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L’intérêt de la Clozapine dans la prise en charge de la schizophrénie résistante / Nabila MANOURY
Titre : L’intérêt de la Clozapine dans la prise en charge de la schizophrénie résistante Type de document : thèse Auteurs : Nabila MANOURY, Auteur Année de publication : 2014 Langues : Français (fre) Mots-clés : Schizophrénie résistance Clozapine antipsychotiques Résumé : La prise en charge de la schizophrénie a été révolutionnée par l’avènement des neuroleptiques. Cependant, la plupart des auteurs s’accordent sur le fait que la résistance au traitement, dans le cadre de la schizophrénie, reste un sujet d’actualité.
Bien que l’existence d’une résistance aux traitements de la schizophrénie soit bien établie, les critères de définition de cette dernière ont toujours suscité de nombreux débats.
Il y a quelques années, le traitement de la schizophrénie résistante reposait sur des associations d’antipsychotiques classiques, de première génération, combinées à d’autres produits (Lithium, bêta-bloquants, anticonvulsivants, benzodiazépines etc...). L’avènement des antipsychotiques atypiques, de seconde génération, a donné lieu à plusieurs études ayant pour but de comparer l’efficacité de ces derniers, soit entre eux, soit avec des antipsychotiques de première génération.
Depuis son arrivée sur le marché, la Clozapine constitue le traitement de référence contre la schizophrénie résistante. Cependant, seul un tiers des patients connaît une amélioration cliniquement significative.
Ce travail constitue une revue de la littérature qui a pour but de présenter l’actualité thérapeutique dans le traitement de la schizophrénie résistante, ainsi que l’intérêt de l’utilisation de la Clozapine, soit en monothérapie, soit en association avec d’autres moyens thérapeutiques.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0962014 Président : BICHRA.M.Z Directeur : MEHSSANI.J Juge : KISRA.H Juge : KADIRI.M Juge : OUANASS.A L’intérêt de la Clozapine dans la prise en charge de la schizophrénie résistante [thèse] / Nabila MANOURY, Auteur . - 2014.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Schizophrénie résistance Clozapine antipsychotiques Résumé : La prise en charge de la schizophrénie a été révolutionnée par l’avènement des neuroleptiques. Cependant, la plupart des auteurs s’accordent sur le fait que la résistance au traitement, dans le cadre de la schizophrénie, reste un sujet d’actualité.
Bien que l’existence d’une résistance aux traitements de la schizophrénie soit bien établie, les critères de définition de cette dernière ont toujours suscité de nombreux débats.
Il y a quelques années, le traitement de la schizophrénie résistante reposait sur des associations d’antipsychotiques classiques, de première génération, combinées à d’autres produits (Lithium, bêta-bloquants, anticonvulsivants, benzodiazépines etc...). L’avènement des antipsychotiques atypiques, de seconde génération, a donné lieu à plusieurs études ayant pour but de comparer l’efficacité de ces derniers, soit entre eux, soit avec des antipsychotiques de première génération.
Depuis son arrivée sur le marché, la Clozapine constitue le traitement de référence contre la schizophrénie résistante. Cependant, seul un tiers des patients connaît une amélioration cliniquement significative.
Ce travail constitue une revue de la littérature qui a pour but de présenter l’actualité thérapeutique dans le traitement de la schizophrénie résistante, ainsi que l’intérêt de l’utilisation de la Clozapine, soit en monothérapie, soit en association avec d’autres moyens thérapeutiques.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M0962014 Président : BICHRA.M.Z Directeur : MEHSSANI.J Juge : KISRA.H Juge : KADIRI.M Juge : OUANASS.A Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M0962014 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2014 Disponible M0962014-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2014 Disponible Documents numériques
M0962014URL NEUROPLETIQUES CLASSIQUES ET TRAITEMENT DES TROUBLES BIPOLAIRES I A PROPOS DE 14 CAS / TAUD SAHAR
Titre : NEUROPLETIQUES CLASSIQUES ET TRAITEMENT DES TROUBLES BIPOLAIRES I A PROPOS DE 14 CAS Type de document : thèse Auteurs : TAUD SAHAR, Auteur Année de publication : 2008 Langues : Français (fre) Mots-clés : Neuroleptiques classiques Trouble bipolaire I Antipsychotiques Thymorégulateurs Prévention. Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Les neuroleptiques classiques ont été les premiers médicaments indiqués dans le traitement des Troubles bipolaires I surtout dans leur aspect maniaque.
