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Evaluation de la cardiotoxicité du trastuzumab en traitement adjuvant et métastatique du cancer du sein / Majda BENABBES
Titre : Evaluation de la cardiotoxicité du trastuzumab en traitement adjuvant et métastatique du cancer du sein Type de document : thèse Auteurs : Majda BENABBES, Auteur Année de publication : 2014 Langues : Français (fre) Mots-clés : Trastuzumab Cardiotoxicité cancer du sein Adjuvant métastase. Résumé : Le trastuzumab est un anticorps monoclonal qui a constitué une véritable révolution dans le traitement du cancer du sein surexprimant l’HER2 en adjuvant et en métastase. Sa toxicité majeure est surtout cardiaque, d’où un monitoring systématique de la fraction d’éjection ventriculaire gauche (FEVG) avant et pendant le traitement par échographie est fortement conseillé.
Notre étude rétrospective a pour objectif d’évaluer la tolérance cardiaque du trastuzumab, nous avons rapporté 116 patientes, entre Aout 2008 et Mars 2014, 90 cas ont reçu le trastuzumab en adjuvant et 26 cas en métastase. Nous avons évalué la FEVG par échographie cardiaque en baseline, 3, 6, 9 et 12 mois durant le traitement par trastuzumab.
La réduction asymptomatique de la FEVG a été observée chez 40% (39) parmi les 90 traitées en adjuvant : 37% ≥ 10%, 53% ≥ 15% et 3.3% (4) ont développées une insuffisance cardiaque. Le trastuzumab a été interrompu provisoirement en raison de la cardiotoxicité chez 25 patientes (soit 27%) et un arrêt définitif chez 3patientes (soit 3.3%) de nos patientes. D’un autre coté une cardiotoxicité asymptomatique a été rapportée chez 38% (10) parmi celles traitées en métastase, 5% ≥ 10%, 5% ≥ 15% et 11.5% (3) ont présentées une insuffisance cardiaque qui a eu comme conséquence l’arrêt définitif du traitement.
L’atteinte cardiaque reste asymptomatique chez la majorité des patientes, l’interruption du traitement est souvent provisoire avec une réversibilité de la toxicité, cependant un suivi rigoureux des patients sous Trastuzumab est demandé pour déceler une éventuelle insuffisance cardiaque.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0612014 Président : CHERRAH.Y Directeur : MEDDAH.B Juge : ICHOU.M Juge : BENYASS.A Juge : ERRIHANI.H Evaluation de la cardiotoxicité du trastuzumab en traitement adjuvant et métastatique du cancer du sein [thèse] / Majda BENABBES, Auteur . - 2014.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Trastuzumab Cardiotoxicité cancer du sein Adjuvant métastase. Résumé : Le trastuzumab est un anticorps monoclonal qui a constitué une véritable révolution dans le traitement du cancer du sein surexprimant l’HER2 en adjuvant et en métastase. Sa toxicité majeure est surtout cardiaque, d’où un monitoring systématique de la fraction d’éjection ventriculaire gauche (FEVG) avant et pendant le traitement par échographie est fortement conseillé.
Notre étude rétrospective a pour objectif d’évaluer la tolérance cardiaque du trastuzumab, nous avons rapporté 116 patientes, entre Aout 2008 et Mars 2014, 90 cas ont reçu le trastuzumab en adjuvant et 26 cas en métastase. Nous avons évalué la FEVG par échographie cardiaque en baseline, 3, 6, 9 et 12 mois durant le traitement par trastuzumab.
La réduction asymptomatique de la FEVG a été observée chez 40% (39) parmi les 90 traitées en adjuvant : 37% ≥ 10%, 53% ≥ 15% et 3.3% (4) ont développées une insuffisance cardiaque. Le trastuzumab a été interrompu provisoirement en raison de la cardiotoxicité chez 25 patientes (soit 27%) et un arrêt définitif chez 3patientes (soit 3.3%) de nos patientes. D’un autre coté une cardiotoxicité asymptomatique a été rapportée chez 38% (10) parmi celles traitées en métastase, 5% ≥ 10%, 5% ≥ 15% et 11.5% (3) ont présentées une insuffisance cardiaque qui a eu comme conséquence l’arrêt définitif du traitement.
L’atteinte cardiaque reste asymptomatique chez la majorité des patientes, l’interruption du traitement est souvent provisoire avec une réversibilité de la toxicité, cependant un suivi rigoureux des patients sous Trastuzumab est demandé pour déceler une éventuelle insuffisance cardiaque.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0612014 Président : CHERRAH.Y Directeur : MEDDAH.B Juge : ICHOU.M Juge : BENYASS.A Juge : ERRIHANI.H Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0612014 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2014 Disponible P0612014-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2014 Disponible PLACE DE LA CAPECITABINE DANS LE TRAITEMENT ADJUVANT DES CANCERS BILIARES RESEQUE EXPERIENCE DE L’INSTITUT NATIONAL D’ONCOLOGIE DE RABAT A PROPOS DE 22 CAS / NTAMA Dauphin
Titre : PLACE DE LA CAPECITABINE DANS LE TRAITEMENT ADJUVANT DES CANCERS BILIARES RESEQUE EXPERIENCE DE L’INSTITUT NATIONAL D’ONCOLOGIE DE RABAT A PROPOS DE 22 CAS Type de document : thèse Auteurs : NTAMA Dauphin, Auteur Année de publication : 2023 Langues : Français (fre) Mots-clés : Adjuvant Capecitabine Cholangiocarcinome Résumé : Introduction
Les cancers biliaires sont de mauvais pronostic et sont souvent diagnostiqués à un stade
avancé.
