédures bien établis [70]. La douleur en cancérologie est le plus souvent chronique et instable. Elle peut se présenter sous de multiples formes : douleur par excès de nociception, neuropathique, ou mixte le plus souvent. La connaissance du mécanisme physiopathologique de la douleur est un élément fondamental de la stratégie antalgique. La stratégie antalgique doit aussi prendre en compte l’instabilité des douleurs et notamment la présence d’accès douloureux paroxystiques.
Les dernières recommandations de l’Organisation mondiale de la santé, permettent de soulager la majorité des patients adultes atteints de douleurs par excès de nociception. Néanmoins, elles n’abordent pas l’efficacité analgésique des antalgiques non morphiniques.
La conférence de consensus de 1998 sur la prise en charge de la douleur postopératoire chez l’adulte et l’enfant recommandait les analgésiques non morphiniques (ANM) pour les patients bénéficiant d’une chirurgie de surface peu douloureuse, ou lorsqu’une autre technique analgésique ne peut être réalisée [69]. Leur intérêt lors d’une association aux morphiniques avait été abordé sans que l’on puisse aboutir à des recommandations.
Dans ce travail, nous avons cherché à évaluer l’efficacité analgésique des ANM associés à la morphine à travers des recommandations formalisées d’experts, une réactualisation de la conférence de consensus de 1998. Ce travail avait également pour objet l’analyse des bénéfices et des risques de l’utilisation des ANM associés aux morphiniques à partir de plusieurs situations : l’association d’un ou des ANM à la morphine, opioïde de référence ; la deuxième lors d’une association ANM et antalgique de palier II (tramadol, codéine, dextropropoxyphène).
Cette étude permet d’affirmer l’efficacité analgésique des ANM associés aux morphiniques qui peut être ainsi appréciée selon qu’ils permettent de renforcer l’analgésie et/ou de diminuer les besoins analgésiques et leurs effets secondaires
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2482010 Président : ABDELKARIM MAHMOUDI Directeur : ABDELILLAH TARIB Juge : ABDELKARIM CHOHO Juge : ABDELHAMID MESSARY Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2482010 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2010 Disponible