Aujourd’hui, la place des neuroleptiques dans les schémas thérapeutiques modernes des TB I est bien connue, ces derniers sont dictés par les consensus internationaux recommandant l’utilisation des NL dans :
- les épisodes maniaques ou mixtes sévères,
- ou les TB I avec symptômes psychotiques.
Les antipsychotiques atypiques sont préférés aux NL classiques vue leur meilleure tolérance. Certaines études ont même suggéré leur utilisation en monothérapie, en tant que « thymorégulateurs » dans le traitement préventif du TB I.
Notre étude pratique réalisée chez 14 patients diagnostiqués avec un TB I, hospitalisés en 2007 dans le service de psychiatrie de l’HMIMV a montré que les NL classiques tenaient encore une place importante dans le traitement des TB I, aussi bien dans les phases aigues que dans les traitements préventifs.
Le NL sédatif a été le médicament le plus utilisé chez les patients, suivi des NL incisifs et des NL atypiques.
Les thymorégulateurs ont surtout été utilisés dans les traitements préventifs.
En pratique, la prescription des NL dans le traitement des TB I est encore importante, surtout dans les phases aigues. Ceci est lié le plus souvent au souci de calmer l’agitation et l’angoisse importante des malades bipolaires, mais aussi à la nécessité de traiter les troubles psychotiques accompagnant les TB I.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1242008 Président : FAJRI AHMED Directeur : BICHRA ZAKARIA MOHAMED Juge : OUANASS ABDERRAZAK Juge : BENZIANEHAMID NEUROPLETIQUES CLASSIQUES ET TRAITEMENT DES TROUBLES BIPOLAIRES I A PROPOS DE 14 CAS [thèse] / TAUD SAHAR, Auteur . - 2008.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Neuroleptiques classiques Trouble bipolaire I Antipsychotiques Thymorégulateurs Prévention. Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : Les neuroleptiques classiques ont été les premiers médicaments indiqués dans le traitement des Troubles bipolaires I surtout dans leur aspect maniaque.
Aujourd’hui, la place des neuroleptiques dans les schémas thérapeutiques modernes des TB I est bien connue, ces derniers sont dictés par les consensus internationaux recommandant l’utilisation des NL dans :
- les épisodes maniaques ou mixtes sévères,
- ou les TB I avec symptômes psychotiques.
Les antipsychotiques atypiques sont préférés aux NL classiques vue leur meilleure tolérance. Certaines études ont même suggéré leur utilisation en monothérapie, en tant que « thymorégulateurs » dans le traitement préventif du TB I.
Notre étude pratique réalisée chez 14 patients diagnostiqués avec un TB I, hospitalisés en 2007 dans le service de psychiatrie de l’HMIMV a montré que les NL classiques tenaient encore une place importante dans le traitement des TB I, aussi bien dans les phases aigues que dans les traitements préventifs.
Le NL sédatif a été le médicament le plus utilisé chez les patients, suivi des NL incisifs et des NL atypiques.
Les thymorégulateurs ont surtout été utilisés dans les traitements préventifs.
En pratique, la prescription des NL dans le traitement des TB I est encore importante, surtout dans les phases aigues. Ceci est lié le plus souvent au souci de calmer l’agitation et l’angoisse importante des malades bipolaires, mais aussi à la nécessité de traiter les troubles psychotiques accompagnant les TB I.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M1242008 Président : FAJRI AHMED Directeur : BICHRA ZAKARIA MOHAMED Juge : OUANASS ABDERRAZAK Juge : BENZIANEHAMID Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M1242008 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2008 Disponible PRISE EN CHARGE MEDICAMENTEUSE DE LA MALADIE D'ALZHEIMER : EXPERIENCE DU CENTRE DE MEMEOIRE DE RABAT / MERNISSI NARJISSE
Titre : PRISE EN CHARGE MEDICAMENTEUSE DE LA MALADIE D'ALZHEIMER : EXPERIENCE DU CENTRE DE MEMEOIRE DE RABAT Type de document : thèse Auteurs : MERNISSI NARJISSE, Auteur Année de publication : 2008 Langues : Français (fre) Mots-clés : Maladie d’Alzheimer Démence Troubles cognitifs Troubles psychocomportementaux Inhibiteurs de l’acétylcholinestérase Antiglutamates Antipsychotiques Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : La maladie d’Alzheimer, décrite pour la première fois en 1907 par le psychiatre du même nom, est une démence neurodégénérative du sujet âgé, caractérisée par la présence de lésions cérébrales spécifiques (Plaques séniles et lésions neurofibrillaires), qui détruit progressivement et de façon irréversible l’ensemble des fonctions cognitives du patient pour le priver ainsi de son autonomie et de tout ce qui faisait son identité.
