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2 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Atteinte axonale'
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Titre : POLYRADICULONEVRITE CHRONIQUE (ETUDE RETROSPECTIVE D'UNE SERIE DE 22 CAS) Type de document : thèse Auteurs : SALAH EL KHEIR Soukaina, Auteur Année de publication : 2019 Langues : Français (fre) Mots-clés : polyneuropathies inflammatoires démyélinisantes chroniques, Electroneuromyographie atteinte axonale critères diagnostiques forme idiopathique et formes associées Résumé : Les polyradiculonévrites chroniques (PRNC) sont des affections inflammatoires du nerf périphérique.
On a mené une étude rétrospective étalée sur 11 ans (2007-2018), ayant colligé 22 cas de PRNC suivis au service de neurologie de l’hôpital militaire d’instruction Mohamed V de Rabat.
L’âge moyen a été de 47,8 ans avec un sex-ratio H/F de 0,83. Tous les patients ont présenté un déficit moteur proximo-distal symétrique, associé à des troubles sensitifs subjectifs (n=19) et des douleurs neuropathiques (n=6), avec un nadir atteint sur plus de 8 semaines.L’examen clinique a confirmé le tableau de polyradiculonévrite. L’électroneuromyographie réalisée chez tous les patients a retrouvé une atteinte démyélinisante dans 59,1%. Les critères EFNS 2010 ont été retenus chez 15 patients. La forme idiopathique a été retenue dans 27,27% des cas, et la forme associée à une maladie générale dans 72,73% des cas. Outre les traitements symptomatiques, le traitement étiologique est basé sur la corticothérapie (72,27%), des échanges plasmatiques (9%) et les immunoglobulines intraveineuses (9%). Chez 22,72 % des patients, on a eu recours à un traitement de 2ème intention (cyclophosphamide ou azathioprine). L'évaluation post-thérapeutique a été en faveur d’une amélioration dans 72,73 % des cas.
En comparant nos résultats avec les données de la littérature, les principales différences concernent le sexe ratio, et la fréquence des formes associées. La corticothérapie reste le gold standard pour le traitement étiologique des PIDC, sauf si intolérance, contre-indication ou évolution clinique rapide.
L’utilisation des critères de l’EFNS 2010 a permis d’affiner le diagnostic des PIDC. Les facteurs de mauvais pronostic sont la perte axonale secondaire et la sévérité des signes de démyélinisation.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2022019 Président : AL BOUZIDI.A Directeur : BOURAZZA.A Juge : AIT BENHADDOU.EL.H Juge : ENNIBI.K POLYRADICULONEVRITE CHRONIQUE (ETUDE RETROSPECTIVE D'UNE SERIE DE 22 CAS) [thèse] / SALAH EL KHEIR Soukaina, Auteur . - 2019.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : polyneuropathies inflammatoires démyélinisantes chroniques, Electroneuromyographie atteinte axonale critères diagnostiques forme idiopathique et formes associées Résumé : Les polyradiculonévrites chroniques (PRNC) sont des affections inflammatoires du nerf périphérique.
On a mené une étude rétrospective étalée sur 11 ans (2007-2018), ayant colligé 22 cas de PRNC suivis au service de neurologie de l’hôpital militaire d’instruction Mohamed V de Rabat.
L’âge moyen a été de 47,8 ans avec un sex-ratio H/F de 0,83. Tous les patients ont présenté un déficit moteur proximo-distal symétrique, associé à des troubles sensitifs subjectifs (n=19) et des douleurs neuropathiques (n=6), avec un nadir atteint sur plus de 8 semaines.L’examen clinique a confirmé le tableau de polyradiculonévrite. L’électroneuromyographie réalisée chez tous les patients a retrouvé une atteinte démyélinisante dans 59,1%. Les critères EFNS 2010 ont été retenus chez 15 patients. La forme idiopathique a été retenue dans 27,27% des cas, et la forme associée à une maladie générale dans 72,73% des cas. Outre les traitements symptomatiques, le traitement étiologique est basé sur la corticothérapie (72,27%), des échanges plasmatiques (9%) et les immunoglobulines intraveineuses (9%). Chez 22,72 % des patients, on a eu recours à un traitement de 2ème intention (cyclophosphamide ou azathioprine). L'évaluation post-thérapeutique a été en faveur d’une amélioration dans 72,73 % des cas.
En comparant nos résultats avec les données de la littérature, les principales différences concernent le sexe ratio, et la fréquence des formes associées. La corticothérapie reste le gold standard pour le traitement étiologique des PIDC, sauf si intolérance, contre-indication ou évolution clinique rapide.
