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Détection et quantification du BKvirus chez les greffés rénaux Expérience du laboratoire central de Virologie, Centre hospitalier Ibn Sina, Rabat / BOUALAOUI Zineb
Titre : Détection et quantification du BKvirus chez les greffés rénaux Expérience du laboratoire central de Virologie, Centre hospitalier Ibn Sina, Rabat Type de document : thèse Auteurs : BOUALAOUI Zineb, Auteur Année de publication : 2015 Langues : Français (fre) Mots-clés : BK virus Greffe Rein Rejet Immunosuppression PCR. Résumé : Le virus BK (BKV) appartient à la famille des Polyomaviridae. Il est largement répandu dans la population générale adulte. La primo-infection asymptomatique, se déroule pendant l’enfance. Le virus persiste ensuite dans l’organisme sous forme latente. L’immunodépression cellulaire favorise la réactivation du BKV. Après transplantation rénale, l’infection active à BKV peut être à l’origine de néphropathies tubulo-interstitielles allant jusqu’à la perte du greffon.
L‘augmentation récente de la prévalence de cette pathologie a conduit au développement de nouveaux outils diagnostiques, permettant la détection et la quantification du génome viral dans les prélèvements biologiques. l’intérêt potentiel pour le diagnostic virologique et le suivi des patients infectés de la quantification du génome du BKV par PCR dans les urines et le sang.
Il s’agit d’une étude rétroprospective s’étalant du 16/09/2013 au 02/01/2015. Le LCV dispose du kit RealStar BKV PCR Altona Diagnostics®. C’est une PCR en temps réel basée sur la technologie Taqman. Elle permet la détection et la quantification de l’ADN du BKvirus dans le plasma et les urines après extraction de l’ADN qui se fait manuellement par le kit QIAamp MinEluteVirus® Spin. L’amplification et la détection de l’ADN se font grâce à des amorces et sonde spécifiques du BKV, sur le thermocycleur CFX 96 de BioRad.
Un total de 94 prélèvements a été reçu pour 25 patients qui sont tous des transplantés rénaux avec une moyenne de 3,7 tests par patient. Sur les 70% d’échantillons plasmatiques et les 30% d’échantillons urinaires, 16.7% et 46.4% se sont avérés positifs respectivement, avec un total de 4 patients ayant dépassé les seuils prédictifs de néphropathie à BKV.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0252015 Président : ESSAKALI.M Directeur : SEFFAR.M Juge : RHOU.H Juge : IDRISS LAHLOU.A Juge : KABBAJ.H Détection et quantification du BKvirus chez les greffés rénaux Expérience du laboratoire central de Virologie, Centre hospitalier Ibn Sina, Rabat [thèse] / BOUALAOUI Zineb, Auteur . - 2015.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : BK virus Greffe Rein Rejet Immunosuppression PCR. Résumé : Le virus BK (BKV) appartient à la famille des Polyomaviridae. Il est largement répandu dans la population générale adulte. La primo-infection asymptomatique, se déroule pendant l’enfance. Le virus persiste ensuite dans l’organisme sous forme latente. L’immunodépression cellulaire favorise la réactivation du BKV. Après transplantation rénale, l’infection active à BKV peut être à l’origine de néphropathies tubulo-interstitielles allant jusqu’à la perte du greffon.
L‘augmentation récente de la prévalence de cette pathologie a conduit au développement de nouveaux outils diagnostiques, permettant la détection et la quantification du génome viral dans les prélèvements biologiques. l’intérêt potentiel pour le diagnostic virologique et le suivi des patients infectés de la quantification du génome du BKV par PCR dans les urines et le sang.
Il s’agit d’une étude rétroprospective s’étalant du 16/09/2013 au 02/01/2015. Le LCV dispose du kit RealStar BKV PCR Altona Diagnostics®. C’est une PCR en temps réel basée sur la technologie Taqman. Elle permet la détection et la quantification de l’ADN du BKvirus dans le plasma et les urines après extraction de l’ADN qui se fait manuellement par le kit QIAamp MinEluteVirus® Spin. L’amplification et la détection de l’ADN se font grâce à des amorces et sonde spécifiques du BKV, sur le thermocycleur CFX 96 de BioRad.