Elle représente un grand problème de santé publique, en raison de l’augmentation parallèle de son incidence et sa prévalence avec l’allongement de l’espérance de vie.
Les premiers symptômes de la démence type Alzheimer sont souvent confondus avec des troubles normaux dus à la sénescence ou la dépression, ce qui rend son diagnostic délicat et prolonge la durée d’évolution avant une première consultation neuropsychiatrique du patient.
Notre travail consiste en une étude descriptive rétrospective, effectuée au centre de mémoire de Rabat sur une série de 109 cas de patients Alzheimer, et qui a pour objectif d’évaluer le niveau où en est arrivée la prise en charge médicamenteuse de cette démence au Maroc en suivant l’évolution des patients étudiés avec les différents traitements prescrits.
Il n’existe à l’heure actuelle aucun médicament capable d’inverser ou d’arrêter la progression de la maladie d’Alzheimer. Certains médicaments peuvent atténuer les symptômes tels que les troubles cognitifs, la dépression, l’anxiété, l’insomnie… alors que le traitement curatif est toujours en cours de recherche.
Ainsi, une prise en charge non médicamenteuse doit être envisagée dans tous les cas, en raison de l’énorme fardeau affectif, moral et financier que cette pathologie fait peser sur les familles et la société.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0572008 Président : EL ALAOUI FARIS MOSTAFA Directeur : BENABDELJLIL MARIA Juge : ALAOUI KATIM PRISE EN CHARGE MEDICAMENTEUSE DE LA MALADIE D'ALZHEIMER : EXPERIENCE DU CENTRE DE MEMEOIRE DE RABAT [thèse] / MERNISSI NARJISSE, Auteur . - 2008.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Maladie d’Alzheimer Démence Troubles cognitifs Troubles psychocomportementaux Inhibiteurs de l’acétylcholinestérase Antiglutamates Antipsychotiques Index. décimale : WA SANTE PUBLIQUE - PROFESSION MEDICALE Résumé : La maladie d’Alzheimer, décrite pour la première fois en 1907 par le psychiatre du même nom, est une démence neurodégénérative du sujet âgé, caractérisée par la présence de lésions cérébrales spécifiques (Plaques séniles et lésions neurofibrillaires), qui détruit progressivement et de façon irréversible l’ensemble des fonctions cognitives du patient pour le priver ainsi de son autonomie et de tout ce qui faisait son identité.
Elle représente un grand problème de santé publique, en raison de l’augmentation parallèle de son incidence et sa prévalence avec l’allongement de l’espérance de vie.
Les premiers symptômes de la démence type Alzheimer sont souvent confondus avec des troubles normaux dus à la sénescence ou la dépression, ce qui rend son diagnostic délicat et prolonge la durée d’évolution avant une première consultation neuropsychiatrique du patient.
Notre travail consiste en une étude descriptive rétrospective, effectuée au centre de mémoire de Rabat sur une série de 109 cas de patients Alzheimer, et qui a pour objectif d’évaluer le niveau où en est arrivée la prise en charge médicamenteuse de cette démence au Maroc en suivant l’évolution des patients étudiés avec les différents traitements prescrits.
Il n’existe à l’heure actuelle aucun médicament capable d’inverser ou d’arrêter la progression de la maladie d’Alzheimer. Certains médicaments peuvent atténuer les symptômes tels que les troubles cognitifs, la dépression, l’anxiété, l’insomnie… alors que le traitement curatif est toujours en cours de recherche.
Ainsi, une prise en charge non médicamenteuse doit être envisagée dans tous les cas, en raison de l’énorme fardeau affectif, moral et financier que cette pathologie fait peser sur les familles et la société.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0572008 Président : EL ALAOUI FARIS MOSTAFA Directeur : BENABDELJLIL MARIA Juge : ALAOUI KATIM Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0572008 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2008 Disponible Documents numériques
P0572008URL
Titre : SCHIZOPHRENIE ET EPILEPSIE : LIENS CLINIQUES ET PSYCHOPATHOLOGIQUES Type de document : thèse Auteurs : Siham BENZAHRA, Auteur Année de publication : 2021 Langues : Français (fre) Mots-clés : Schizophrénie Epilepsie Antipsychotiques Antiépileptiques Résumé : Introduction : Compte tenu de l'incidence plus élevée des troubles psychotiques chez
les patients atteints d’épilepsie, plusieurs neurologues et psychiatres ont tenté d’expliquer
cette comorbidité controverse. Ainsi, plusieurs hypothèses ont été émises mais aucun lien
n’a pu être établi avec certitude jusqu'à nos jours.