L’utilisation des critères de l’EFNS 2010 a permis d’affiner le diagnostic des PIDC. Les facteurs de mauvais pronostic sont la perte axonale secondaire et la sévérité des signes de démyélinisation.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2022019 Président : AL BOUZIDI.A Directeur : BOURAZZA.A Juge : AIT BENHADDOU.EL.H Juge : ENNIBI.K Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M2022019 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible M2022019-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible Documents numériques
M2022019URL SCLEROSE EN PLAQUES ET EPAISSEUR DE LA COUCHE NEURO-RETINIENNE MESUREE PAR OCT (A PROPOS DE 31 CAS) / SOUKTANI YOUNES
Titre : SCLEROSE EN PLAQUES ET EPAISSEUR DE LA COUCHE NEURO-RETINIENNE MESUREE PAR OCT (A PROPOS DE 31 CAS) Type de document : thèse Auteurs : SOUKTANI YOUNES, Auteur Année de publication : 2021 Langues : Français (fre) Mots-clés : Sclerose en plaques OCT Fibre Optique Atteinte axonale Résumé : "La sclérose en plaques (SEP) est une maladie neurologique chronique, qui évolue par poussées-rémissions ou sur un mode progressif. Longtemps considérée comme uniquement démyélinisante, l’atteinte axonale est souvent présente voire même plus précoce. La SEP peut affecter tous les nerfs de l’organisme y compris le nerf optique dont la sévérité de la perte axonale peut être objectivée grâce à l’OCT. Plusieurs études rapportées dans la littérature ont objectivé une différence très significative de la mesure de l’épaisseur de la couche des fibres neuro rétiniennes par OCT chez les patients atteints de SEP par rapport à une population de sujets sains. Quelques rares travaux ont étudié la topographie de l’atrophie des FO chez les patients atteints de SEP, concluants à la rareté de l’atteinte du secteur nasal. Les dernières études publiées dans la littérature ont noté la possibilité de la présence d’un mode évolutif rémittent mais aussi d’un mode progressif continu infraclinique de l’atteinte optique au cours de la SEP. Ce travail montre l’importance de l’examen OCT de la couche RNFL chez les patients atteints de sclérose en plaques vue la particularité de la topographie des pertes de FO et note la possibilité d’une atteinte infraclinique progressive du nerf optique chez ces patients. Les résultats restent à confirmer par une étude avec un nombre de patients plus important." Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2292021 Président : OUBAAZ ABDELBARRE Directeur : EL ASRI FOUAD Juge : REDA KARIM Juge : CHERKAOUI LALL SCLEROSE EN PLAQUES ET EPAISSEUR DE LA COUCHE NEURO-RETINIENNE MESUREE PAR OCT (A PROPOS DE 31 CAS) [thèse] / SOUKTANI YOUNES, Auteur . - 2021.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Sclerose en plaques OCT Fibre Optique Atteinte axonale Résumé : "La sclérose en plaques (SEP) est une maladie neurologique chronique, qui évolue par poussées-rémissions ou sur un mode progressif. Longtemps considérée comme uniquement démyélinisante, l’atteinte axonale est souvent présente voire même plus précoce. La SEP peut affecter tous les nerfs de l’organisme y compris le nerf optique dont la sévérité de la perte axonale peut être objectivée grâce à l’OCT. Plusieurs études rapportées dans la littérature ont objectivé une différence très significative de la mesure de l’épaisseur de la couche des fibres neuro rétiniennes par OCT chez les patients atteints de SEP par rapport à une population de sujets sains. Quelques rares travaux ont étudié la topographie de l’atrophie des FO chez les patients atteints de SEP, concluants à la rareté de l’atteinte du secteur nasal. Les dernières études publiées dans la littérature ont noté la possibilité de la présence d’un mode évolutif rémittent mais aussi d’un mode progressif continu infraclinique de l’atteinte optique au cours de la SEP. Ce travail montre l’importance de l’examen OCT de la couche RNFL chez les patients atteints de sclérose en plaques vue la particularité de la topographie des pertes de FO et note la possibilité d’une atteinte infraclinique progressive du nerf optique chez ces patients. Les résultats restent à confirmer par une étude avec un nombre de patients plus important." Numéro (Thèse ou Mémoire) : M2292021 Président : OUBAAZ ABDELBARRE Directeur : EL ASRI FOUAD Juge : REDA KARIM Juge : CHERKAOUI LALL Réservation
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