Un total de 94 prélèvements a été reçu pour 25 patients qui sont tous des transplantés rénaux avec une moyenne de 3,7 tests par patient. Sur les 70% d’échantillons plasmatiques et les 30% d’échantillons urinaires, 16.7% et 46.4% se sont avérés positifs respectivement, avec un total de 4 patients ayant dépassé les seuils prédictifs de néphropathie à BKV.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : P0252015 Président : ESSAKALI.M Directeur : SEFFAR.M Juge : RHOU.H Juge : IDRISS LAHLOU.A Juge : KABBAJ.H Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité P0252015 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2015 Disponible P0252015-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesPharm2015 Disponible Documents numériques
P0252015URL
Titre : INFECTION A BK VIRUS EN TRANSPLANTATION RENALE Type de document : thèse Auteurs : Malika ECH CHAABI, Auteur Année de publication : 2019 Langues : Français (fre) Mots-clés : BK virus transplantation infection diagnostic Résumé : Découvert en 1970, le virus BK (BKV) est un Polyomavirus qui appartient à la famille des Polyomaviridae. Ce petit virus non enveloppé qui a un noyau d’ADN bicaténaire, circulaire est très répandu dans la population générale adulte, avec une prévalence estimée à 80 % après une primo-infection asymptomatique qui se fait au cours de la petite enfance. Le virus persiste ensuite dans l’organisme sous forme latente dont Les principaux sites de latence sont le rein et l'urothélium. La réactivation du BKV est favoriser par l’immunodépression.
La voie de la transmission la plus fréquente du bk virus est la voie respiratoire ou orale, ce qui explique sa séroprévalence dès le plus jeune âge. La forte séroprévalence du virus BK dans la population générale, est en rapport avec la faible fréquence des manifestations cliniques en primo-infection ou en réactivation.
L’infection à BKV peut se compliquer d’une néphropathie tubulo-interstitielle après une transplantation rénale, cette néphropathie peut aller jusqu’à la perte du greffon.
Le diagnostic repose essentiellement sur la cytologie urinaire, la détection de l'ADN viral par PCR qui permet de confirmer le diagnostic.
Il n’existe pas actuellement un traitement antiviral efficace, alors la prise en charge de ces infections à BKV se fait par diminution de l’immunosuppression, ce qui expose à un risque de rejet, donc le diagnostic précoce de la maladie reste le meilleur moyen pour pouvoir intervenir avant que la lésion rénale se produise.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M4002019 Président : ZOUHDI.M Directeur : ABI.R Juge : SEKHSOKH.Y Juge : DOBLALI.T INFECTION A BK VIRUS EN TRANSPLANTATION RENALE [thèse] / Malika ECH CHAABI, Auteur . - 2019.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : BK virus transplantation infection diagnostic Résumé : Découvert en 1970, le virus BK (BKV) est un Polyomavirus qui appartient à la famille des Polyomaviridae. Ce petit virus non enveloppé qui a un noyau d’ADN bicaténaire, circulaire est très répandu dans la population générale adulte, avec une prévalence estimée à 80 % après une primo-infection asymptomatique qui se fait au cours de la petite enfance. Le virus persiste ensuite dans l’organisme sous forme latente dont Les principaux sites de latence sont le rein et l'urothélium. La réactivation du BKV est favoriser par l’immunodépression.
La voie de la transmission la plus fréquente du bk virus est la voie respiratoire ou orale, ce qui explique sa séroprévalence dès le plus jeune âge. La forte séroprévalence du virus BK dans la population générale, est en rapport avec la faible fréquence des manifestations cliniques en primo-infection ou en réactivation.
L’infection à BKV peut se compliquer d’une néphropathie tubulo-interstitielle après une transplantation rénale, cette néphropathie peut aller jusqu’à la perte du greffon.
Le diagnostic repose essentiellement sur la cytologie urinaire, la détection de l'ADN viral par PCR qui permet de confirmer le diagnostic.
Il n’existe pas actuellement un traitement antiviral efficace, alors la prise en charge de ces infections à BKV se fait par diminution de l’immunosuppression, ce qui expose à un risque de rejet, donc le diagnostic précoce de la maladie reste le meilleur moyen pour pouvoir intervenir avant que la lésion rénale se produise.
Numéro (Thèse ou Mémoire) : M4002019 Président : ZOUHDI.M Directeur : ABI.R Juge : SEKHSOKH.Y Juge : DOBLALI.T Réservation
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Code barre Cote Support Localisation Section Disponibilité M4002019 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible M4002019-1 WA Thèse imprimé Unité des Thèses et Mémoires ThèsesMéd2019 Disponible Documents numériques
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