Objectifs : dresser un profil sociodémographique et psychopathologique des patients
présentant une comorbidité schizophrénie-épilepsie ainsi que d’évaluer le risque suicidaire,
la prise en charge, les motifs d’admission et la durée d’hospitalisation.
Méthodologie : nous avons mené une étude transversale rétrospective sur dossiers
médicaux des patients atteints de schizophrénie et d’épilepsie ayant été hospitalisés à
l’hôpital psychiatrique universitaire Ar-Razi de Salé entre le 01 janvier 2017 et le 31 Mars
2021.
Résultats : Notre étude a comporté 56 patients. L’âge moyen était de 33 ans, 55 % de
sexe masculin. 50 % avaient déjà fait une tentative de suicide et 25 % avaient des
antécédents d’épisode dépressif, 41,1 % avaient des conduites addictives et 26,8 % avaient
des antécédents familiaux de psychose. 85,7 % ont développés la schizophrénie sur
épilepsie préexistante, le délai d’apparition de la schizophrénie par rapport à l’épilepsie
était de 11,08 ans avec un âge moyen d’apparition de 23,3 ans, 8,9 % avaient une
schizophrénie résistante mis sous clozapine. L’âge moyen de début de l’épilepsie est de
14,73 ans. La durée moyenne de séjour est de 42 jours. Les motifs d’admission étaient les
suivant : hétéro-agressivité 78,6 %, verbalisation de propos délirants 85,7 % et tentative de
suicide 23,2 %. La majeure partie de nos patients a été traitée par antipsychotiques
atypiques.
Conclusion : La cooccurrence épilepsie schizophrénie suggère l’existence d’éventuels
facteurs étiopathogéniques communs. La gestion de cette comorbidité impose une
collaboration pluridisciplinaire entre neurologue et psychiatre, afin d’affirmer le diagnostic
et proposer un algorithme de prise en charge tenant compte des deux pathologies.Numéro (Thèse ou Mémoire) : MS1112021 Directeur : Abderrazzak OUANASS- Hind NAFIAA SCHIZOPHRENIE ET EPILEPSIE : LIENS CLINIQUES ET PSYCHOPATHOLOGIQUES [thèse] / Siham BENZAHRA, Auteur . - 2021.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Schizophrénie Epilepsie Antipsychotiques Antiépileptiques Résumé : Introduction : Compte tenu de l'incidence plus élevée des troubles psychotiques chez
les patients atteints d’épilepsie, plusieurs neurologues et psychiatres ont tenté d’expliquer
cette comorbidité controverse. Ainsi, plusieurs hypothèses ont été émises mais aucun lien
n’a pu être établi avec certitude jusqu'à nos jours.
Objectifs : dresser un profil sociodémographique et psychopathologique des patients
présentant une comorbidité schizophrénie-épilepsie ainsi que d’évaluer le risque suicidaire,
la prise en charge, les motifs d’admission et la durée d’hospitalisation.
Méthodologie : nous avons mené une étude transversale rétrospective sur dossiers
médicaux des patients atteints de schizophrénie et d’épilepsie ayant été hospitalisés à
l’hôpital psychiatrique universitaire Ar-Razi de Salé entre le 01 janvier 2017 et le 31 Mars
2021.
Résultats : Notre étude a comporté 56 patients. L’âge moyen était de 33 ans, 55 % de
sexe masculin. 50 % avaient déjà fait une tentative de suicide et 25 % avaient des
antécédents d’épisode dépressif, 41,1 % avaient des conduites addictives et 26,8 % avaient
des antécédents familiaux de psychose. 85,7 % ont développés la schizophrénie sur
épilepsie préexistante, le délai d’apparition de la schizophrénie par rapport à l’épilepsie
était de 11,08 ans avec un âge moyen d’apparition de 23,3 ans, 8,9 % avaient une
schizophrénie résistante mis sous clozapine. L’âge moyen de début de l’épilepsie est de
14,73 ans. La durée moyenne de séjour est de 42 jours. Les motifs d’admission étaient les
suivant : hétéro-agressivité 78,6 %, verbalisation de propos délirants 85,7 % et tentative de
suicide 23,2 %. La majeure partie de nos patients a été traitée par antipsychotiques
atypiques.