La résection n’est possible que dans moins de 30% des cas. Malgré le traitement
chirurgical et le traitement adjuvant, ils gardent un pronostic péjoratif.
Matériels et Méthodes
C’est une étude rétrospective sur une période de 3ans (2018 à 2020) durant laquelle 22
patients ont bénéficié d’une chimiothérapie adjuvante à la chirurgie. La collecte de données a
été réalisé au niveau des dossiers médicaux informatisés d’une part ou archives d’autres part.
Résultats
Au total 22 patients opérés d’un cancer biliaire ont bénéficié d’une chimiothérapie
adjuvante. La moyenne d’âge était de 60,72ans avec de extrêmes de 34ans à 78ans. Le sexe
féminin était la population prédominante avec un sex ratio de 0,57.
Le cancer de la vésicule biliaire était la localisation la plus fréquente (68,18%) suivi du
cholangiocarcinome intrahépatique (22,72%) et du cholangiocarcinome extra hépatique
(9,09%). La majorité des patients avait une tumeur de stade II (55%) et un caractère
histologique moyennement différencié (50%)
58,27% des patients avaient un envahissement ganglionnaire locorégional et une
chirurgie saine a été possible dans 68,18% des cas. Le traitement adjuvant était en général bien
toléré avec toxicités habituelles comme le syndrome main-pied, diarrhées, neutropénie non
fébrile
L’évolution à 24 mois était péjorative avec un taux de récidive de 54,54% malgré le
traitement adjuvant. L’envahissement ganglionnaire et un caractère histologique mal
différencié semblaient cliniquement constituer des facteurs de mauvais pronostic mais non
statistiquement significatifs.
Conclusion
Malgré le stade localisé et la possibilité de faire une chimiothérapie adjuvante à la
chirurgie, les cancers biliaires localisés reste de mauvais pronostic. D’autres études sont
nécessaires pour tester notamment les traitements d’actualités tels que l’immunothérapie afin
d’améliorer le pronostic de ces patients.Numéro (Thèse ou Mémoire) : MS2542023 Directeur : Hassan ERRIHANI-Halima ABAHSSAIN PLACE DE LA CAPECITABINE DANS LE TRAITEMENT ADJUVANT DES CANCERS BILIARES RESEQUE EXPERIENCE DE L’INSTITUT NATIONAL D’ONCOLOGIE DE RABAT A PROPOS DE 22 CAS [thèse] / NTAMA Dauphin, Auteur . - 2023.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Adjuvant Capecitabine Cholangiocarcinome Résumé : Introduction
Les cancers biliaires sont de mauvais pronostic et sont souvent diagnostiqués à un stade
avancé.
La résection n’est possible que dans moins de 30% des cas. Malgré le traitement
chirurgical et le traitement adjuvant, ils gardent un pronostic péjoratif.
Matériels et Méthodes
C’est une étude rétrospective sur une période de 3ans (2018 à 2020) durant laquelle 22
patients ont bénéficié d’une chimiothérapie adjuvante à la chirurgie. La collecte de données a
été réalisé au niveau des dossiers médicaux informatisés d’une part ou archives d’autres part.
Résultats
Au total 22 patients opérés d’un cancer biliaire ont bénéficié d’une chimiothérapie
adjuvante. La moyenne d’âge était de 60,72ans avec de extrêmes de 34ans à 78ans. Le sexe
féminin était la population prédominante avec un sex ratio de 0,57.
Le cancer de la vésicule biliaire était la localisation la plus fréquente (68,18%) suivi du
cholangiocarcinome intrahépatique (22,72%) et du cholangiocarcinome extra hépatique
(9,09%). La majorité des patients avait une tumeur de stade II (55%) et un caractère
histologique moyennement différencié (50%)
58,27% des patients avaient un envahissement ganglionnaire locorégional et une
chirurgie saine a été possible dans 68,18% des cas. Le traitement adjuvant était en général bien
toléré avec toxicités habituelles comme le syndrome main-pied, diarrhées, neutropénie non
fébrile
L’évolution à 24 mois était péjorative avec un taux de récidive de 54,54% malgré le
traitement adjuvant. L’envahissement ganglionnaire et un caractère histologique mal
différencié semblaient cliniquement constituer des facteurs de mauvais pronostic mais non
statistiquement significatifs.
Conclusion
Malgré le stade localisé et la possibilité de faire une chimiothérapie adjuvante à la
chirurgie, les cancers biliaires localisés reste de mauvais pronostic. D’autres études sont
nécessaires pour tester notamment les traitements d’actualités tels que l’immunothérapie afin
d’améliorer le pronostic de ces patients.Numéro (Thèse ou Mémoire) : MS2542023 Directeur : Hassan ERRIHANI-Halima ABAHSSAIN Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité MS2542023 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires Mémoires de Spécialités Disponible