Conclusion : La cooccurrence épilepsie schizophrénie suggère l’existence d’éventuels
facteurs étiopathogéniques communs. La gestion de cette comorbidité impose une
collaboration pluridisciplinaire entre neurologue et psychiatre, afin d’affirmer le diagnostic
et proposer un algorithme de prise en charge tenant compte des deux pathologies.Numéro (Thèse ou Mémoire) : MS1112021 Directeur : Abderrazzak OUANASS- Hind NAFIAA Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité MS1112021 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires Mémoires de Spécialités Disponible MS1112021-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires Mémoires de Spécialités Disponible Documents numériques
MS1112021URL
Titre : SCHIZOPHRENIE ET SYMPTOMES OBSESSIONNELS COMPULSIFS Type de document : thèse Auteurs : Zahra AZEROUAL, Auteur Année de publication : 2020 Langues : Français (fre) Mots-clés : Schizophrénie symptômes obsessionnels compulsifs Antipsychotiques Résumé : Depuis une centaine d’années, on admet la coexistence des
symptômes obsessionnels compulsifs (SOC) et schizophrénie. Les
études ont montré l’impact négatif de cette comorbidité, les patients ont
une réduction voire une perte d’autonomie avec un début généralement
précoce de la maladie. L’implication supposée de certains
antipsychotiques dans l'apparition ou l'exacerbation du SOC a été très
soulevée dans la littérature.
A travers ce sujet de mémoire, on a étudié les caractéristiques
sociodémographiques, cliniques et l’impact des SOC sur l’évolution et
le pronostic de la maladie. Notre étude a consisté à la comparaison de 2
groupes de patients atteints de : schizophrénie avec SOC et
schizophrénie sans SOC.
Notre travail consiste en une étude transversale réalisée auprès des
patients hospitalisés ou suivis à l’hôpital psychiatrique universitaire Arrazi de Salé, étalée sur une durée de 6 mois. Le recueil des informations
a été réalisé selon un hétéroquestionnaire.
L’évaluation des symptômes obsessionnels compulsifs a été
réalisée à l’aide de l’échelle de Y-BOCS.
La présence des SOC a été significativement associé avec : les
antécédents personnels des troubles dépressifs et les conduites
addictives, les antécédents familiaux de psychose ou de SOC ou TOC
ainsi qu’avec un taux plus faible d’amélioration des symptômes
psychotiques, et mise sous traitement antipsychotique fait de
l’Olanzapine ou de la Risperidone.
La comorbidité schizophrénie et SOC est un problème clinique qui
se présente relativement fréquemment, posant la question du pronostic et
de prise en charge thérapeutique.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : MS0512020 Directeur : OUANASS.A SCHIZOPHRENIE ET SYMPTOMES OBSESSIONNELS COMPULSIFS [thèse] / Zahra AZEROUAL, Auteur . - 2020.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Schizophrénie symptômes obsessionnels compulsifs Antipsychotiques Résumé : Depuis une centaine d’années, on admet la coexistence des
symptômes obsessionnels compulsifs (SOC) et schizophrénie. Les
études ont montré l’impact négatif de cette comorbidité, les patients ont
une réduction voire une perte d’autonomie avec un début généralement
précoce de la maladie. L’implication supposée de certains
antipsychotiques dans l'apparition ou l'exacerbation du SOC a été très
soulevée dans la littérature.
A travers ce sujet de mémoire, on a étudié les caractéristiques
sociodémographiques, cliniques et l’impact des SOC sur l’évolution et
le pronostic de la maladie. Notre étude a consisté à la comparaison de 2
groupes de patients atteints de : schizophrénie avec SOC et
schizophrénie sans SOC.
Notre travail consiste en une étude transversale réalisée auprès des
patients hospitalisés ou suivis à l’hôpital psychiatrique universitaire Arrazi de Salé, étalée sur une durée de 6 mois. Le recueil des informations
a été réalisé selon un hétéroquestionnaire.
L’évaluation des symptômes obsessionnels compulsifs a été
réalisée à l’aide de l’échelle de Y-BOCS.
La présence des SOC a été significativement associé avec : les
antécédents personnels des troubles dépressifs et les conduites
addictives, les antécédents familiaux de psychose ou de SOC ou TOC
ainsi qu’avec un taux plus faible d’amélioration des symptômes
psychotiques, et mise sous traitement antipsychotique fait de
l’Olanzapine ou de la Risperidone.
La comorbidité schizophrénie et SOC est un problème clinique qui
se présente relativement fréquemment, posant la question du pronostic et
de prise en charge thérapeutique.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : MS0512020 Directeur : OUANASS.A Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité MS0512020 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires Mémoires de Spécialités Disponible Documents numériques
MS0512020URL